Rechercher dans ce blog

Thursday, September 30, 2021

Jeff Petry veut qu'on laisse le temps à Alexander Romanov de se développer - DansLesCoulisses

Jeff Petry le dit lui-même : il est un défenseur qui a mis du temps avant d’atteindre son plein potentiel. Il considère que c’est avec le Canadien qu’il l’a fait, mais ça ne s’est pas fait en criant ciseaux.

Là-dessus, il semble visiblement se reconnaître en Alexander Romanov. Le jeune défenseur est un gars qui doit apprendre à canaliser ses énergies (selon son entraîneur), mais il a le talent et il est aimé à Montréal, au final. Même si ça passe par des coéquipiers qui sont bardassés.

Ce qui impressionne les gens, c’est notamment son éthique de travail. On en avait entendu parler dans la bulle et lors du camp 2020-2021, mais c’est visiblement encore présent.

Et Jeff Petry semble marqué par ça puisqu’il en a encore parlé aujourd’hui.

Depuis le début du camp, les deux joueurs évoluent ensemble et Petry aime ce qu’il voit de son jeune coéquipier.

Pourquoi? Pour les raisons nommées ci-haut, mais aussi parce qu’il se reconnait en lui.

Il patine bien, il est fort, il bouge bien la rondelle. Il a tout ce qu’il faut pour devenir un très bon défenseur.

(…) Quand je le vois (Romanov) et que je pense au joueur que j’étais, je vois beaucoup de similarités. – Jeff Petry

Évidemment, il est d’avis que le jeune a besoin de temps de jeu et de pratique (rien d’anormal pour un jeune, évidemment), mais il voit clairement le potentiel en lui.

Les hauts et les bas, ça fait partie de l’apprentissage et récemment, il a beaucoup appris, le jeune défenseur russe.

Je me demande avec qui Romanov va jouer. Après tout, quand Joel Edmundson va revenir à l’entraînement, c’est lui (probablement) qui reprendra sa place aux côtés de Petry.

Romanov devra-t-il évoluer avec un défenseur moins adapté pour lui?

En rafale

– Un bon appui.

– Bon point.

– Dommage.

– Normal.

– Son apport aiderait.

Adblock test (Why?)


Jeff Petry veut qu'on laisse le temps à Alexander Romanov de se développer - DansLesCoulisses
Read More

Sans faire de bruit, Jeff Petry devra assumer son rôle de défenseur #1 - DansLesCoulisses

Jeff Petry est à Montréal depuis 2015. Il en sera à sa huitième saison sous les couleurs du Canadien et le voilà à son septième camp d’entraînement. Il est le défenseur avec le plus d’expérience chez le Canadien.

Mais surtout, pour la première fois de sa carrière au Québec, il devra être le défenseur #1 de son club.

Avant, c’était soit P.K. Subban ou Shea Weber qui le dépassait dans la hiérarchie des défenseurs. Mais avec Weber qui est sur les lignes de côté en ce moment, c’est à Petry que le rôle sera confié.

Et il est prêt à vivre avec ça.

Il le dit lui-même : il a mis plus de temps qu’un autre avant d’atteindre son potentiel. Ceci dit, celui dont le nom circulait pour le Norris en février ou mars dernier y est arrivé.

Et pour cela, comme on le retrouve dans cet article de Richard Labbé, il crédite son arrivée à Montréal.

Sans cela, il ne croit pas que son jeu aurait pu passer au prochain niveau aussi facilement. Il crédite le Canadien pour cela – et c’est pour ça qu’il a voulu rester en place.

Mais ce qui l’a aidé, c’est aussi de se rendre en finale de la Coupe. Cela l’a motivé, mais cela l’a aussi forcé à se dire que oui, le CH a ce qu’il faut pour se rendre loin s’il le veut.

Remporter la Coupe Stanley, c’est le but chaque année de toute façon. Ce bout-là ne change pas.

Et je crois que l’expérience qui a été acquise la saison dernière nous donne la chance de pouvoir atteindre ce but… – Jeff Petry

Cela devra se faire avec lui comme guide de la défensive et des plus jeunes. Il aura un rôle important au sein de l’équipe, mais malgré tout, il n’est pas le joueur le plus sous les feux de la rampe.

Mais on le sent prêt et revigoré. Il a faim et veut gagner le dernier match de la saison, lui aussi.

En rafale

C’est officiel.

– Joel Edmundson est encore au jour le jour.

– Mise à jour de l’entraînement : Laurent Dauphin a pris de l’importance en marge de la blessure de Cédric Paquette.

– Beau à voir.

– Le dossier continue de faire couler de l’encre.

Adblock test (Why?)


Sans faire de bruit, Jeff Petry devra assumer son rôle de défenseur #1 - DansLesCoulisses
Read More

Le Canadien | Cédric Paquette blessé, Xavier Ouellet au ballottage - La Presse

L’attaquant Cédric Paquette a raté l’entraînement du Canadien de Montréal, jeudi, en raison d’une blessure au bas du corps.

Alexis Bélanger-Champagne La Presse Canadienne

L’équipe a également soumis les noms des défenseurs Xavier Ouellet et Louie Belpedio au ballottage.

Paquette, qui est âgé de 28 ans, a signé un contrat d’une campagne avec le Tricolore au cours de l’été. Il a amassé quatre buts et autant d’aides en 47 matchs la saison dernière avec les Sénateurs d’Ottawa et les Hurricanes de la Caroline.

Le Canadien a indiqué dans l’annonce qu’il s’agit d’une « blessure mineure ».

Laurent Dauphin a été placé au centre de Mathieu Perreault et Alex Belzile en l’absence de Paquette. Gabriel Bourque était à la droite de Ryan Poehling et Artturi Lehkonen.

Ouellet a disputé six matchs avec le Canadien l’hiver dernier et n’a pas amassé de point. Le vétéran âgé de 28 ans a ajouté trois buts et une aide en 19 rencontres avec le Rocket de Laval.

PHOTO BERNARD BRAULT, LA PRESSE

Xavier Ouellet

Belpedio a quatre matchs d’expérience dans la LNH avec le Wild du Minnesota.

Ouellet et Belpedio devraient se rapporter au camp du Rocket lundi s’ils ne sont pas réclamés par une des 31 autres formations de la LNH.

Le Canadien disputera deux matchs préparatoires ce week-end face aux Sénateurs, vendredi à Ottawa et samedi à Montréal.

La saison du Tricolore s’ébranlera le 13 octobre avec un duel contre les Maple Leafs, à Toronto.

Adblock test (Why?)


Le Canadien | Cédric Paquette blessé, Xavier Ouellet au ballottage - La Presse
Read More

Québec assouplira les restrictions dans le monde culturel et les renforcera à l'école | Coronavirus - ICI.Radio-Canada.ca

Christian Dubé esquisse un geste de la main lors d'une conférence de presse.

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec, annoncera des assouplissements aux restrictions dans le secteur culturel, jeudi.

Photo : La Presse canadienne / Paul Chiasson

Radio-Canada

Le ministre de la Santé du Québec, Christian Dubé, annoncera jeudi des assouplissements aux mesures sanitaires pour le monde de la culture, a appris Radio-Canada. Pour certaines régions plus à risque, il étendra toutefois le port du masque au primaire.

Le gouvernement Legault présentera des assouplissements légers pour les personnes pleinement vaccinées, assouplissements sur lesquels il a bon espoir de ne pas revenir en arrière.

L'annonce pourrait redonner un peu d'espoir au milieu culturel, durement frappé par les mesures liées à la pandémie de COVID-19.

Les nouvelles mesures seront dévoilées à 13 h, au cours d'un point de presse auquel participera le directeur national de santé publique du Québec, le Dr Horacio Arruda.

Conformément à de nouvelles recommandations de la santé publique, le ministre Dubé et sa collègue Nathalie Roy, ministre de la Culture, présenteront ainsi certains allègements qui viseront notamment les spectacles, les salles de cinéma ainsi que les événements sportifs.

Une modification est notamment prévue quant au nombre de spectateurs admis dans les amphithéâtres, par exemple pour les matchs du Canadien de Montréal au Centre Bell.

Il s’agit de lieux où la santé publique répertorie très peu d’éclosions, et ce, depuis plusieurs mois.

Les allègements qui seront annoncés concernent uniquement les personnes doublement vaccinées qui disposent d'un passeport vaccinal.

Resserrement à l'école

Conformément à un avis de la santé publique, Québec annoncera parallèlement un resserrement des mesures entourant le port du masque chez les jeunes enfants en milieu scolaire dans les régions les plus à risque.

Il sera obligatoire pour les enfants du préscolaire (4-5 ans) durant le transport scolaire. Les élèves du primaire devront porter le masque dans les cours d'éducation physique s'il est impossible de maintenir la distanciation de deux mètres.

Ces restrictions s'appliqueront pour les 10 régions où les mesures ont déjà été renforcées : Montréal, Montérégie, Laval, Laurentides, Lanaudière, Estrie, Outaouais, Mauricie, Centre-du-Québec et quatre MRC de Chaudière-Appalaches.

Une situation sous haute surveillance

La situation sanitaire reste sous haute surveillance au Québec, où le taux d'occupation aux soins intensifs reste élevé, une situation essentiellement attribuable aux personnes non vaccinées.

Les autorités sanitaires ont recensé depuis 24 heures 594 nouveaux cas de COVID-19 et 7 décès supplémentaires, mais aussi 15 hospitalisations de moins.

Sur les nouveaux cas recensés, une grande majorité, soit 432, n'est pas adéquatement vaccinée.

Selon les données de l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), 84 % des Québécois de plus de 12 ans ont jusqu'ici reçu deux doses de vaccin contre la COVID-19.

Mardi, le ministre Dubé a indiqué que les personnes âgées résidant dans des foyers pour aînés du Québec se verraient bientôt offrir une troisième dose de vaccin, à l'instar des personnes immunosupprimées ou dialysées.

Avec des informations d'Alex Boissonneault

Adblock test (Why?)


Québec assouplira les restrictions dans le monde culturel et les renforcera à l'école | Coronavirus - ICI.Radio-Canada.ca
Read More

Le Centre Bell et le Centre Vidéotron à pleine capacité? - TVA Nouvelles

À partir du 8 octobre, il n’y aura plus aucune limite de spectateurs au Centre Bell et au Centre Vidéotron. Les partisans présents devront cependant être pleinement vaccinés contre la COVID-19.

C’est ce qu’a appris le journaliste du réseau TVA Sports Stéphane Turcot, jeudi.

Un peu plus tard en journée, le ministre de la Santé du Québec, Christian Dubé, annoncera des assouplissements aux mesures sanitaires pour le monde de la culture, ainsi que pour les équipes sportives de la Belle Province.

Concrètement, le CH devrait pouvoir accueillir jusqu’à 21 302 spectateurs. Pour le moment, la limite est fixée à 7500 personnes dans l’amphithéâtre.

Le Canadien disputera son premier match de saison régulière à domicile le 16 octobre, alors que les Rangers de New York seront de passage au Centre Bell.

Pour leur part, les Remparts commenceront leur saison au Centre Vidéotron, ce vendredi, dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec. Ils pourront accueillir autant de spectateurs que possible le 8 octobre quand le Drakkar de Baie-Comeau sera de passage à Québec. 

Adblock test (Why?)


Le Centre Bell et le Centre Vidéotron à pleine capacité? - TVA Nouvelles
Read More

Revolution 4 CF Montréal 1 | « Ils ont été chirurgicaux » - La Presse

Le CF Montréal s’incline 4-1 devant le Revolution de la Nouvelle-Angleterre

Frédérick Duchesneau
Frédérick Duchesneau La Presse

Le CF Montréal recevait la meilleure formation du circuit Garber, mercredi soir, au stade Saputo. Et, en première demie, les visiteurs ont démontré leur capacité à tirer profit des occasions.

Hormis un coup de pied de coin accordé dès le départ, le CF Montréal a connu une excellente première dizaine de minutes.

À la 7minute, un centre de Mathieu Choinière depuis le flanc droit a même failli donner les devants aux locaux. Le ballon a abouti dans les pieds de Romell Quioto, qui a raté de peu la cage de Matt Turner.

« La première mi-temps est un peu difficile à digérer parce qu’on a cette occasion de Romell, et après ils ont été chirurgicaux », a commenté l’entraîneur-chef Wilfried Nancy.

En effet, le puissant Revolution, dirigé par le réputé Bruce Arena, a ouvert la machine et profité de ce qui lui a été offert. D’abord, DeJuan Jones a profité d’un retour de tir bloqué pour battre un James Pantemis, déporté, qui n’y pouvait rien.

Et, à la 17e, Gustavo Bou a admirablement servi le Polonais Adam Buksa qui, de la tête, a marqué son 13e de la saison. Après à peine un quart d’heure, c’était déjà 2-0 pour les visiteurs.

Il faut dire que le club de la Nouvelle-Angleterre n’est pas mal à l’aise sur les terrains adverses, seule équipe de l’Est avec une fiche positive sur la route, et pas qu’un peu : 9-3-3. Globalement, le Revolution est maintenant à 20-4-5, au sommet de la MLS, et présente un dossier remarquable de 13-1-2 à ses 16 derniers matchs.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Le gardien Matt Turner, du Revolution, reste concentré pendant une attaque du CF Montréal.

À la 30minute, le défenseur central Rudy Camacho a accidentellement porté un dur coup aux siens, faisant dévier une frappe derrière le gardien montréalais. Le premier but contre son camp du CF Montréal à son 27match.

« Trois buts rapides sur trois occasions, ça fait mal », a reconnu Samuel Piette après le match.

Mais deux minutes plus tard, la troupe de Nancy a donné la réplique. Une magnifique manœuvre en solo de Joaquín Torres dans la surface de réparation, qui a ensuite déjoué le gardien de la Nouvelle-Angleterre à sa gauche. Un quatrième but pour le petit Argentin.

La première demie s’est donc conclue 3-1, mais ç’aurait pu être pire. Pantemis s’est signalé à deux reprises, sur une belle sortie contre Buksa, notamment.

Sans compter un poteau suivi d’un sauvetage sur la ligne de Zorhan Bassong.

En contrepartie, Quioto a aussi bénéficié d’une autre belle occasion qu’il n’a pu concrétiser.

Le Revolution présentait un dossier de 15-0-2 lorsqu’il marque le premier, et de 11-0-1 quand il mène à la mi-temps…

Le clou dans le cercueil

Le début de la seconde demie a été moins animé que la très offensive première moitié du match.

Cela dit, le CF Montréal en a rapidement pris le contrôle, une grande partie de l’action se déroulant dans le tiers de la Nouvelle-Angleterre.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Joaquín Torres perd pied devant DeJuan Jones.

En déficit de deux buts, il fallait toutefois davantage que quelques menaces. À la 68minute, Piette a donc cédé sa place à Bjørn Johnsen.

Une substitution qui serait cependant devenue bien vaine, dès les instants suivants, n’eût été un arrêt du bout des doigts de Pantemis sur un coup franc redirigé de la tête.

Puis, à la 75e, Ballou Tabla, de retour en uniforme depuis son doublé à Halifax en championnat canadien la semaine dernière, a été appelé à remplacer Choinière.

J’ai aimé la deuxième mi-temps de mes gars, ils ont démontré beaucoup plus de personnalité.

Wilfried Nancy

Et les occasions ont été au rendez-vous. « Mais le Revolution ne s’est pas affolé », a analysé l’entraîneur-chef du CFM.

Quioto et Torres – le meilleur des siens – auront obtenu des chances intéressantes, mais le but suivant est finalement venu du pied de l’Argentin Gustavo Bou, à la 86minute. Son 13e de la saison, dont trois contre le CFM.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Gustavo Bou, du Revolution, est félicité pour son but par son coéquipier Wilfrid Kaptoum.

Déjà en tête de la MLS pour les buts avant le match, avec 53, le Revolution en a donc ajouté quatre à Montréal.

« Sans dire qu’on méritait les trois points, on méritait un meilleur sort », a résumé Piette.

Le CF Montréal (10-10-7) est actuellement huitième dans l’Association de l’Est, tout juste exclu d’une place en séries.

Les hommes de l’entraîneur-chef Wilfried Nancy disputaient le sixième de sept matchs en 22 jours. La séquence prendra fin samedi, à compter de 19 h, alors qu’ils recevront l’Atlanta United FC (10-8-9), sixième dans l’Est.

En chiffres

19

Nombre de tirs au but du CF Montréal, sept de plus que sa moyenne de la saison

Source : MLS

7

Nombre de duels aériens gagnés par Adam Buksa, quatre de plus que Romell Quioto, deuxième à ce chapitre sur le terrain

Source : WhoScored.com

Adblock test (Why?)


Revolution 4 CF Montréal 1 | « Ils ont été chirurgicaux » - La Presse
Read More

À fleur de peau - Le Journal de Montréal

GATINEAU | Pour les partisans du Canadien, Guy Lafleur est Montréalais. Pour les fans des Remparts et des Nordiques, il est de la Vieille Capitale. Lafleur n’y voit aucun problème. Trente ans après sa retraite de la compétition, il continue de représenter les deux villes et le Québec entier avec grande fierté.

Mais il n’a jamais oublié qu’il est un fils de l’Outaouais. 

À Thurso, les gens sont heureux de dire que Lafleur a vu le jour dans leur municipalité et qu’il y a fait ses premières armes dans le petit aréna qui porte aujourd’hui le nom de leur héros, jusqu’à ce qu’il quitte le toit familial à 15 ans pour Québec.

Lafleur a fait connaître sa ville natale à la grandeur de la province. 

En 1969, à l’âge de 17 ans, il devenait le porte-étendard de la nouvelle Ligue de hockey junior majeur du Québec.

Les amateurs prenaient d’assaut les amphithéâtres du circuit pour voir ce prodige qui avait commencé à faire parler de lui au Tournoi international de hockey pee-wee de Québec.

La suite est passée à l’histoire.

Son numéro 4 retiré à jamais

Lafleur était de retour dans son coin de pays, hier soir, pour une célébration spéciale en son honneur.

Une bannière frappée du numéro 4 que Guy Lafleur a immortalisé de 1969 à 1971 avec les Remparts et qui ne sera plus jamais porté dans la LHJMQ a été hissée dans les hauteurs du nouveau Centre Slush Puppie, domicile tout neuf des Olympiques de Gatineau.

Photo Martin Chevalier

Une bannière frappée du numéro 4 que Guy Lafleur a immortalisé de 1969 à 1971 avec les Remparts et qui ne sera plus jamais porté dans la LHJMQ a été hissée dans les hauteurs du nouveau Centre Slush Puppie, domicile tout neuf des Olympiques de Gatineau.

Une bannière frappée du numéro 4, qu’il a immortalisé de 1969 à 1971 avec les Remparts et qui ne sera plus jamais porté dans la LHJMQ, a été hissée dans les hauteurs du nouveau Centre Slush Puppie, domicile tout neuf des Olympiques de Gatineau.

Ce numéro était celui de Jean Béliveau, son idole de jeunesse et son modèle dans la vie.

Il l’a endossé dès son jeune âge et il l’a porté pratiquement tous les jours jusqu’à ce que le Canadien lui confie le 10.

« Dans le junior B à Québec, j’ai eu le numéro 17 alors que je jouais avec Guy Chouinard pour le CTR », a-t-il raconté.

Le CTR ?

« Oui, pour Canadian Tire and Repairs », a-t-il spécifié.

Mais Chouinard et lui n’ont pas eu à vendre de pneus.

La larme à l’œil

Le fils de Thurso, située près de Gatineau, a essuyé plusieurs larmes au cours de la cérémonie.

Photo Martin Chevalier

Le fils de Thurso, située près de Gatineau, a essuyé plusieurs larmes au cours de la cérémonie.

Lafleur a été égal à lui-même. Il tenait à être sur place malgré le rude combat qu’il mène contre le cancer. Il était accompagné de son épouse, Lise. 

Il était de bonne humeur, mais il ne pouvait cacher son état de santé. Il courait après son souffle quand il a rencontré les journalistes avant la cérémonie. 

Les organisateurs l’avaient mis bien à l’aise. Ils lui avaient dit qu’il n’aurait pas à prendre la parole devant les convives qui l’attendaient à des tables placées sur la patinoire s’il ne s’en sentait pas la force.

Mais ce n’était pas cette fois que Lafleur allait décevoir son public. Il est monté sur le podium au grand bonheur de tous, mais l’émotion est devenue trop forte.  

On l’a vu tel qu’il est.

Humain, fort, vulnérable.

Les yeux dans l’eau, il s’est arrêté à quelques reprises pour prendre des bouffées d’air et retrouver son calme.

Tout ça sous les yeux d’une foule qui l’applaudissait et qui lui démontrait un appui indéfectible.

La vie est un combat

On aurait compris s’il était retourné s’asseoir au côté de son épouse, Lise. Mais il a affronté l’adversité comme il le fait depuis toujours.

Guy était accompagné de son épouse, Lise.

Photo Martin Chevalier

Guy était accompagné de son épouse, Lise.

« On dit souvent que la vie est un combat, et c’est vrai, a-t-il dit.

« Ça me frappe depuis que je lutte contre la maladie, mais il faut continuer à se battre, a-t-il ajouté en parlant au nom des gens qui vivent la même situation.

« C’est important de continuer. »

Dures semaines à venir

Lafleur a parlé de la nouvelle série de traitements qu’il entreprendra mardi prochain. Il sait ce qui l’attend.

Son médecin l’a avisé qu’il perdrait ses cheveux et qu’il ressentirait plus de fatigue.

Les prochaines semaines s’annoncent dures.

« Certains passent à travers, d’autres pas, a-t-il continué sans détour.

« C’est la loi de la jungle. Mais je me dis que si la médecine a réussi à fabriquer en un an un vaccin contre la COVID, des efforts peuvent être faits pour trouver des remèdes qui peuvent nous guérir du cancer. » 

Les recettes recueillies hier soir seront d’ailleurs versées à la Société canadienne du cancer.

Le hockey est apparu bien secondaire après l’allocution de Lafleur, voire insignifiant.

Il nous a fait réaliser que la maladie ne fait pas de distinction, qu’elle frappe les riches comme les pauvres, les gens célèbres comme monsieur et madame Tout-le-monde.

Seul Guy Lafleur pouvait nous le rappeler de façon aussi authentique. 

La vie continue.

De quoi faire oublier le Vieux Bob 

C’est toujours difficile de dire adieu à un amphithéâtre où on a vécu de grandes sensations.

Pendant 64 ans, le hockey dans l’arrondissement de Hull, ça se passait à l’aréna Robert-Guertin. 

Scotty Bowman a été le premier entraîneur des Canadiens juniors de Hull-Ottawa, en 1957.

Jean-Claude et Gilles Tremblay, Claude Ruel et Ralph Backstrom, notamment, ont joué sous ses ordres.

Des grands noms

Dans les années 1970, les Festivals de Hull ont fait leur entrée dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec avant d’être rebaptisés les Olympiques.

Luc Robitaille, Benoît Brunet, Martin Gélinas, José Théodore, Claude Giroux, Maxim Talbot et plusieurs autres joueurs ayant évolué dans la Ligue nationale ont porté les couleurs des Olympiques avec brio.

Alain Vigneault et Pat Burns ont fait leur apprentissage derrière le banc au Vieux Bob avant de diriger le Canadien.

Souhait de Gilles Courteau

Les partisans de l’équipe gatinoise vont toutefois se plaire au Centre Slush Puppie, une entreprise locale qui a versé 1,3 million pour 10 ans afin d’être identifiée au nouvel amphithéâtre.

L’édifice compte 4080 sièges auxquels s’ajoutent 500 fauteuils dans les loges corporatives. La capacité atteindra près de 5000 personnes avec les places debout.

Le complexe est doté aussi de trois glaces communautaires.

Les Gatinois ont attendu une quinzaine d’années avant que le projet ne voie le jour. Mais c’est vraiment une réussite.

Gilles Courteau, qui était sur place hier soir, a exprimé le souhait que la naissance du nouveau centre sportif sache inspirer d’autres villes québécoises faisant partie de son circuit à faire de même.

Adblock test (Why?)


À fleur de peau - Le Journal de Montréal
Read More

MLS : Le CF Montréal corrigé par le Revolution - RDS

SOMMAIRE

MONTRÉAL – Le rouleau compresseur de Bruce Arena a accompli un travail de démolition à la hauteur de son impressionnant palmarès mercredi soir au Stade Saputo. Première équipe au classement général de la MLS, le Revolution de la Nouvelle-Angleterre a écrasé le CF Montréal par la marque de 4-1.

Les visiteurs ont marqué trois buts dans les 30 premières minutes, après lesquels la logique n’a jamais été réellement menacée. Défait a seulement quatre reprises depuis le début de la saison, le Revolution a récolté des points pour la quinzième fois à ses seize derniers matchs.

« Des buts comme ça, c’est dur à contrôler, défendait Samuel Piette, dépité, après la rencontre. On était bien dans le jeu avant le premier but, après le premier but on était encore bien, même chose après le deuxième. De prendre ces buts-là, tu es un peu en état de choc parce que tu ne comprends pas trop comment tu les prends, en fait. »

Piette déplorait particulièrement la malchance dont a été victime son équipe sur le troisième but des vainqueurs, un ballon envoyé dans la surface qui a dévié sur le défenseur Rudy Camacho pour ensuite aller mourir dans le fond du filet.

« Tu vois ça et tu te dis qu’il n’y a rien qui va aller pour nous ce soir », a dit le milieu de terrain.

« C’est sûr qu’on est frustrés d’encaisser tous ces buts-là, chuchotait le défenseur Zorhan Bassong. On savait que [le Revolution] avait un trio offensif super fort. Je pense que c’était à nous d’être plus concentrés défensivement, d’être plus à la tâche. Là-dessus, je pense qu’on va devoir travailler. Ils ont eu énormément d’occasions et je pense que le score pourrait être un peu plus large. »

« Avant les buts, on était bien, a tempéré Nancy. Les gars se sentaient bien, ils étaient concentrés, ils avaient envie de bien faire. C’est quand on a pris les buts, surtout le deuxième, qu’on a pris un petit coup sur la tête. C’est là que j’ai senti que mon équipe était plus fébrile. »

Les deux équipes ont chacune cadré le même nombre de tirs – sept – et le CF Montréal a même terminé la rencontre avec un avantage de 19-12 dans la colonne des tirs au but. Mais où son adversaire a été « chirurgical », pour reprendre l’expression de l’entraîneur Wilfried Nancy, le Club de Foot n’a pu que passer proche et s’en mordre les doigts après coup.

Joaquin Torres a été l’unique buteur des Montréalais, pour qui la deuxième défaite de suite combinée à la victoire de l’Atlanta United FC à Miami signifie pour l’instant une exclusion du groupe des sept équipes provisoirement qualifiées pour les séries éliminatoires.

Nancy le devin

Les dix premières minutes du match ont été l’illustration parfaite du contraste que dépeignait Nancy en début de semaine. D’un côté, un prétendant qui laisse des points sur la table par manque d’opportunisme et de l’autre, un aspirant qui peut surgir de nulle part à tout moment pour asséner le coup de grâce.

Les locaux ont montré des dents dès la quatrième minute. Buteur dans chacun de ses trois matchs précédents, Romell Quioto a marqué son territoire dans le couloir droit et attaqué la surface de réparation à deux reprises sans y trouver de coéquipier. Le Hondurien a ensuite lui-même raté la cible sur un tir du point de penalty après réception d’un centre de Mathieu Choinière.

Les Revs, en revanche, ont visé juste dès leur première incursion en territoire ennemi. Un centreur laissé sans surveillance a forcé le gardien James Pantemis à faire un premier arrêt au deuxième poteau, mais le gardien n’a rien pu faire contre le retour apparu aux pieds de DeJuan Jones.

Les visiteurs ont fait fructifier la deuxième occasion qu’ils se sont créée à la 17e minute. Formule relativement similaire : un défenseur battu de vitesse, un passeur avec trop d’espace et un buteur très peu embêté. Cette fois, l’attaquant Adam Buksa s’est gentiment élevé au-dessus de Joel Waterman pour marquer son 13e but de la saison.

Constamment mis en état d’alerte par un rideau défensif découpé en pièces, Pantemis a tenté tant bien que mal d’éviter le dérapage. Juste avant la demi-heure de jeu, il s’est montré solide sur une frappe de loin de Tommy McNamara, puis tout juste après sur une dangereuse incursion de Gustavo Bou. Mais sa bonne étoile l’a abandonné à la 30e minute, quand Camacho a changé sans le vouloir la trajectoire d’une passe en sa direction.

Une lueur d’espoir est apparue presque immédiatement chez les retardataires. Blanchi à ses quatre matchs précédents, Torres a réduit l’avance des meneurs à la 32e. Mais ses efforts n’ont pas eu de suite. Des tentatives éparses ont coloré le reste de la période sans toutefois changer l’implacable réalité du tableau indicateur.

Nancy a tenté de dynamiser la morphologie de son équipe dix minutes après le début de la deuxième demie quand Zachary Brault-Guillard est entré en remplacement de Zorhan Bassong. Le latéral aux jambes fraîches a fait sa part pour apporter le danger près du filet adverse. À la 64e minute, son tir a été bloqué près de la ligne par l’intervention d’un défenseur et son centre à l’intention de Quioto a tout juste raté sa cible.

Quelques instants plus tard, une passe menaçante de ZBG a traversé la surface sans que ni Quioto, ni Djordje Mihailovic n’arrive à s’y synchroniser correctement.

Bjorn Johnsen et Ballou Tabla, entrés respectivement pour Samuel Piette et Mathieu Choinière, ont à peine pesé sur la fin du match.

Le joueur désigné Bou a fermé les livres en marquant lui aussi son 13e de la saison à la 86e minute.

Le CF Montréal jouera son prochain match samedi alors qu’Atlanta sera en visite au Stade Saputo.

Adblock test (Why?)


MLS : Le CF Montréal corrigé par le Revolution - RDS
Read More

Wednesday, September 29, 2021

Le Canadien | Sami Niku : pour le pire… ou pour le meilleur ? - La Presse

Son arrivée à Montréal s’est faite dans le silence quasi complet.

Simon-Olivier Lorange
Simon-Olivier Lorange La Presse

Vendredi dernier, le Canadien a accordé un contrat d’un an au défenseur Sami Niku. La nouvelle n’a occupé que quelques lignes dans les journaux, quelques secondes à la télé. Normal : le Finlandais ne jouait qu’un rôle effacé chez les Jets de Winnipeg, équipe qui l’a repêché au septième tour en 2015.

Et vu l’entente à deux volets qu’on lui a consentie, il serait logique qu’il passe du temps de qualité chez le Rocket de Laval pendant la saison.

Pourtant, l’apparition de Niku dans l’entourage du Tricolore est intrigante. Car il n’est pas clair à quel point le directeur général Marc Bergevin a simplement voulu ajouter de la profondeur à sa défense ou encore s’il voyait dans sa nouvelle acquisition un ajout potentiel à sa formation de 2021-2022.

Car le cas de Niku est, c’est peu dire, complexe. Et son bilan, mitigé.

D’entrée de jeu, une constatation : les statistiques n’aiment pas Sami Niku. Et on le comprendrait de ne pas les aimer lui non plus.

En carrière, le patineur de 24 ans a disputé 54 matchs dans la LNH, dont 53 depuis la saison 2018-2019. C’est donc à compter de cette campagne que nous fixons notre référence.

Un grand total de 255 défenseurs ont disputé 700 minutes et plus à 5 contre 5 de 2018 à 2021.

Parmi ceux-ci, Niku piétine entre la 247e et la dernière position dans six catégories des statistiques avancées les plus communes lorsqu’il est sur la glace.

  • Proportion des tentatives de tir de son équipe : 43,5 % (249e)
  • Proportion des chances de marquer de qualité de son équipe : 36,8 % (255e)
  • Tentatives de tir accordées par tranche de 60 minutes de jeu : 63,5 (247e)
  • Tirs accordés/60 minutes : 34,8 (248e)
  • Buts anticipés/60 minutes : 2,8 (252e)
  • Chances de marquer de qualité accordées/60 minutes : 13,4 (250e)

Ce n’est pas passable ou ordinaire : c’est carrément mauvais.

Il y a en outre le passif que Niku traîne avec lui. Là aussi, il y de quoi sourciller.

Mal-aimé

À sa première saison dans la LNH, en 2018-2019, Niku se retrouve coincé, chez les Jets, derrière l’une des brigades défensives les plus intimidantes du circuit, menée par Jacob Trouba, Josh Morrissey, Dustin Byfuglien, Tyler Myers et Ben Chiarot.

Or, quatre des cinq quittent Winnipeg pendant l’été, si bien que la porte s’ouvre grand devant celui qui, à l’époque, était vu comme l’un des meilleurs espoirs du club à cette position.

Un accident de voiture pendant le camp d’entraînement et une série de blessures minent toutefois sa saison et le limitent à 17 matchs. Il est ballotté entre la LNH et la Ligue américaine. Sa frustration monte. Parallèlement, le mouvement #freeNiku (libérez Niku) prend de l’ampleur chez les partisans des Jets, qui attendent fébrilement que l’habile patineur ait sa chance avec le grand club.

Dans une entrevue avec un média finlandais, Niku évoque son tempérament bouillant. Il raconte également avoir eu une altercation musclée avec l’entraîneur adjoint Charlie Huddy après avoir été laissé de côté.

Sans commenter spécifiquement cet incident, Éric Dubois, entraîneur adjoint chez le Moose du Manitoba, club-école des Jets, a confirmé à La Presse que Niku, à ses débuts en Amérique du Nord, « se décourageait et se frustrait rapidement », à l’entraînement comme dans des matchs.

Petit à petit, il a perdu des rangs dans la hiérarchie des défenseurs de l’organisation.

Niku a passé la majorité de la saison 2021 sur l’escouade de réserve des Jets, ne disputant que cinq rencontres dans la LNH.

Voilà enfin qu’au début du camp d’entraînement, la semaine dernière, la direction de l’équipe a exaucé son joueur. Après avoir échoué à trouver une équipe où l’échanger, on a résilié son contrat, une procédure de dernier recours rarement utilisée. Quelques jours plus tard, le Canadien annonçait son embauche.

Qualités

Le lecteur averti aura constaté que la colonne des « contre » de Niku ne manque pas de documentation. Or, s’il s’est trouvé du boulot aussi vite, c’est parce que celle des « pour » compte aussi des arguments de taille, qui n’ont rien d’étranger à la quête active du Canadien pour trouver un défenseur offensif.

Joel Armia a momentanément côtoyé son compatriote lorsque les deux appartenaient à l’organisation des Jets. Lorsqu’il a été invité à parler de Niku, le gros ailier du Canadien, d’ordinaire peu loquace, a spontanément parlé d’un joueur qu’il « aime beaucoup », d’un « bon kid ». « Il patine bien, il a beaucoup d’habiletés, surtout offensivement », a-t-il ajouté.

Mathieu Perreault, qui a passé les sept dernières saisons à Winnipeg, a pour sa part évoqué « un gars très intelligent, très bon avec la rondelle », qui, « malheureusement, n’a jamais eu la chance de s’épanouir à son plein potentiel ».

Or, « il a une nouvelle chance », a souligné Perreault.

Il a montré dans la Ligue américaine qu’il était capable de produire offensivement et de créer de belles choses. C’est à lui de prouver ça ici.

Mathieu Perreault

Nous y voilà donc. Impossible de parler de Niku sans évoquer sa saison 2017-2018, sa première de ce côté-ci de l’Atlantique, dans l’uniforme du Moose du Manitoba dans la Ligue américaine. L’adaptation aux patinoires nord-américaines peut être fastidieuse pour les défenseurs européens. Pas pour lui. À sa première saison, ses 54 points en 76 matchs lui ont valu le titre de défenseur par excellence du circuit.

Malgré le tempérament du jeune homme, Dubois se souvient d’une belle saison passée à ses côtés. « Je n’ai jamais eu de problèmes avec lui, insiste le Québécois. C’est un joueur très exigeant envers lui-même. On a passé beaucoup de temps, lui et moi, à travailler sur sa manière de réagir après une erreur. Plus l’année avançait, plus il s’améliorait et il gagnait en confiance. Et il a été nommé défenseur de l’année. »

C’est ce Niku-là que la direction du Canadien souhaite réveiller. Pas le joueur bougon limité à 10 points en 54 matchs en carrière dans la LNH.

On ne lui a évidemment pas déroulé le tapis rouge, mais un détail de son contrat mérite qu’on s’y attarde. S’il joue à Montréal, il gagnera 750 000 $, le salaire minimum prévu par la convention collective. Mais s’il est cédé à Laval, une somme garantie de 475 000 $ l’y attendra, ce qui en ferait le plus haut salarié du Rocket, à égalité avec Xavier Ouellet, joueur autrement plus expérimenté et capitaine du club-école.

Cela témoigne sans doute du sérieux qu’on a démontré au moment de l’attirer dans la métropole. Pas de promesses, mais un appât alléchant tout de même.

Niku devait rejoindre l’un des principaux groupes d’entraînement du Canadien mardi matin, mais il a plutôt patiné en solitaire avec un thérapeute. La justification qu’a demandée La Presse à ce sujet est toutefois restée lettre morte chez le Tricolore.

Pour la suite des choses, l’entraîneur-chef Dominique Ducharme a été clair.

Niku « est en compétition avec les autres défenseurs ». « C’est à lui de nous dire où il va jouer. »

La réponse ne devrait pas tarder.

Adblock test (Why?)


Le Canadien | Sami Niku : pour le pire… ou pour le meilleur ? - La Presse
Read More

Marc Bergevin n'aurait pas reçu d'offre concrète du Canadien, affirme François Gagnon - DansLesCoulisses

Marc Bergevin n’a pas de contrat en poche en vue de la saison 2022-2023. De plus en plus, la distraction est importante dans l’entourage du Canadien puisqu’on ne sait pas sur quel pied danser.

Selon ce qui a été écrit par Renaud Lavoie, qui a jasé à des dirigeants de la LNH, penser qu’il touchera environ quatre millions de dollars par année n’est pas utopique.

La question à 1000 piasses, c’est de savoir ce qui bloque. Bergevin, qui compte honorer son contrat jusqu’à la fin, veut-il rester? Est-ce que Geoff Molson hésite à prolonger son entente? Est-ce une simple question de trouver le bon prix?

Qui sait.

En ondes à TSN 690, Darren Dreger croit que le CH et Bergevin vont y arriver, que le Montréalais se sent réénergisé par la run de séries et qu’il suffit simplement de trouver un juste milieu pour signer le contrat.

Pierre LeBrun, qui a rapporté hier la nouvelle du nouveau contrat de Julien BriseBois, est quant à lui d’avis que le DG du CH veut rester.

Cela concorderait bien avec les informations apportées sur la table par François Gagnon puisque le journaliste de RDS affirme que le DG n’a toujours pas eu d’offre concrète sur sa table.

LeBrun a pourtant affirmé le contraire hier en disant qu’il en avait eu une en juillet.

Est-ce que cela veut donc dire que Bergevin a envie de signer, mais qu’il ne peut pas mettre encre sur papier par faute de… manque de papier?

Gagnon a écrit qu’il y avait bel et bien eu des discussions, mais qu’aucune offre concrète n’a été déposée par le clan du Canadien dans toute cette histoire-là malgré tout. Des chiffres ont été lancés, mais surtout, il y a eu des discussions sur la direction à prendre pour le Canadien au cours des prochaines années à venir.

Il est aussi important de se questionner à savoir si la prolongation de contrat du DG du Lightning vient forcer la main de Geoff Molson. Après tout, avec BriseBois hors de la course (si course il y avait, ce dont je doute), il n’y a pas forcément de gros candidat pour remplacer Marc Bergevin.

Rappelons que le début de saison est à nos portes et que le DG du CH ne jasera pas aux médias tant que son sort ne sera pas clarifié.

En rafale

– Mattias Norlinder n’était pas avec un groupe régulier. Pourquoi? Blessure? Coupure? Autre?

– Une véritable fusée, ce Josh Anderson.

– Quel espoir de qualité, celui-là.

– À suivre dès vendredi.

– Comment penser le contraire?

– En parlant du loup.

Adblock test (Why?)


Marc Bergevin n'aurait pas reçu d'offre concrète du Canadien, affirme François Gagnon - DansLesCoulisses
Read More

Alexander Romanov doit canaliser son énergie - TVA Sports

Le jeune défenseur du Canadien de Montréal Alexander Romanov est encore en apprentissage et l’entraîneur-chef Dominique Ducharme estime qu’il doit notamment gérer un peu mieux son énergie.

«Il a de l’énergie partout, a reconnu Ducharme, mardi, indiquant que Romanov représente également un individu très dynamique à l’extérieur de la patinoire, y compris dans le vestiaire. Il faut qu’il gère cette énergie-là et qu’il réussisse à la canaliser.»   

L’entraîneur croit qu’un joueur étant trop actif risque parfois de commettre certaines erreurs.

«Ça fait partie de l’apprentissage, a poursuivi Ducharme, à propos de Romanov. Il a une meilleure idée de ça qu’il y a un an.»

Maintenant âgé de 21 ans, Romanov a déjà pris part à 54 matchs de saison régulière avec le Canadien lors de la récente campagne. Le Russe avait alors récolté six points, dont un but, affichant par ailleurs un différentiel de +1.

Durant les séries éliminatoires, Romanov avait été limité à quatre parties, inscrivant un but dans la victoire de 3 à 2 lors du quatrième match de la finale de la Coupe Stanley, au Centre Bell, contre le Lightning de Tampa Bay.

Adblock test (Why?)


Alexander Romanov doit canaliser son énergie - TVA Sports
Read More

Geste raciste en Ukraine | Andriy Denyskin suspendu trois matchs - La Presse

(Montréal) Andriy Denyskin aurait écopé d’une suspension de trois matchs, assortie d’une sanction supplémentaire de 10 matchs qui peut être remplacée par une amende de 50 000 Hryvnia (environ 1880,22 $US), a rapporté le directeur général de la Ligue ukrainienne de hockey sur Twitter mercredi.

La Presse Canadienne

« La Ligue ukrainienne de hockey et moi-même appuyons Jalen #Smereck et remercions tous les partisans et les journalistes qui l’ont appuyé. La @uhlua estime qu’il n’y a pas de place pour le racisme dans notre monde, et encore moins dans le hockey », a écrit Eugene Kolychev, en citant le Comité de discipline de la Fédération ukrainienne de hockey sur glace.

Cette décision a suscité la colère du HC Donbass, le club pour lequel évolue Smereck.

« 1870 $ pour un geste raciste ? Des gestes racistes contre le joueur du HC Donbass Jalen Smereck. […] Nous porterons la décision en appel », a réagi le club ukrainien sur Twitter.

Smereck, un joueur qui a été la cible d’une insulte raciste lors d’un match de la Ligue ukrainienne de hockey le week-end dernier, a révélé qu’il ne rejouerait plus dans la ligue tant que le rival qui a posé ce geste ne sera pas sanctionné.

Smereck, un défenseur américain du HC Donbass, a mentionné qu’il prend une pause des activités de la ligue jusqu’à ce que le joueur du HC Krementchuk, Denyskin, soit « suspendu et banni de la ligue ». Ce qui ne sera vraisemblablement pas le cas.

Denyskin s’est moqué de Smereck, qui est Noir, avec un geste qui imitait le fait d’éplucher une banane et de la manger lors du match entre Krementchuk et Donbass, dimanche.

Le geste a été capté sur vidéo et a été largement diffusé. Denyskin a été expulsé du match et fait face à une autre sanction de la ligue.

« Ces situations sont très difficiles à vivre et je crois fermement qu’il faut défendre ce qui est juste, a affirmé Smereck, mardi, sur Instagram. J’ai beaucoup réfléchi à la suite pour moi dans ma carrière, mais pour le moment j’ai décidé que je prendrai un congé personnel du HC Donbass et que je ne jouerai pas un autre match dans la [Ligue ukrainienne de hockey] jusqu’à ce qu’Andrey Denyskin soit suspendu et expulsé de la ligue. »

Denyskin s’est excusé pour son geste dans une publication sur les réseaux sociaux qui a depuis été supprimée.

Donbass a mentionné dans un communiqué qu’il était « indigné » par les actions de Denyskin. La Fédération internationale de hockey sur glace et l’Association des joueurs de la LNH ont également condamné ce geste.

« Il s’agit d’une attaque directe contre les idéaux et les valeurs de notre sport, et nous veillerons à ce que toutes les enquêtes nécessaires sur les violations à l’éthique soient menées pour garantir que ce comportement soit sanctionné de manière appropriée », a déclaré le nouveau président de l’IIHF, Luc Tardif, dans un communiqué, lundi.

Smereck, de Detroit, a disputé 17 matchs la saison dernière avec les Roadrunners de Tucson, la filiale des Coyotes de l’Arizona dans la Ligue américaine.

Adblock test (Why?)


Geste raciste en Ukraine | Andriy Denyskin suspendu trois matchs - La Presse
Read More

LCF : David Ménard voit le congédiement de Todd Howard comme une bonne décision - RDS

MONTRÉAL – L’unité défensive des Alouettes de Montréal n’est pas parvenue à déployer ses ailes suffisamment depuis le début de la saison et l’entraîneur de la ligne défensive, Todd Howard, a écopé. Son départ pourrait corriger certaines lacunes d’après l’ailier défensif David Ménard. 

Au cours des derniers mois, le directeur général Danny Maciocia a mis un accent prononcé sur cette unité et il s’attend donc à un meilleur rendement de celle-ci. Dimanche, Howard a payé le prix en perdant son poste. Greg Quick lui succède et il sera appuyé par Byron Archambault qui s’ajoute au personnel d’entraîneurs tout en conservant ses fonctions au recrutement national. 

Même s’il avoue avoir été quelque peu surpris par ce congédiement, Ménard considère que c’était la bonne décision à prendre. 

« On avait de petites lacunes sur nos affectations dans le front défensif pour bloquer les corridors. Une des bonnes choses à faire pour pallier à ces manquements, c’était un changement et l’organisation l’a fait », a réagi Ménard avec franchise.  

« Au niveau des affectations, on joue les jeux qui sont demandés. Si le concept est un peu poreux, si je peux me permettre ce mot, on ne peut pas se dupliquer. Malheureusement, si ça provoquait des trous, on ne pouvait pas faire plus que ce qui était demandé. Je pense que c’est positif et je suis optimiste pour la suite », a ajouté Ménard. 

Même si les joueurs constataient le tout, l’athlète de 31 ans prétend toutefois que ça ne provoquait pas de frustration. 

« Non, parce qu’on a un bon groupe et on travaillait fort quand même. Chaque semaine, que le match ait bien été ou non, on a toujours de petites rencontres avec les entraîneurs pour s’améliorer. C’était plus négatif dans les dernières semaines donc on cherchait à se corriger. C’était décevant parce qu’on pouvait être meilleurs qu’on l’était », a réagi le numéro 52. 

Selon ses dires, les partisans pourraient remarquer une progression dès le prochain match, samedi, à Hamilton. L’objectif de Quick sera de simplifier le portrait afin de jouer de manière plus intense. 

« Il ne cherche pas à réinventer la roue, il veut qu’on joue vite et qu’on fasse des jeux », a précisé Ménard. 

Habituellement, l’entraîneur-chef Khari Jones ne manque pas de mots pour expliquer ses décisions. En ce qui concerne ce départ, il s’est limité à répéter plusieurs fois que Howard n’était plus le bon « fit ». 

Une approche plus agressive à prévoir

Les lacunes dans les affectations devaient, sans l’ombre d’un doute, déranger les autres entraîneurs. La philosophie deviendra plus agressive au cours des prochaines semaines, un élément crucial dans le football canadien. 

« Il faut provoquer de la pression et s’occuper de la couverture. Plus tu attaques un quart-arrière, plus c’est difficile d’être confortable. Au football à trois essais, c’est très important. Il faut ensuite s’assurer que tout se marie bien. On a de très bonnes idées, on a eu de belles périodes de travail ensemble », a évoqué Archambault. 

Quant à Quick, un entraîneur jovial et intense en même temps, il veut insister sur un aspect bien précis. 

« On doit avoir un sentiment d’urgence dans chaque minute de notre travail. J’espère que ça nous aidera à progresser », a insisté Quick en lien avec la fiche décevante de 2-4. 

Cet argument pouvait être lié à une réponse de Ménard.  

« Je me répète, nous avons un bon groupe et je le pense sérieusement. On a fait quelques erreurs et on espère que le changement mettra les gars un peu sur le qui-vive avec notre dossier de 2-4. Je suis excité de voir le prochain match », a prononcé Ménard. 

Avec la nomination d’Archambault, les Alouettes se tournent encore vers un produit local. L’ancien secondeur étoile des Carabins de l’Université de Montréal est tombé en amour avec le métier d’entraîneur à son alma mater. Ce retour sur le terrain le rend très heureux et il s'impliquera aussi activement sur les unités spéciales. 

« J’adore, j’adore ... C’est la plus belle transition pour un joueur. J’ai eu la chance de le faire à l’UdeM et j’ai capoté. Là, c’est avec les Alouettes et je n’en reviens pas d’être capable de faire les deux. Je vais donner tout ce que je peux, je vis le rêve. Si je dois dormir seulement trois ou quatre heures par jour, je vais le faire », a conclu Archambault avec passion. 

Adblock test (Why?)


LCF : David Ménard voit le congédiement de Todd Howard comme une bonne décision - RDS
Read More

Les Rays reculent et n'afficheront pas de bannière en séries - Le Journal de Québec

TAMPA | Les Rays n’afficheront finalement pas de bannière au Tropicana Field durant les séries éliminatoires pour promouvoir le projet de garde partagée de l’équipe entre la région de Tampa et Montréal.

• À lire aussi: Projet de garde partagée: pas la bannière qu’ils voulaient

• À lire aussi: Retour du baseball à Montréal: le gouvernement Legault accusé de rendre service à «des chums milliardaires»

Le propriétaire de l’équipe, Stuart Sternberg, en a fait l’annonce mardi lors de l’émission de radio d’avant-match des Rays.

S’il s’est excusé à l’endroit des fans des Rays pour le tollé que la bannière a causé depuis samedi, M. Sternberg a maintenu son intérêt pour le projet de villes-sœurs.

« J’adore cette équipe, et j’adore le baseball, a déclaré le propriétaire, dont les propos ont été repris par le Tampa Bay Times. J’aime croire que les gens qui suivent l’équipe savent à quel point je pense constamment au futur de l’organisation des Rays et à les garder à Tampa Bay pour les générations à venir. »

« Avec le projet de villes-sœurs, je pense que nous avons trouvé un moyen d’en arriver à cela. Ce projet me rend fébrile et enthousiaste. Et nos fans méritent de savoir à quel point il est sérieux. »

C’est dans la section des fausses balles du champ droit du Tropicana Field que devait être affichée la bannière faisant la promotion du projet de garde partagée entre Tampa et Montréal.

Photo d’archives

C’est dans la section des fausses balles du champ droit du Tropicana Field que devait être affichée la bannière faisant la promotion du projet de garde partagée entre Tampa et Montréal.

À Tampa jusqu’en juin

Selon le Tampa Bay Times, si le projet voit le jour, les Rays disputeraient le camp d’entraînement et les premiers mois du calendrier régulier dans la région de Tampa. L’équipe se déplacerait à Montréal en juin et y jouerait ses matchs locaux jusqu’aux séries éliminatoires.

Celles-ci seraient disputées en alternance dans la région de Tampa et à Montréal. Les Rays souhaitent faire construire un nouveau stade dans la région. Le bail du Tropicana Field – où l’équipe n’a attiré en moyenne que 9000 fans cette année malgré qu’elle ait été couronnée championne de l’Est de l’Américaine – viendra à échéance en 2027.

Une annonce concernant le baseball majeur à Montréal pourrait avoir lieu après les élections municipales du 7 novembre prochain, rapportait Le Journal samedi. 

  • Écoutez la chronique sportive de Jean-François Baril au micro de Philippe-Vincent Foisy sur QUB radio: 

Adblock test (Why?)


Les Rays reculent et n'afficheront pas de bannière en séries - Le Journal de Québec
Read More

MLB à Montréal: «On a un plan» - Denis Coderre - TVA Sports

Candidat dans la course à la mairie de Montréal en vue des élections du 7 novembre, Denis Coderre a préféré jouer de prudence en commentant les récentes nouvelles entourant le dossier d’une possible garde partagée d’une équipe du baseball majeur avec Tampa.

«Je n’ai pas de trouble avec l’ambition et le succès, mais il faut que les choses se fassent correctement, a indiqué M. Coderre, lorsqu’interrogé sur le sujet, lundi. Pour l’instant, on a un plan, mais je ne commenterai pas en disant que ça s’en vient...»  

N’ayant jamais caché qu’il est un grand fervent du retour du baseball, le candidat pour le parti Ensemble Montréal souhaite laisser les présentes négociations se dérouler, estimant qu’il y a d’autres priorités au cours de cette campagne.

«Les gens ne veulent pas entendre parler de baseball, ils ne veulent pas entendre parler si on fait un stade ou pas, ils ne veulent pas de spéculations, ils veulent savoir s’ils peuvent travailler demain matin et si on peut s’en sortir présentement», a tranché le candidat.

Négociations en cours  

M. Coderre a néanmoins laissé savoir qu’il adhérait aux stratégies de développement devant impliquer le secteur privé.

«On n’aura pas le syndrome des Nordiques de Québec. On peut parler de baseball tous les jours... Mais la réalité présentement, c’est qu’il y a des négociations avec [Stephen] Bronfman et son groupe avec le gouvernement du Québec, a-t-il formulé. Il n’y a rien qui va sortir avant l’élection municipale et je vois ça d’un bon œil... Il n’y aura pas, de toute façon, un montant d’argent pour le stade lui-même. On va laisser ces personnes-là négocier.»

Selon ce qui a été rapporté au cours de la dernière semaine, une annonce pourrait avoir lieu après les élections municipales du 7 novembre quant au mariage de Montréal et Tampa. Le financement du stade, qui serait construit au Bassin Peel, demeure par ailleurs en discussions avec Québec.

Un plan bientôt visible  

De son côté, l’organisation des Rays n’a rien fait pour nier les rumeurs. Au contraire. Samedi, dans une entrevue au podcast This Week in Rays Baseball, le président de l’équipe Matt Silverman a même déclaré qu’une affiche faisant la promotion du projet de garde partagée serait posée dans le stade des Rays lors des éliminatoires.

« Nous voulons rendre notre plan visible et montrer que nous sommes fébriles», avait indiqué M. Silverman.

Adblock test (Why?)


MLB à Montréal: «On a un plan» - Denis Coderre - TVA Sports
Read More

Carey Price dans la Ligue professionnelle de hockey féminin - Le Journal de Montréal

[unable to retrieve full-text content] Carey Price dans la Ligue professionnelle de hockey féminin    Le Journal de Montréal Équipe montr...