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Monday, January 31, 2022

Carey Price: «Sa valeur vient d'en prendre un coup» - Le Journal de Montréal

Le chaos est bien installé chez le Canadien de Montréal, qui n’a pas de solutions à ses problèmes sur la glace et qui ne sait pas si Carey Price jouera de nouveau.

• À lire aussi: Un genou qui continue de tracasser Price

• À lire aussi: Carey Price: «Nous sommes heureux ici»

Mentionner que la saison 2021-2022 du Bleu-Blanc-Rouge est un désastre monumental constitue certes un euphémisme. Encore une fois la fin de semaine dernière, Jeff Petry et la plupart de ses coéquipiers en ont arraché. Heureusement pour les partisans, ils n’ont pas payé un traître sou pour assister à ces deux nouvelles contre-performances livrées devant des gradins vides au Centre Bell. N’empêche que le Tricolore est coincé dans un profond marasme et les solutions devront venir rapidement, d’après l’ancien défenseur de l’équipe Alexandre Picard. 

«Offrir des performances semblables, pour moi, c’est inacceptable. On est rendu au point où l’évaluation de Jeff Gorton et de Kent Hughes doit se faire, mais en accéléré. Il faut qu’il se passe quelque chose, car l’effort fourni est lamentable, a-t-il dit pendant le plus récent balado Temps d’arrêt animé par Louis Jean. On a une semaine de congé et elle arrive au bon moment. On a le temps de travailler et de lancer des lignes à l’eau à travers la Ligue nationale.»

Aussi, les actions requises risquent d’être nombreuses et, selon Picard, leurs résultats se présenteront seulement au bout de quelques années. Les amateurs du Canadien auront à se montrer patients et indulgents. Il n’est pas question de batailler pour la coupe Stanley dès la prochaine campagne. Ce sera une reconstruction en bonne et due forme.

«La raison pour laquelle il sera incapable de faire un reset, c’est qu’il n’y a rien dans les ligues mineures, a souligné l’ex-arrière. On n’a pas bien repêché et on n’a pas assez bien développé dans les dernières années. Donc, rien ne nous permet de rappeler des joueurs. On parle des vétérans qui ne font pas le travail et qu’on peut laisser de côté pour un match. Le problème, c’est qui va-t-on mettre à leur place? Choisir entre Sami Niku et Jeff Petry pour une rencontre sur la glace, ça ne fera pas une grosse différence à la fin de la saison.»

Le cas de Carey Price 

Évidemment, les nouvelles fondations qu’auront à établir Gorton et Hughes pour le futur sont reliées au statut de Carey Price. En conférence de presse, dimanche, le gardien ne s’est pas montré trop rassurant quant à la suite de sa carrière. Inactif depuis le début de la campagne, il éprouve des ennuis dans sa remise en forme, son genou opéré en juillet continuant de lui causer des problèmes.

Évoquant les affirmations de Hughes concernant un possible retour de Price qui n’est pas à la veille de se matérialiser, Picard croit que la patience de l’organisation et la santé du numéro 31 doivent guider la suite dans ce dossier.

«Ça en dit long sur la blessure de Carey et on peut faire le débat à savoir si ça vaut la peine qu’il revienne cette année et qu’il risque de se blesser dans une saison de misère. Je pense qu’il est préférable de prendre un pas de recul et d’évaluer cela pour l’an prochain», a-t-il spécifié.

Et si Price peut renouer avec le hockey, pourrait-il être échangé? Selon Louis Jean, les probabilités de le voir évoluer avec une autre formation sont réduites.

«Pour moi, le son de cloche, c’est qu’il se pose des questions sur son genou. Donc, s’il revient et recommence à jouer, une équipe intéressée à Carey Price se dit qu’après sa prochaine blessure, il ne reviendra plus. Alors, même sa valeur sur le marché vient d’en prendre un coup», a déclaré l’animateur.

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Carey Price a une motivation en tête - TVA Sports

Malgré le plan de reconstruction que songent à mettre en branle Kent Hughes et Jeff Gorton et la gestion de la pandémie plus serrées au Québec qu’ailleurs en Amérique du Nord, Carey Price ne compte pas couper les ponts avec le Canadien de Montréal. 

«Je n’ai pas de plan ce sens. Ma famille et moi sommes très heureux ici. On est bien installé. C’est notre maison. Il y a une raison pour laquelle j’ai signé un contrat avec une clause de non-mouvement et c’était de rester ici. En ce moment, je n’ai pas l’intention de déménager ailleurs», a indiqué le gardien du Canadien au cours de son point de presse d’une quinzaine de minutes. 

Au terme de la présente campagne, il restera quatre saisons au pacte de huit années que le gardien de 34 ans a signé en juillet 2017. Oui, le cerbère le plus victorieux de l’histoire de l’équipe avait accepté de lever cette même clause dans les jours précédents le repêchage d’expansion du Kraken de Seattle.

Sachant très bien que Ron Francis, le directeur général de la 32e formation de la LNH ne prendrait pas le risque d’hypothéquer sa masse salariale de 10,5 M$ avec un gardien dont l’état de santé était incertain, le Tricolore avait pris ce pari dans le but de pouvoir protéger Jake Allen. 

Un travail à achever 

Au-delà du bonheur de la famille Price, il y a une autre raison qui pousse le numéro 31 à vouloir continuer de porter l’uniforme du Tricolore: il est habité par le sentiment d’un travail inachevé.

«Être le gardien du Canadien, c’est une grosse portion de mon identité. Ça fait plus de 10 ans que je le suis. Nous avons fini la saison sur une note décevante. Je veux reporter ce chandail. Ça me garde motivé.»

On se souviendra que Price avait pris une large part du blâme au terme du dernier revers de l’équipe, à Tampa. Un jugement sévère que Shea Weber avait, avec raison, rapidement réfuté.

On ignore si cette amère élimination, jumelée au fait qu’il était conscient qu’il pourrait devoir passer sous le bistouri, a contribué à la descente aux enfers de Price qui, en octobre, a choisi d’intégrer le programme d’aide de la LNH en raison d’un problème d’abus de substance, mais ça n’a certainement pas aidé.

La bonne nouvelle, c’est que de ce côté, tout semble être rentré dans l’ordre. 

«Ce fut une décision très difficile, mais il fallait que je la prenne. J’étais dans une situation où je devais absolument demander de l’aide. Ce fut un moment difficile à passer, mais le résultat fut positif. Je suis très reconnaissant de toute l’aide que j’ai eue», a déclaré le gardien.

«Je vais bien. Je regarde l’avenir d’un bon oeil», a-t-il ajouté.

Un exemple à suivre 

À l’instar de Jonathan Drouin qui s’était éloigné de l’équipe en raison de problèmes de santé mentale liés à l’anxiété, Price espère que le geste qu’il a posé incitera d’autres personnes en détresse à demander de l’aide. Mais d’abord, il faut reconnaitre la situation.

«Admettre qu’on a un problème, c’est la première étape pour plusieurs personnes. Ce n’est pas facile. J’ai vu plusieurs personnes avoir des problèmes dans ma vie personnelle. Ce n’est pas un pas facile à faire.»

À l’annonce du départ de Price vers un centre de traitement, plusieurs de ses coéquipiers s’en voulaient de ne pas avoir été en mesure de déceler les indices indiquant que leur coéquipier avait des problèmes de dépendance. 

Ceux-ci se sont assuré de se reprendre de belle en offrant soutien et réconfort à leur ami.

«Je suis très reconnaissant du soutien que j’ai obtenu. Non seulement de la part des partisans, mais également de l’organisation, de mes coéquipiers et de ma famille, a déclaré Price. Sans ces encouragements, ç’aurait été bien plus difficile.»

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Carey Price a une motivation en tête - TVA Sports
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Sunday, January 30, 2022

Carey Price anxieux au sujet de son avenir - TVA Sports

Carey Price avait retiré son chapeau de cowboy noir. Il portait un complet foncé et il avait un air solennel. S’il semblait en paix d’esprit, le gardien de 34 ans restait tracassé par un genou qui refuse de guérir complètement.

Il y a une chose que Price a peur de retirer complètement. Ce n’est pas son chapeau, mais bien son masque de gardien.

Voyez le point de presse dans la vidéo ci-dessus.

«Le hockey, c’est une grosse portion de mon identité, a dit Price. Je suis le gardien du Canadien de Montréal depuis un peu plus d’une décennie. Nous avons fini la saison sur une note décevante. Je voulais reporter ce chandail.»

Opéré à un genou à la fin du mois de juillet, le gardien originaire de la Colombie-Britannique n’a toujours pas bloqué une rondelle cette saison avec le gilet du CH sur ses épaules. Il aimerait y parvenir, mais il ignore si ce sera possible.

«Oui, c’est un objectif de revenir au jeu cette année, a-t-il répliqué. Ç’a toujours été mon but depuis que je suis revenu ici (Montréal). J’ai eu des reculs dans ma rééducation. C’était frustrant. Mais je dois m’en occuper, je dois trouver une façon pour guérir. Je fais des pas dans la bonne direction. J’espère que je poursuivrai une progression afin de revenir dans mon uniforme assez rapidement.»

Une possibilité

Il y a l’espoir, mais il y a aussi le doute. L’espoir, c’est un retour au jeu d’ici la fin de la saison. Le doute, c’est de voir le gagnant du trophée Vézina en 2015 accrocher ses jambières.

Dans une entrevue à La Presse dimanche, Kent Hughes, le directeur général du Tricolore, n’a pas écarté l’hypothèse d’une carrière compromise pour son gardien étoile.

Questionné à ce sujet, Price n’a pas plus fermé la porte au plus sombre des scénarios.

«Tu ne sais jamais. Il y a toujours une possibilité. Il y a plusieurs choses qui détermineront ma saison au cours des prochaines semaines. Moi-même, j’ai hâte d’obtenir les réponses. Mais, je n’ai pas encore les réponses. On le saura prochainement.»

«Je regarde pour le prochain mois, a-t-il continué. J’ai déjà passé par ce chemin au cours des dernières semaines et il y a eu des reculs.»

Des doutes

Relancé sur ses probabilités de recommencer à jouer, l’homme originaire d’Anahim Lake a encore une fois opté pour la prudence.

«Je ne peux pas offrir une statistique pour mes chances de revenir dans le filet. Je viens juste de recommencer à patiner. Mais j’ai eu des reculs lors des deux occasions. Je garderai ça comme objectif de revenir au jeu.»

Price, qui a connu un parcours formidable en séries, a aussi comme crainte de ne pas pouvoir revenir au sommet de son art. Une crainte que partage la majorité des joueurs qui cherchent à récupérer d’une blessure sérieuse.

«Ça me passe par la tête. Quand tu as une blessure de la sorte et qu’il y a des reculs, il y a toujours des doutes. Tu es un athlète, tu performes à un haut niveau. Tu te poses toujours des questions. Nous avons de bons thérapeutes. Je ferai confiance aux médecins. J’espère revenir à mon niveau à mon retour.»

Price n’avait pas rencontré les journalistes depuis le 7 juillet, date de l’élimination en cinq matchs en finale de la Coupe Stanley contre le Lightning de Tampa Bay. Ce soir-là, il partageait un podium avec son capitaine, Shea Weber.

«Je savais que c’était probablement près de la fin pour Webs, a-t-il admis. Je savais aussi que j’étais pour avoir une opération. Je ne pensais pas trop à ça. Je pensais surtout à notre parcours. C’était une longue route mentalement. C’était vraiment agréable, mais c’était aussi difficile à accepter à la fin. Je savais qu’il était pour se passer plusieurs choses. Ça me traversait l’esprit.»

À sa première sortie médiatique en 207 jours, Price a offert des réponses assez généreuses, quand on considère qu’il est un homme réservé. Dans une saison où le bateau coule de partout et où l’absence de plusieurs meneurs se fait drôlement sentir, Price restera une oreille attentive pour ses coéquipiers, mais il n’a pas le sentiment d’avoir le même ascendant en se retrouvant à l’infirmerie.

«Je peux rester comme un meneur au sein de l’équipe, je sais qu’il y a des joueurs qui me regardent. Mais quand tu es blessé, ce n’est pas le même sentiment. Je peux être là pour parler à des coéquipiers. Ce n’est pas une saison facile.»

CITATIONS EN VRAC      

 «Ça m'a effleuré l'esprit [de ne jamais retrouver mon niveau de jeu habituel]. Il y a toujours un doute dans ton esprit. Tu te poses toujours des questions.»

«Je ne peux vous fournir les probabilités de mon retour. J'aimerais pouvoir le faire.» 

«Je veux être en mesure de mettre ce chandail à nouveau. C'est ce qui me motive en ce moment.»

«Je n'ai pas l'intention d'aller ailleurs [qu'à Montréal].»  

Sur la possibilité qu'il ne puisse plus jamais jouer : «Tu ne sais jamais ce qui va arriver. Il y a beaucoup de possibilités. J'en saurai plus dans les prochaines semaines. Je suis évidemment anxieux moi-même.»

«C'est certainement un objectif pour moi de revenir au jeu. Le processus a été frustrant jusqu'ici, c'est sûr.»

 «Je veux que tout le monde sache que je vais bien. Je regarde vers l'avenir.»

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Carey Price anxieux au sujet de son avenir - TVA Sports
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Réponse à la collision Kassian - Montembeault : très décevant, inacceptable et impardonnable - DansLesCoulisses

Le Canadien s’est fait absolument ramasser hier soir par les Oilers d’Edmonton, et ce dans tous les sens du terme.

Le tricolore s’est incliné 7 à 2, en plus de ne pas venir à la défense de Samuel Montembeault après que ce dernier ait été frappé par Zach Kassian derrière le filet.

Oui Pezzetta a engagé le combat avec Kassian plus tard dans le match, mais reste que c’est beaucoup trop tardif comme réponse à un tel geste.

Je ne critique pas Pezzetta, loin de là, je dis simplement qu’il n’était pas sur la glace lors de l’incident, et que ce n’était pas à lui d’aller confronter Kassian.

En tout cas, Pezzeta attendait avec impatience de se retrouver sur la glace en même temps que Kassian.

https://twitter.com/JeremyFilosa/status/1487621303590961152

Hier soir, les plateformes hockey et les médias sociaux ont explosé. Comment se fait-il que PERSONNE n’a confronté Kassian après un tel geste sur le gardien du tricolore?

Les critiques ont tout d’abord été très fortes à l’endroit de Jeff Petry, étant donné qu’il était le vétéran sur la glace lors de l’incident.

C’est Maxim Lapierre qui a ouvert le bal hier soir en y allant de forts propos à l’après-match de TVA Sports.

Mon collègue Charles-Alexis Brisebois a fait l’analyse de ces fortes critiques de Maxim Lapierre et de TVA Sports.

À RDS, les analystes de l’Antichambre n’y sont également pas allés de main morte à l’endroit de Jeff Petry.

Cliquez ici pour voir l’entièreté du segment de l’Antichambre.

En analysant la séquence, ils ont tous eu la même analyse : le seul joueur qui voit l’entièreté de l’action est le numéro 26 du CH, Jeff Petry.

Qu’est-ce que Petry fait? Il vient à peine voir Kassian pour toucher son chandail. Aucune émotion, aucune intensité, aucune hargne n’a été démontrée par Petry.

Il est clair que le coupable de ce geste étant Zach Kassian, un des plus durs des durs de la LNH, plusieurs joueurs hésiteraient à jeter les gants. Toutefois, là n’est pas le point.

Personne ne demande à Petry ou à un autre joueur sur la glace d’engager le combat avec Kassian, mais tout simplement de lui faire savoir que le geste qu’il vient de commettre est inacceptable. Que ce soit par une mêlée, une prise de l’ours, des bousculades ou des paroles, ça prend une réponse.

Dominique Ducharme a parfaitement résumé cette idée en y allant de la phrase suivante.

Peu importe le geste, peu importe le coupable, peu importe le classement du CH, ça prend une réponse qui démontre à l’assaillant qu’un tel geste ne passe pas.

P.J. Stock, Stéphane Waite et Denis Gauthier ont tous qualifié cette situation comme quelque chose de TRÈS décevant, d’inacceptable et d’impardonnable.

Des mots forts qui ont totalement leur place selon moi compte tenu de la situation.

Imaginez deux secondes la réaction de l’équipe à un tel geste si Carey Price avait été devant le filet, et si Shea Weber et Joel Edmundson avaient été sur la patinoire.

Kassian aurait probablement eu de la difficulté à retourner au banc sans avoir à répondre de ses actes.

On dirait vraiment que l’esprit d’équipe n’est plus chez le CH, et que tout le monde a abandonné. On avait déjà pu noter que quelque chose n’allait pas lors de ‘entraînement de vendredi.

Bref, espérons que ce genre de situation ne se reproduira plus jamais.

En extra, voici quelques citations de Jeff Petry après le match.

https://twitter.com/JeremyFilosa/status/1487622246692798466

https://twitter.com/JeremyFilosa/status/1487622544232431616

https://twitter.com/JeremyFilosa/status/1487622782871642117

En Rafale

– Un match crucial à ne pas manquer.

– Quel joueur, quel match, quel tournoi ! Bravo Rafa !

– Le pointage de ce match de fou.

– Tout à fait d’accord.

– Égalité au premier rang au Super-G de Garmisch.

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Des signes encourageants pour Price à l'entraînement - TVA Sports

À quelques heures d’un premier bain médiatique en près de sept mois, Carey Price a été aperçu, dimanche matin, sur la patinoire du Complexe Sportif Bell de Brossard. Il portait son équipement complet. 

Le gardien du CH a majoritairement effectué des exercices de patinage, ajoutant au passage quelques déplacements en position debout. Il n’a pas reçu de lancers, mais il semblait à l'aise et bougeait de façon fluide. 

Price n'a toujours pas vu d’action cette saison. Après avoir subi une opération au genou, le portier de 34 ans a intégré de son propre chef le programme d'aide aux joueurs de la LNH/AJLNH. Nous étions alors en novembre.

L’an dernier, le no 31 a remporté 12 matchs, en plus d’afficher un pourcentage d'arrêts de ,901 et une moyenne de buts alloués de 2,64.

À noter que Jonathan Drouin, blessé au poignet droit, a également foulé la glace en compagnie de Price. 

Voyez les images de leur séance d’entraînement en vidéo principale.

Peu de temps après leurs deux coéquipiers, Joel Armia, Christian Dvorak, Cole Caufield et Cayden Primeau ont également pris part à une séance sur la patinoire.  

Joel Armia, Christian Dvorak et Cole Caufield foulent la glace à Brossard -

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Des signes encourageants pour Price à l'entraînement - TVA Sports
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Rafael Nadal remporte un 21e titre en grand chelem, une victoire historique - Radio-Canada.ca

Rafael Nadal célèbre les bras au ciel.

Rafael Nadal laisse exploser sa joie après la conquête d'un 21e titre de grand chelem.

Photo : afp via getty images / MARTIN KEEP

Jean-François Chabot

L’Espagnol Rafael est devenu, dimanche, le maître absolu des tournois du grand chelem, en s’imposant en finale des Internationaux d’Australie.

Pour récolter cette 21e victoire historique, Nadal (no 6) a eu besoin de cinq manches et 5 heures 24 minutes face au Russe Daniil Medvedev (no 2), qu'il a finalement défait 2-6, 6-7 (5/7), 6-4, 6-4 et 7-5.

À 35 ans, Nadal devance maintenant Roger Federer (20) et Novak Djokovic (20), expulsé d’Australie avant le début du tournoi, au sommet du classement pour le nombre de victoires en tournois majeurs.

Dans les minutes qui ont suivi sa victoire, Nadal a eu droit aux félicitations de Djokovic qui lui a adressé le gazouilli suivant sur son compte Twitter: Formidable accomplissement ! Une fois de plus, cet impressionnant esprit combatif a su s'imposer. Medvedev a tout donné en jouant avec la passion et la détermination auxquelles il nous a habitués.

Pour ne pas être en reste, Federer a largement abondé dans le même sens sur Instagram.

Quel match ! Sincères félicitations à mon ami et grand rival @rafaelnadal pour être devenu le premier homme à remporter 21 titres du Grand Chelem, a témoigné le Suisse, qui n'a pu prendre part cette année au tournoi australien, toujours convalescent après une opération à un genou.

« C'est fantastique, il ne faut jamais sous-estimer les grands champions. Ton incroyable éthique de travail, ton dévouement et ta combativité sont une grande inspiration pour moi et pour bon nombre de joueurs. »

— Une citation de  Roger Federer

Treize des grands titres de Nadal ont été acquis sur la terre battue de Roland-Garros, sa surface de prédilection.

Il compte aussi quatre titres aux Internationaux des États-Unis et deux sur le gazon de Wimbledon. Cette victoire à Melbourne est la deuxième de sa carrière en six présences en finale, sa première depuis 2009.

« Ce trophée restera à jamais dans mon coeur. C'est fou! Il y a un mois et demi, je ne savais pas si je rejouerais. Et là, je soulève ce trophée. Vous ne pouvez pas vous imaginer tout le travail qu'il a fallu accomplir pour y arriver. »

— Une citation de  Rafael Nadal

C'est un des matchs qui m'a procuré le plus d'émotions dans ma carrière et, le partager avec toi (Daniil Medvedev, NDLR), c'est un honneur, a-t-il dit, en promettant au Russe qu'il soulèverait sans aucun doute ce trophée plusieurs fois dans sa carrière.

Le niveau était fou... Pendant le match, je jouais mais, après, je lui ai demandé : "tu n'es pas quand même un peu fatigué?", avait d'abord relaté Medvedev, finaliste malheureux.

Bien que très déçu, Medvedev a terminé son face-à-face parfois tendu avec le public australien sur une note d'humour. D'habitude, mon épouse est dans le box... là, je pense qu'à l'heure qu'il est notre téléviseur doit être cassé !

Nouvelle remontée

Face à Medvedev, Nadal a de nouveau puisé dans ses ressources afin de combler un retard de deux manches.

Plus tôt cette semaine, en quarts de finale, Nadal avait résisté à une poussée du Canadien Denis Shapovalov pour l'emporter aussi en cinq manches. La fiche du Majorquin est de 24-13 dans ses duels en cinq manches, contre 3-8 pour Medvedev.

Auteur de 36 fautes directes au cours des deux premières manches, Nadal semblait se diriger vers une conclusion décevante. Mais une blessure à la cuisse gauche est venue entraver la marche de Medvedev.

Même les multiples interventions du thérapeute n’ont pas permis au Russe de retrouver tous ses moyens. Privé de cet appui essentiel, le service de Medvedev a aussitôt perdu de son mordant.

Un joueur de tennis reçoit un soin thérapeutique.

Daniil Medvedev n'a plus été le même après avoir reçu un traitement à sa cuisse gauche.

Photo : afp via getty images / WILLIAM WEST

La manche ultime à elle seule a été le théâtre d'une bataille épique, Medvedev faisant fi de la douleur pour jeter ses derniers efforts sur le court.

Nadal a tout de même renversé la vapeur et inscrit son nom en lettres d’or dans le grand livre du tennis de l’ère moderne.

Nadal devient aussi le deuxième joueur de l'ère moderne, le quatrième dans l'histoire, à avoir remporté au moins deux fois chacun des quatre tournois majeurs. Un exploit réalisé par Djokovic l'an dernier, quand il a gagné Roland-Garros pour la deuxième fois.

Trois femmes ont fait mieux dans l'histoire du tennis : Margaret Court (24 titres majeurs), Serena Williams (23) et Steffi Graf (22).

Il embrasse le trophée du vainqueur.

Rafael Nadal embrasse son deuxième trophée des Internationaux d'Australie.

Photo : afp via getty images / MARTIN KEEP

Un duel dantesque

Cette finale à Melbourne entre Medvedev et Nadal était une revanche de celle remportée en cinq manches par l'Espagnol aux Internationaux des États-Unis, en 2019.

Cette année, Medvedev pouvait se prévaloir de l'expérience de deux finales majeures supplémentaires jouées en 2021 : l'une perdue sur le court Rod Laver australien face à Djokovic et l'autre gagnée sur le Arthur-Ashe new-yorkais face au même Serbe.

Nadal a tout de suite pu sentir la différence. Après trois premiers jeux serrés, le Russe a nettement pris le dessus dans la première manche. L'Espagnol a tout tenté : allonger les échanges, les écourter, monter au filet, jouer court, long... rien ne parvenait à déstabiliser Medvedev, qui a facilement remporté cette entrée en matière.

Dans la deuxième manche, qui a duré 84 minutes, le Russe a perdu de son efficacité au service et s'est retrouvé sous pression. Nadal a réussi deux bris, mais son adversaire est revenu à 5-5. Les deux hommes en sont arrivés au jeu décisif, où Medvedev a conclu à sa première occasion.

Pour rester dans le match, Nadal - qui se remet d'une blessure à un pied lui ayant coûté six mois de compétition l'an dernier ainsi que d'une infection à la COVID-19 - était condamné à l'exploit à chaque point. En début de deuxième manche, un amorti lui a d'ailleurs permis de remporter un point après 40 coups échangés.

Dans la manche suivante, il a sauvé trois balles de bris pour revenir à 3-3. C'est lui qui a pris le service de son adversaire pour mener 5-4 et servir pour la manche. Il a conclu sur un coup droit rageur le long de ligne.

L'Espagnol a ensuite réussi le bris décisif en quatrième manche pour mener 3-2 et, ensuite, niveler les chances dans le match.

La manche décisive a donné lieu à une bataille de tous les instants. Ayant réussi le bris pour mener 3-2, Nadal s'est fait rejoindre à 5-5 alors qu'il servait pour le match et qu'il n'était qu'à deux points de la victoire.

Medvedev a de nouveau perdu son jeu au service et, cette fois, Nadal a réussi à conclure.

Victoire tchèque

En lever de rideau de cette dernière journée sur le court Rod Laver, les Tchèques Barbora Krejcikova et Katerina Siniakova ont remporté la finale du double féminin, ajoutant un quatrième titre du grand chelem à leur palmarès commun.

Finalistes l'an dernier à Melbourne, elles ont cette fois décroché la victoire en battant en finale la Kazakhe Anna Danilina et la Brésilienne Beatriz Haddad 6-7 (3/7), 6-4 et 6-4.

Depuis qu'elles ont commencé à jouer ensemble en 2016, Krejcikova et Siniakova ont aussi remporté les tournois de Roland-Garros (2018 et 2021) et de Wimbledon (2018).

Krejcikova a également remporté Roland-Garros en simple l'an dernier.

Avec les informations de Agence France-Presse

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Rafael Nadal remporte un 21e titre en grand chelem, une victoire historique - Radio-Canada.ca
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Carey Price rencontrera les médias dimanche - TVA Sports

Le gardien Carey Price parlera aux médias pour la première fois cette saison dimanche, ont annoncé les Canadiens de Montréal au terme de leur défaite de 7-2 face aux Oilers d'Edmonton, samedi en soirée. 

Rappelons que Price n'a toujours pas joué cette saison et que des journalistes ont questionné Dominique Ducharme cette semaine pour savoir pourquoi le gardien n'avait toujours pas rencontré les membres des médias.

Price était d'ailleurs présent au Centre Bell pour assister au match entre les Oilers et le Tricolore. 

Le gardien portait pour l'occasion un spectaculaire chapeau de cowboy. À voir dans la vidéo ci-dessus.

De nombreux autres joueurs blessés étaient également dans la loge de Geoff Molson. 

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Carey Price rencontrera les médias dimanche - TVA Sports
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Saturday, January 29, 2022

LNH : les Oilers débarquent au Centre Bell pour y affronter le Canadien - RDS

AVANT-MATCH

Les attaquants Brendan Gallagher et Paul Byron ont enfilé des chandails réguliers lors de l'entraînement optionnel du Canadien de Montréal samedi matin au Complexe sportif Bell de Brossard, un signe encourageant en vue de leur retour au jeu.

« Ils ne reviendront pas au jeu ce soir, mais on est confiants qu'ils pourraient le faire demain. C'était un peu leur dernier test sur la glace pour s'assurer que tout est sous contrôle. Il y a de bonnes chances qu'ils soient là demain », a d'ailleurs déclaré l'entraîneur-chef Dominique Ducharme en visioconférence.

11 att., 7 déf. : « Si on le fait ça va être un choix »

Gallagher récupère d'une blessure au bas du corps subie à la fin du mois de décembre contre les Hurricanes de la Caroline, tandis que Byron se remet toujours d'une intervention chirurgicale à une hanche réalisée avant le début de la campagne.

« Ç'a été très long, même si l'été a été très court. La rééducation a été très longue, et ç'a été dur de regarder certains matchs des gradins. Je veux être sur la glace et aider l'équipe. Je suis donc très excité de rejoindre l'équipe et de pouvoir recommencer à jouer au hockey », a évoqué Byron, qui n'a pas disputé de rencontre dans la LNH depuis le 7 juillet 2021.

Le Canadien accueille les Oilers d'Edmonton ce soir au Centre Bell, et recevra la visite des Blue Jackets de Columbus dimanche.

« Je veux juste revenir au jeu et gagner des matchs de hockey. Ce sera amusant ce soir de regarder les gars, car nous avons joué plusieurs matchs contre eux (les Oilers) la saison dernière et nous les connaissons bien. Ce sera donc amusant de regarder ça ce soir, et de retourner au jeu demain. C'est ça qui me motive; gagner des matchs de hockey », a pour sa part mentionné Gallagher.

D'autre part, Ducharme a indiqué que les attaquants Joel Armia et Cole Caufield, qui s'entraînaient jusqu'à tout récemment à Madison, au Wisconsin, après avoir chacun reçu un diagnostic positif à la COVID-19, n'ont toujours pas pu rejoindre leurs coéquipiers à Montréal. Il est donc peu probable qu'ils soient en uniforme face aux Oilers.

« Leur vol a été annulé, en fait, il a été reporté trois fois hier, donc ils devraient rentrer cet après-midi. Ils joueront peut-être demain, mais est-ce que c'est la situation idéale? Nous verrons après la rencontre de ce soir et aurons plus de détails demain », a expliqué le pilote du Tricolore.

Ducharme a également indiqué qu'il devra discuter avec le vice-président aux opérations hockey Jeff Gorton et le directeur général Kent Hughes de la possibilité de retourner Caufield au Rocket de Laval afin qu'il poursuive sa progression pendant la pause du match des étoiles de la LNH.

Sans vouloir dévoiler son jeu, Ducharme a mentionné qu'il pourrait être tenté d'adopter une formation composée de 11 attaquants et sept défenseurs contre les Oilers, dans l'espoir de neutraliser les joueurs étoiles Connor McDavid et Leon Draisaitl.

Par ailleurs, le gardien étoile Carey Price a patiné pendant 10 minutes en matinée, mais il ne faut pas s'attendre à un retour au jeu de sitôt.

« Il a encore plusieurs étapes à passer (avant son retour au jeu) », a nuancé Ducharme au sujet de Price.

Evander Kane sur le 1er trio

Après avoir traversé une série de sept défaites consécutives, les Oilers se sont récemment ressaisis, signant la victoire à leurs trois dernières rencontres.

L’attaquant des Oilers Leon Draisaitl occupe le premier rang du classement des meilleurs marqueurs de la LNH avec 59 points, à égalité avec Jonathan Huberdeau, des Panthers de la Floride. Le capitaine des Oilers Connor McDavid n’accuse qu’un point de retard sur ceux-ci, sur un pied d’égalité avec Alexander Ovechkin des Capitals de Washington et Nazem Kadri de l’Avalanche du Colorado.

Le match de ce soir marquera par ailleurs les débuts d’Evander Kane avec les Oilers. Il devrait évoluer sur le premier trio aux côtés de McDavid et ¸Kailer Yamamoto.

Après avoir vu son contrat être racheté par les Sharks de San Jose, Kane a signé une entente avec les Oilers – avec un salaire déclaré de 750 000 $ US et 625 000 $ en primes – valide jusqu'à la fin de la présente saison.

Formation des Oilers : 

Kane-McDavid-Yamamoto
Foegele-Draisaitl-Puljujarvi
Hyman-RNH-Kassian
Shore-McLeod-Ryan

Nurse-Bouchard
Keith-Ceci
Lagesson-Russell

Skinner
Koskinen

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LNH : les Oilers débarquent au Centre Bell pour y affronter le Canadien - RDS
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Internationaux d'Australie: Medvedev reçoit 12.000 dollars d'amende - Le Journal de Montréal

Daniil Medvedev a reçu 12000 dollars d’amende pour son mauvais comportement lors de sa demi-finale des Internationaux d'Australie gagnée vendredi contre Stefanos Tsitsipas, ont annoncé samedi les organisateurs.

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Tsitsipas a lui écopé d’une amende de 5 000 dollars, également pour violation du code de conduite lors du même match.

L’amende de Medvedev se divise en deux: l’une de 4 000 dollars pour «conduite antisportive» et la seconde de 8 000 dollars pour «obscénité visible».

Le Russe, énervé après avoir offert un break au Grec dans le deuxième set, s’en est pris vertement à l’arbitre, avant de se qualifier en finale des Internationaux d'Australie. «Comment peux-tu arbitrer une demie alors que tu es si mauvais ?», lui a-t-il notamment lancé.

Il a ensuite expliqué en conférence de presse avoir été agacé par le père de Tsitsipas qui parlait beaucoup pendant le match. Le Grec a effectivement reçu un avertissement pour coaching.

En finale dimanche, Medvedev affrontera l’Espagnol Rafael Nadal, qui vise un historique 21e titre du Grand Chelem.

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Friday, January 28, 2022

Jonathan Drouin encore sur le carreau | JDM - Le Journal de Montréal

L’attaquant du Canadien Jonathan Drouin a subi une blessure au poignet droit et devra s’absenter pour une durée indéfinie, a confirmé l’organisation montréalaise.

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Drouin n’a pas joué depuis le 20 janvier face aux Golden Knights de Vegas, lui qui compte 20 points en 32 sorties cette saison. Il a déjà éprouvé des ennuis avec son autre poignet, ayant été opéré pour une blessure subie en novembre 2019.

Le Tricolore a aussi indiqué que le passage à l’infirmerie du Québécois Mathieu Perreault se prolongera de trois à quatre semaines. Quant à lui, le défenseur Joel Edmundson, qui a subi une blessure au dos, «progresse lentement et poursuit son travail thérapeutique», lit-on sur le compte Twitter du Canadien.

Montembeault absent

Moins de 24 heures après avoir subi la défaite contre les Ducks d’Anaheim, les joueurs du Canadien étaient de retour à l’entraînement, vendredi, sans toutefois pouvoir compter sur les gardiens Samuel Montembeault et Michael McNiven.

Le défenseur David Savard n’était pas du nombre non plus, car il a eu droit à des traitements. Son collègue Kale Clague, laissé de côté lors du dernier match, le remplaçait sur la première paire d’arrières du Tricolore avec Ben Chiarot.

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Evander Kane commencera son aventure à Montréal - TVA Sports

C’est contre le Canadien de Montréal, samedi au Centre Bell, que l’attaquant Evander Kane effectuera ses débuts dans l’uniforme des Oilers d’Edmonton, a confirmé l’organisation durant une conférence de presse tenue la veille.

Signataire d’un contrat valide pour le reste de la saison, le joueur d’avant n’attendra donc pas plus longuement avant de renouer avec la Ligue nationale (LNH). Ayant disputé son dernier match au sein du circuit le 12 mai quand il évoluait avec les Sharks de San Jose, il se dit prêt à laisser de côté le passé pour se concentrer sur les succès de sa nouvelle équipe.

«Selon moi, la vie est un processus, a-t-il philosophé. Je n’aurai pas la même approche, maintenant à 30 ans, que de 14 à 25 ans. Les gens dans ce vestiaire ont commis de nombreuses erreurs, également. Seulement, elles n’ont pas été médiatisées. Je ne suis pas assis ici en disant que je suis parfait. Je me vois comme un leader, pas un jeune qui arrive en voulant nuire à tout. Je suis un gars d’expérience qui arrive ici. Je veux aider le groupe d’une manière positive.»

Trouver une combinaison gagnante

Aussi, l’idée de jouer au sein de la même équipe que Connor McDavid et Leon Draisaitl est loin de lui déplaire, évidemment.

«Ultimement, j’ai choisi les Oilers à cause de la météo, a-t-il blagué en évoquant l’hiver rigoureux albertain. Plus sérieusement, il y avait quelques formations qui ont manifesté leur intérêt à mon égard, particulièrement tôt dans le processus. Celui-ci s’est poursuivi et je devais prendre une décision qui allait être la meilleure pour moi. Le nombre de clubs en lice a diminué et à mesure que les discussions se déroulaient et s’ajoutaient, il est devenu évident qu’Edmonton représentait l’option la plus avantageuse.»

«Je sais que je peux offrir plus d’attaque et une présence physique, a-t-il aussi souligné. J’aime jouer avec ardeur et conviction, en donnant une identité différente à ce groupe.»

Pour sa part, l’entraîneur-chef Dave Tippett dit vouloir prendre du temps avant de déterminer la combinaison gagnante à ses yeux. Il n’exclut pas un trio formé de McDavid, Draisaitl et Kane.

«Je vais les placer les trois ensemble!, a-t-il rigolé, un sourire en coin. Nous allons parler un peu. Moi et Evander avons déjà discuté. Avec le retour au jeu de Ryant Nugent-Hopkins et de Zach Hyman, ça aide notre groupe, en plus de l’arrivée d’Evander. On s’en va à l’étranger, on travaillera ensemble et on verra ce qui est le mieux pour nous.»

Kane avait été libéré par les Sharks plus tôt dans la campagne à cause d’une violation au protocole de la LNH et à celui de la Ligue américaine concernant la COVID-19. En 2021-2022, il a récolté huit points en cinq rencontres avec le club-école de San Jose.

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Trevor Zegras affirme avoir marqué son Michigan pour « éteindre l'énergie de la foule » - DansLesCoulisses

Pour la deuxième fois de la saison, le Canadien a disputé un match à huis clos au Centre Bell. Évidemment, pour les joueurs, c’était tout simplement horrible de revenir d’un séjour de sept matchs aux États-Unis, où les arénas sont remplis, pour jouer devant « pas de fans » à Montréal.

Cela s’est conclu par une défaite de 5-4 dans un match où le CH s’est battu, a quand même eu des chances et a donné un bon spectacle, mais où il n’a pas récolté de point au classement. Cela se veut, en quelque sorte, le scénario parfait : un bon spectacle et zéro point au classement.

Ceci dit, s’il y avait eu des partisans sur place, de belles séquences de jeu auraient été applaudies. On peut penser à celles de Jake Evans, qui a connu un fort match en marquant deux beaux buts pour les siens, mais on pense surtout à Trevor Zegras, qui a marqué un Michigan hier soir.

Et ce dernier s’est permis une blague en conférence de presse suite au match.

L’ambiance était folle ce soir. Le Canadien venait de marquer.

C’était un gros but pour eux, alors je voulais m’assurer d’éteindre l’énergie de la foule. – Trevor Zegras

Zegras, qui n’est pas habitué de jouer devant des estrades vides, a affirmé avoir voulu faire taire la foule suite à un gros but du Canadien quelques secondes avant. Il devait se sentir comme dans une pratique.

Mais le pire, c’est que je pense qu’il a tort. J’ai le sentiment que les fans montréalais sont tellement en manque de beaux jeux que le but aurait quand même été un brin applaudi.

Un qui n’a pas particulièrement aimé les circonstances, c’est Samuel Montembeault. Le cerbère n’avait pas encore reçu de tir quand Zegras l’a surpris derrière le filet en début de deuxième période.

Le Québécois sait qu’il sera à ESPN pour les mauvaises raisons lors de la prochaine semaine.

Montembeault n’avait pas encore reçu de tir parce qu’il est venu en relève à Cayden Primeau. Pour la troisième fois à ses quatre derniers matchs et pour la quatrième fois en sept matchs, Primeau n’a pas été en mesure de jouer 60 minutes.

Dominique Ducharme a affirmé avoir retiré son gardien à cause de son niveau de confiance. Il est clair que l’équipe ne joue pas bien devant Primeau parce que le cerbère n’inspire pas la confiance.

Il faut l’envoyer à Laval. Ça presse.

Après tout, le CH a bien joué hier. Il a dominé au niveau des tirs au but (40-24). Il a perdu par un but seulement. Montembeault a donné deux buts (dont le Michigan) seulement en 40 minutes. Le club ne se faisait pas dominer.

Mais parce que Primeau n’a réussi que six arrêts sur neuf tirs en première, cela a fait mal au CH, qui a joué du hockey de rattrapage.

Non, le fait que deux de ces buts-là aient été marqués alors que le CH était en désavantage numérique n’a pas aidé la cause du jeune gardien. Ceci dit, c’est une autre sortie difficile sur le moral.

Cela a causé une défaite qui est tough sur le moral, mais bonne au classement.

Parce que oui, le CH est toujours dernier de la ligue en ce moment.

Sinon, qu’est-ce que je retiens de ce match-là?

1. J’en ai glissé un mot plus tôt, mais Jake Evans a été très bon hier soir. Il a marqué deux beaux buts, il était impliqué dans le jeu, a obtenu six tirs au but et il a joué pendant 19:58.

Il a été plus que le joueur dont le CH avait besoin et il a obtenu son premier match de deux buts dans le show.

Le CH aura besoin de lui au cours des prochaines saisons.

2. Artturi Lehkonen a eu du gros temps de jeu avec des joueurs importants et il a beaucoup joué en avantage numérique. Cela a payé puisqu’il a marqué un but avec un homme en plus.

Oui, le gars est clairement dans la vitrine. Sa valeur est bonne et il n’a rien fait pour la faire baisser hier – au contraire.

3. Laurent Dauphin a pris une pénalité qui a fait mal au CH, mais il s’est racheté en marquant sur un tir de pénalité. Il est donc rendu à deux buts et quatre passes en 13 matchs.

Il est en train de continuer, malgré tout, de s’acheter du temps en haut.

4. En fin de match, alors que le CH avait un filet désert, Mike Hoffman avait l’air perdu sur la glace. Il ne multipliait pas les bonnes décisions et il n’a pas aidé la cause de son équipe.

Le CH n’avait pas besoin de ça.

5. Pour la 16e fois en 42 matchs, le Canadien a accordé au moins cinq buts à son adversaire. 16!

Les poulets à travers l’Amérique doivent manquer d’ailes.

6. À classer dans la catégorie des bonnes nouvelles : le CH semble avoir du succès en avantage numérique ces temps-ci. Lors de ses sept derniers matchs, six d’entre eux ont été le théâtre d’un but en PP.

Ça fait différent du début de l’année.

7. Rem Pitlick, acquis au ballottage plus tôt ce mois-ci, a bien fait. Il a pris de bonnes décisions avec la rondelle et il a aussi obtenu deux passes au cours du duel contre les Ducks.

Il y a beaucoup de positif pour une défaite, quand même.

8. Alexander Romanov n’est pas parfait, mais il a le droit de faire des erreurs sur la glace. Hier en a été un bon exemple.

Il y a de ces jeunes qui doivent apprendre à Laval, mais Romanov doit continuer d’avoir droit à du bon temps de jeu afin de se développer dans la LNH. Ça semble être mieux dans son cas.

9. François Beauchemin était, en raison de la COVID-19 qui frappe le groupe d’entraîneurs des Ducks, derrière le banc d’une équipe de la LNH pour la première fois de sa carrière.

Il est maintenant 1-0-0.

Nous étions relativement loin du fameux « match difficile suivant un voyage » puisque, malgré tout, le CH s’est battu et a réussi à livrer une fin de match excitante… mais il a perdu.

Le prochain match aura lieu demain contre les Oilers.

En rafale

– Soccer : victoire du Canada hier.

– Julie Petry continue de se vider le coeur.

– Thomas Chabot fait du bon boulot à Ottawa. [TSN]

– L’incroyable parcours de Kent Hughes. [Gazette]

– J.T. Miller, un nom à surveiller sur le marché.

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À VOIR: Medvedev engueule violemment l'arbitre - Le Journal de Montréal

Daniil Medvedev, énervé après avoir été brisé par Stefanos Tsitsipas, s'en est pris vertement à l'arbitre. «Comment peux-tu arbitrer une demi-finale alors que tu es si mauvais?», lui a-t-il lancé.

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Après avoir perdu pour la première fois sa mise en jeu pour permettre au Grec de mener 5-4 et de servir pour égaliser à un set partout, le Russe a été averti pour avoir proféré des paroles obscènes. 

Assis sur son banc, il a alors interpellé l'arbitre. «Tu es fou? Pourquoi (cet avertissement)?», a-t-il lancé, avant de faire remarquer à l'arbitre qu'il ne disait rien quand le père de son adversaire parlait, selon lui, à son fils.

«Et son père peut parler à chaque point? Es-tu idiot?», a-t-il interrogé avant de répéter trois fois, en haussant le ton à chaque fois: «Son père parle à tous les points!»

«Réponds-moi! Son père peut parler à chaque point? Comment peux-tu arbitrer une demi-finale de Grand Chelem alors que tu es si mauvais? Regarde-moi quand je te parle!», a-t-il poursuivi.

L'arbitre s'est alors tourné vers lui en lui demandant : «Que veux-tu?»

«Que tu le sanctionnes, son père lui parle!», a répondu Medvedev. Tsitsipas a finalement été averti plus tard dans le duel.

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COVID-19 | Cinq membres de la délégation canadienne sur le protocole - La Presse

Le Comité olympique canadien a confirmé vendredi que cinq de ses 246 membres se retrouvent sur le protocole de la COVID-19.

Publié à 9h23

« Nous suivons les règles des documents Playbooks de Beijing 2022, a-t-on fait savoir par voie de communiqué. Un des éléments de notre stratégie était d’arriver tôt pour laisser le temps de subir un test de confirmation et, au besoin, au processus du Panel d’experts médicaux de se déployer.

« Puisqu’il y aura probablement des cas d’excrétion persistante du virus au sein de la délégation, nous ne partagerons pas de noms à ce stade-ci. La délégation d’Équipe Canada est composée d’athlètes, d’entraîneurs et de membres de l’équipe de mission. »

Le COC fera connaître sa mise à jour quotidienne des cas de COVID-19 à partir du 4 février.

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Thursday, January 27, 2022

CONCACAF : le Canada s'attend à un match difficile jeudi contre le Honduras - RDS

Le match entre le Canada et le Honduras sera présenté sur les ondes de RDS INFO et RDS Direct jeudi le 27 janvier à 19 h 45.
**Exceptionnellement, RDS INFO est disponible pour tous les abonnés de RDS sur RDS Direct.

Même si le tournoi de qualification en vue de la Coupe du monde de la FIFA a mené le Canada dans des terres aussi hostiles que Haïti, le Mexique et la Jamaïque au cours des derniers mois, John Herdman prévoit que son équipe aura un véritable aperçu de ce qu'est la Concacaf lorsqu'elle affrontera le Honduras, jeudi, à San Pedro Sula.

L'entraîneur-chef de l'équipe masculine de soccer du Canada affirme que ses joueurs « s'attendent à être testés par la foule, par une formation qui se bat pour sa survie en vue de la Coupe du monde - et par tout ce qui nous tombera dessus ».

« Nous avons beaucoup parlé de ces choses. Et nous en avons affronté à Haïti, des choses vraiment intéressantes qui se passaient derrière la scène et dont le public et les médias n'auraient probablement jamais entendu parler », a déclaré Herdman.

« Mais en bout de ligne, ce groupe sait ce qu'il veut, a-t-il ajouté. Il a un objectif qui est clair. Peu importe ce qui nous tombera dessus, je sais que ce groupe s'est engagé à obtenir un résultat autant que n'importe quelle équipe avec laquelle j'ai travaillé. »

Le match de jeudi au Estadio Olimpico Metropolitano est le premier de trois en une semaine à l'intérieur de la fenêtre internationale de la FIFA. Des duels contre les États-Unis et le Salvador suivront.

Le Canada (4-0-4, 16 points) et le Honduras (0-5-3, trois points) occupent les extrémités du classement général de la ronde finale de qualification de la Concacaf en vue de la Coupe du monde de 2022, au Qatar.

En septembre dernier, les deux formations ont livré un match nul de 1-1 à Toronto, mais depuis, les Canadiens ont récolté 15 points et n'ont subi aucune défaite. De son côté, le Honduras n'en a ajouté que deux.

Le Canada a dominé ses adversaires 13-5 au chapitre des buts marqués au fil de ses huit premiers matchs pendant que le Honduras a été limité à cinq buts et en a accordé 15 après le même nombre de rencontres.

Toutefois, traditionnellement, le Honduras a toujours été une équipe différente à domicile, et ses joueurs ont le dos acculé au mur.

"Ce sera toute une bataille. (...) Ce sera une soirée difficile", a avisé Herdman, qui a mené sa visioconférence depuis la Floride, où l'équipe s'est entraînée.

Une présence encore incertaine

Quant à la formation qui affrontera le Honduras jeudi, une incertitude persiste, celle entourant la présence du milieu de terrain Stephen Eustaquio qui, selon des médias portugais, a subi un test positif à la COVID-19.

« Nous attendons toujours l'arrivée de Stephen Eustaquio - pour des raisons médicales. Il va être au jour le jour », a déclaré Herdman. « Nous attendons simplement de savoir s'il obtiendra le feu vert pour venir (nous rejoindre). Nous avons espoir. Nous pourrions le voir à n'importe quel moment. »

Le gardien Jayson Leutwiler, qui joue en Angleterre, était déjà au Honduras et attendait l'équipe, a ajouté Herdman.

Après le match de jeudi, le Canada rentrera au pays pour se mesure à l'équipe des États-Unis dimanche au stade Tim Hortons, à Hamilton. Puis, la troupe de Herdman effectuera une randonnée céleste de 3400 km jusqu'au Salvador pour un match devant avoir lieu mercredi prochain.

La présentation de trois matchs en sept jours implique une rotation au sein d'un alignement qui n'inclura pas le joueur étoile Alphonso Davies, mis au rancart par une myocardite, une inflammation du muscle cardiaque, après un test positif à la COVID-19.

Selon Herdman, l'absence de Davies se fera sentir sur le terrain et à l'extérieur aussi.

« Il amène une attitude tellement contagieuse au groupe, a précisé Herdman. Lorsque 'Phonzie' est ici, vous le savez. »

Après les derniers matchs de la phase de qualification, en mars, les équipes occupant les trois premières positions au classement se qualifieront pour la Coupe du monde. Le club ayant terminé quatrième affrontera un pays de la région de l'Océanie dans un duel éliminatoire intercontinental.

À l'heure actuelle, le Canada détient le premier rang, un point devant les États-Unis (4-1-3, 15 points), et deux devant le Mexique et le Panama, qui affichent des dossiers identiques de 4-2-2, pour un total de 14 points.

Classement des qualifications
Pays V N D PTS
Canada 4 4 0 16
États-Unis 4 3 1 15
Mexique 4 2 2 14
Panama 4 2 2 14
Costa Rica 2 3 3 9
Jamaïque 1 4 3 7
El Salvador 1 3 4 6
Honduras 0 3 5 3

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Une journée noire - Le Journal de Montréal

Le Canada rendra visite au Honduras jeudi soir et il tentera d’exorciser l’une de ses défaites les plus humiliantes de son histoire.

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C’est au même endroit, à l’Estadio Olimpico Metropolitano de San Pedro Sula que le Canada a subi une dégelée de 8 à 1 contre les Honduriens, le 16 octobre 2012.

Au-delà de la marque, la défaite a laissé des traces parce que le Canada était alors éliminé d’une participation à la phase finale de qualification pour la Coupe du monde de 2014.

Pourtant, l’équipe canadienne n’avait besoin que d’un verdict nul pour passer à l’étape ultime.

Contexte difficile

Patrice Bernier se souvient bien de cette rencontre même s’il l’a regardée du bout du banc sans aller sur le terrain. Le contexte était difficile, le stade était négligé et la foule était hostile.

Et une fois au stade, les choses ont rapidement dégénéré. Le Honduras a pris une avance de 4 à 0 en seulement 25 minutes entre la 7e et la 32e minute.

« C’est comme si une vague avait déferlé surtout après avoir pris le premier but. Dès le deuxième but, on sentait qu’on était déjà dans les cordes. On essayait de tout faire pour moins encaisser. On dirait que chaque montée qu’ils faisaient, ils avaient de la réussite. »

Pas besoin de dire que tout le monde avait le moral dans les talons à la mi-temps, car comme le mentionne Bernier, « à 4 à 0 dans le monde du soccer, normalement tu es éliminé ».

À tout cela, on ajoute des Honduriens métamorphosés lors de ce match.

« Certains des joueurs du Honduras jouaient en MLS et ils n’étaient pas dominants. C’était le cas de Jerry Bengtson qui a marqué trois buts. »

« Benny Feilhaber de la Nouvelle-Angleterre m’avait même demandé comment Bengtson avait marqué trois fois contre nous quand il n’arrivait pas à marquer avec eux. »

« Les joueurs de ces petits pays, quand c’est le temps de jouer pour leur sélection, ils veulent vraiment tout donner et nous remettre dans le visage qu’on est meilleurs au hockey qu’au foot. »

Humiliation 

« C’est un match que tu veux oublier, mais que tu ne peux pas oublier parce que tu avais besoin d’un point dans un match crucial et tu te fais lessiver 8 à 1 comme si c’était un match amical.

« Les images ont fait le tour du monde. On sentait qu’on était un peu la risée du soccer à ce moment-là parce que d’habitude, ce sont des grandes nations contre les petites qui font des scores comme ça. »

D’ailleurs, ce revers a laissé des traces au sein de l’effectif qui a grandement été renouvelé par la suite.

« Je sais que les joueurs qui étaient là ont écopé et n’ont pas été rappelés en sélection. On a eu l’impression que plusieurs avaient été pris comme boucs émissaires de cette défaite. »

Jour sombre

« Sans le cacher, c’est le jour le plus sombre de ma carrière, admet Bernier. Quand je suis revenu à la maison, les gens m’ont dit que j’étais chanceux de ne pas avoir joué ce match. Mais c’est un jour qui te marque et qui reste gravé dans ta mémoire. »

C’est précisément pourquoi il a continué de jouer plus longtemps qu’il l’entendait avec la sélection nationale.

« C’est une des raisons pourquoi en 2017, quand je n’avais pas besoin de retourner en équipe nationale, j’y suis retourné.

« Je sentais qu’il y avait une vague qui changeait avec les jeunes joueurs aspirants comme Mark-Anthony Kaye, Jonathan Osorio et Alphonso Davies qui était mon cochambreur. C’était un baume sur la plaie. »

Transition

Il y a eu une période de transition pendant quelques années, mais les choses sont tranquillement rentrées dans l’ordre avec un bel essor à la fin de sa carrière internationale.

« C’était une période grise parce que c’était la fin d’une génération et il y a eu du flottement jusqu’à la Gold Cup de 2017 où on a vu qu’il y avait un nouvel élan avec un quart de finale contre la Jamaïque. »

Sans que Bernier le dise ainsi, on sent qu’un tel massacre ne pourrait pas se reproduire.

« Le programme est maintenant entre bonnes mains et est positif et j’ai l’impression que ça va durer longtemps », souligne l’ancien capitaine de l’Impact.

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RDS Direct : le CH de retour au Centre Bell, Beauchemin derrière le banc - RDS

Suivez le match entre le Canadien et les Ducks dès 19 h avec RDS et RDS Direct. 

Avant-match

Le Canadien effectue un retour au Centre Bell, jeudi soir, avec un affrontement devant les Ducks d’Anaheim.

Le Tricolore n’a pas évolué dans son amphithéâtre depuis le 16 décembre dernier en raison de l’état de la situation avec la pandémie de la COVID-19 au Québec. Les hommes de Dominique Ducharme viennent de terminer un voyage de 10 matchs sur les patinoires adverses avec une seule victoire. Ils ont encaissé un cuisant revers de 8 à 2 lundi devant le Wild du Minnesota.

L’entraîneur-chef du Canadien a indiqué que Lukas Vejdemo sera en uniforme contre les Ducks en raison de l’absence de Christian Dvorak. Cayden Primeau défendra la cage du Canadien. Ducharme a aussi mentionné que Samuel Montembeault doit renouer avec l’action en fin de semaine, lui qui était blessé au haut du corps. Selon ce qui circule, la blessure serait à un poignet.

Le Canadien affrontera les Oilers d’Edmonton samedi et les Blue Jackets de Columbus dimanche.

Chez les Ducks, la situation avec la COVID-19 entraîne du mouvement derrière le banc de l’équipe comme l’entraîneur-chef Dallas Eakins et son adjoint Geoff Ward ne peuvent être à Montréal comme ils sont aux prises avec le virus. Ce faisant, François Beauchemin fera ses débuts derrière le banc d’une équipe de la LNH comme entraîneur adjoint. Il viendra épauler le groupe formé de Newell Brown, Mike Stothers et Todd Marchant.

Les Ducks occupent le deuxième rang de la division Pacifique avec une récolte de 50 points en 45 matchs cette saison. 

Toujours un manque de munitions pour Ducharme

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Carey Price dans la Ligue professionnelle de hockey féminin - Le Journal de Montréal

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