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Monday, June 27, 2022

LNH | Luke Richardson, l'homme des Blackhawks - La Presse

Les Blackhawks de Chicago ont fait leur choix. Luke Richardson devient leur nouvel entraîneur-chef, le 40e de l’histoire de la franchise, avec le mandat très clair de mener à bien un douloureux processus de reconstruction.

Mis à jour hier à 12h14
La Presse et La Presse canadienne

« Nous sommes enthousiastes d’avoir un entraîneur d’expérience comme Luke dans notre organisation, a dit le directeur général Kyle Davidson. Luke partage notre vision et nos objectifs pour l’avenir, et nous aurons l’occasion de bâtir un environnement et une culture de haute performance, de travail acharné et de responsabilisation. À travers le processus d’entrevues, il est devenu évident qu’il possédait toutes les qualités que nous recherchions chez notre entraîneur-chef, mais qu’il était aussi une personne ayant le caractère parfait pour mener les Blackhawks dans notre prochaine étape. »

« Je suis honoré d’avoir l’occasion d’être l’entraîneur d’une équipe originale comme les Blackhawks, a dit Richardson. J’ai hâte de travailler avec Kyle, Jeff Greenberg, Norm Maciver et tout le reste du groupe des opérations hockey. Ensemble, nous travaillerons à mener notre équipe vers le succès. Des communications précises, un plan, le travail acharné et la qualité d’exécution nous mèneront vers ce succès. »

Richardson, un ancien défenseur de la LNH, était entraîneur adjoint pour le Canadien depuis la saison 2017-2018. Il était responsable des défenseurs, un rôle qui sera délicat à pourvoir au moment de son départ, surtout pour une équipe comme le Canadien avec plusieurs jeunes défenseurs.

« Je tiens à souhaiter la meilleure des chances à Luke dans son prochain défi professionnel avec les Blackhawks, a dit le directeur général du Canadien, Kent Hughes. Luke était entièrement dédié à la cause de notre équipe, et il a joué un rôle important ces dernières années. Nous le remercions pour son travail avec nous et pour son dévouement. »

Richardson avait auparavant été adjoint chez les Sénateurs d’Ottawa, de 2009 à 2012, avant de prendre les rênes des Senators de Binghamton, dans la Ligue américaine de hockey. Il a été entraîneur-chef dans la LAH pendant quatre ans.

L’ascendant de Richardson sur ses joueurs n’est plus à prouver. Ben Chiarot, alors membre du Canadien, avait d’ailleurs dit en juin 2021, au moment où Richardson avait dû remplacer Dominique Ducharme : « Je pense que je parle pour tous nos défenseurs en disant qu’on passerait tous à travers un mur pour Luke. Car il ferait la même chose pour nous. »

« Les gars vont le respecter, a pour sa part dit Corey Perry durant la finale de la Coupe Stanley. Il gravite dans le sport depuis longtemps. Il connaît le sport vraiment très bien. »

Richardson a joué 1417 matchs dans la LNH, amassant 35 buts et 166 passes pour 201 points.

Il a été repêché en première ronde, septième au total, par les Maple Leafs de Toronto en 1987, y disputant quatre saisons. Le défenseur a ensuite porté les couleurs des Oilers d’Edmonton, des Flyers de Philadelphie, des Blue Jackets de Columbus et du Lightning de Tampa Bay, avant de terminer sa carrière à Ottawa.

Le défi des Hawks

Les Blackhawks ont gagné la coupe Stanley en 2010, 2013 et 2015, mais ont vécu des moments difficiles au cours des dernières années.

Ils ont amorcé la dernière saison avec l’espoir de participer aux séries éliminatoires, mais ont plutôt entamé la campagne avec un dossier de 1-9-2, en route vers une fiche de 28-42-12 et le septième rang de la section Centrale.

Stan Bowman, qui occupait le poste de directeur général depuis plusieurs années, a remis sa démission en octobre dans la foulée du rapport d’un cabinet d’avocats externe qui a conclu que l’organisation avait mal géré les allégations selon lesquelles un entraîneur adjoint avait agressé sexuellement un joueur lors du parcours de l’équipe vers la Coupe Stanley en 2010.

Kyle Davidson a été nommé sur une base intérimaire avant de se voir confier le rôle de directeur général sur une base permanente le 1er mars. Norm Maciver s’est joint au personnel de direction hockey en mars à titre de directeur général associé, et Jeff Greenberg a été embauché dans un rôle identique en avril.

Richardson succède à Derek King, qui a complété la saison au poste d’entraîneur-chef par intérim à la suite du congédiement de Jeremy Colliton le 6 novembre. King faisait partie des candidats pour le poste à temps plein après avoir guidé les Blackhawks à une fiche de 27-33-10.

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Sunday, June 26, 2022

Les Ultras auraient fait du grabuge au Stade Saputo - TVA Nouvelles

Les Ultras, un groupe de partisans passionnés du CF Montréal, auraient fait du grabuge au Stade Saputo, samedi, lors de la victoire de 2 à 1 du CF Montréal contre le Charlotte FC.

• À lire aussi: CF Montréal: bonne Saint-Jean!

Selon un communiqué du CF Montréal, émis dimanche, le groupe d’amateurs qui a repris possession de la section 132 le temps d’un match, après une absence qui remontait au mois de septembre, a commis quelques «gestes illégaux», «dont notamment l’utilisation d’items pyrotechniques non autorisés, mettant ainsi à risque la santé et la sécurité de l’ensemble des gens réunis».

Les Ultras avaient été bannis du CF Montréal la saison dernière, après s’être fait reprocher plusieurs comportements nuisibles dans leur section.

Ce groupe hautement opposé au changement d’identité du CF Montréal, lui qui préférait le nom «Impact de Montréal» et l’ancien logo qui l’accompagnait, n’a pas semblé apprécier les efforts de l’organisation montréalaise, qui a récemment dévoilé un nouveau logo. «Échec international» et «Rebrand local» étaient d’ailleurs lisibles sur des bannières faites à la main.

Le CF Montréal semble toutefois ouvert à préserver des discussions ouvertes avec les Ultras.

«En tant qu’organisation responsable, nous analysons la situation pour bien comprendre ces incidents et continuons à collaborer avec tous les groupes de supporters pour soutenir et optimiser l’ambiance au stade sans un environnement sécuritaire, a ajouté l’organisation. Notre priorité demeure la santé et la sécurité de tous et toutes.»

Si la haute direction du onze montréalais a condamné les débordements dans la section 132, les joueurs se sont quant à eux réjouis de l'ambiance survoltée au Stade Saputo lors du match de samedi.

«C'était le "fun" ! Plus il y a de [partisans], plus on entend du bruit et ça nous motive. Ils sont les bienvenus», a lancé le héros du duel, le Québécois Mathieu Choinière, après la rencontre.

«C'est le genre d'ambiance qui nous transporte à chaque match, a quant à lui indiqué Romell Quioto, par l'entremise d'un interprète. Les gars ont réalisé que les Ultras étaient là et c'est quelque chose d'important pour eux. Ils sont très heureux qu'ils soient de retour au stade.»

L'entraîneur-chef Wilfried Nancy n'était pas au courant du retour des Ultras avant le premier coup de sifflet, mais a assuré qu'il les avait entendus.

«Il y a eu du bruit. Tant mieux s'il y a une opportunité pour que les fans reviennent, tout le monde, que ce soit les Ultras [ou] la 1642. Pour moi ce sont les mêmes (...) On a besoin d'eux.»

Le prochain match du CF Montréal au Stade Saputo aura seulement lieu le 9 juillet, lui qui voyagera dans l’Ouest américain entre-temps, afin d’y affronter les Sounders de Seattle et le Galaxy de Los Angeles.

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Friday, June 24, 2022

Coupe Memorial: les Cataractes en demi-finale - Le Journal de Québec

SAINT-JEAN, N.-B. | Il faudra peut-être arrêter de dire que les Cataractes de Shawinigan sont négligés au tournoi de la Coupe Memorial. Les hommes de Daniel Renaud ont remporté un deuxième match consécutif, jeudi, cette fois face aux Bulldogs de Hamilton pour s’assurer, à tout le moins, d’une participation à la demi-finale de lundi prochain.  

• À lire aussi: William Dufour donne raison aux Islanders

Shawinigan a frappé par la bouche de ses canons en inscrivant ses trois buts en avantage numérique pendant que le gardien Antoine Coulombe gardait le fort malgré un barrage de 40 lancers, dont 19 en première période seulement. 

« On voit des performances inspirées, des gars qui sont dédiés à leurs coéquipiers, à leur équipe et à une certaine façon de jouer. On a un groupe tellement uni que de notre côté, même si le bruit extérieur était qu’on était négligés, on croyait en nous et on croit encore en nous », a mentionné l’entraineur-adjoint Pascal Dupuis, venu à nouveau en relève à Daniel Renaud devant les médias en raison de l’extinction de voix qui l’afflige depuis quelques jours. 

Avec deux victoires en temps réglementaire, les Cataractes figurent maintenant au sommet du classement du tournoi à la ronde avec un total de six points. Samedi, ils affronteront les Sea Dogs de Saint-Jean dans un match qui enverra directement l’une des deux équipes en grande finale. Les Cats n’auront en fait besoin que d’un seul point pour terminer au premier rang et s’assurer d’une place dans le match ultime.  

« C’est ce qu’on veut. On est arrivé ici avec l’objectif de gagner chaque match. D’être assuré d’une demi-finale est une bonne chose mais on n’a pas fini notre travail encore », ajoutait Mavrik Bourque. 

Force de frappe

Ce dernier a d’ailleurs de nouveau été le catalyseur offensif des Cataractes avec Xavier Bourgault face aux Bulldogs. Les deux choix de première ronde dans la LNH ont participé aux trois buts des leurs, récoltant chacun un but et deux mentions d’aide. 

Ils ont tout d’abord freiné les élans des Bulldogs qui, comme il fallait s’y entendre d’une équipe ayant perdu son premier match, a débuté le match sur les chapeaux de roue. 

Après que Mason McTavish eut ouvert la marque pour Hamilton qui a dominé le début de match, Bourgault a accepté la belle passe de Bourque pour créer l’égalité. Le scénario inverse s’est produit avant la fin du premier engagement lorsque c’est Bourgault qui a remis à Bourque avant que ce dernier ne batte Marco Constantini d’un puissant tir sur réception. 

Les Bulldogs ont créé l’égalité à la fin de la deuxième puis l’avantage numérique de nouveau frappé pour les Cats en troisième. 

Bourgault a remis à Bourque qui a aussitôt repéré Olivier Nadeau bien placé devant le filet. Ce dernier n’a eu qu’à pousser la rondelle dans un filet désert. Le tout n’a duré que huit secondes. 

Ce jeu avait été dessiné par Daniel Renaud et expliqué aux joueurs quelques instants seulement avant le début de l’avantage numérique. 

« Ça faisait un bout qu’on n’avait pas fait ce jeu. On avait changé Mav [Bourque] et [Pierrick] Dubé de place. On a vu une ouverture sur le vidéo entre la deuxième et la troisième et on a fait le changement et ça fonctionné », a raconté Nadeau. 

Coulombe passe un message

Même si les gros canons des Cataractes ont marqué des gros buts avec l’avantage d’un homme, le scénario aurait probablement été différent n’eut été du brio du gardien Coulombe. En première, il s’est dressé malgré l’insistance des Bulldogs et même chose en fin de match alors que les champions de l’Ontario ont tout tenté pour créer l’égalité. 

« Il a joué un très gros match, a reconnu Dupuis. Il a démontré beaucoup de caractère. Il a fait de gros arrêts et mis la main sur la rondelle quand c’était le temps. On dirait que c’était lui qui gérait l’allure du match. » 

De son côté, Coulombe souhaitait rebondir après que les Cataractes eurent décidé d’utiliser Charles-Antoine Lavallée lors du premier match du tournoi. 

« C’est sûr qu’il y a une compétition entre deux gardiens, a mentionné le gardien de 19 ans. Lavy et moi avons une bonne relation mais c’est sûr que de ne pas commencer le tournoi, ça m’a fait de quoi et je voulais rebondir ce soir. » 

Le match de vendredi opposera les Bulldogs aux Oil Kings d’Edmonton dans un match qui décidera de la dernière équipe à accéder à la demi-finale. 

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Bianca Andreescu se paie la favorite à Hambourg - Le Journal de Montréal

La Canadienne Bianca Andreescu a poursuivi son bon travail au tournoi de tennis de Hambourg, jeudi, disposant de la première tête de série, la Russe Daria Kasatkina, en deux manches de 6-4 et 6-1 en quart de finale. 

• À lire aussi: La Coupe Laver au Canada l’an prochain

• À lire aussi: Le coaching depuis les gradins à l’essai

La 64e joueuse mondiale a mis 1 h 22 min pour savourer sa troisième victoire de la semaine en Allemagne. En demi-finale, elle se mesurera à la Roumaine Simona Halep, qui a vaincu l’Américaine Amanda Anisimova un peu plus tard en journée.

Il s’agit par ailleurs de la première fois depuis la présentation 2021 du tournoi de Miami qu’Andreescu atteint le carré d’as d’une compétition.

«Ça veut réellement dire beaucoup, car j’ai vécu des moments difficiles. J’ai persévéré! Vivre un moment comme celui-ci me fait réaliser à quel point ça en valait la peine», a affirmé la représentante de l’unifolié dans un entretien avec le réseau TSN.

Lors de sa performance du jour, Andreescu a pris l’ascendant notamment grâce à sa performance sur ses deuxièmes services, empochant 50 % des points disputés en de telles circonstances.

«Je plaçais très bien mes services et mes deuxièmes tentatives avaient beaucoup de puissance, a-t-elle analysé. Je pense qu’elle n’a remporté aucun point sur mes deuxièmes balles de service pendant la deuxième manche.»

À l’opposé, la perdante a gagné seulement 17,6 % des points joués quand elle avait les secondes balles en main. L’Ontarienne a par ailleurs réussi cinq bris en six tentatives et a concédé deux bris.

Depuis son arrivée à Hambourg, elle n’a pas échappé un seul set, ce qui est de bon augure pour le tournoi de Wimbledon qui s’amorcera lundi.

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Thursday, June 23, 2022

Repêché par les Pacers, Bennedict Mathurin marque l'histoire de la NBA - Le Journal de Montréal

NEW YORK - Jamais un Québécois n’avait été repêché aussi tôt dans la NBA : Bennedict Mathurin a été sélectionné au sixième rang par les Pacers de l’Indiana, jeudi soir, au Barclays Center de Brooklyn.

• À lire aussi: Une conseillère particulière pour Bennedict Mathurin

Âgé de 20 ans, le jeune homme originaire de l’arrondissement de Montréal-Nord savoure pleinement son rêve, devenant du même coup une source d’inspiration pour plusieurs Québécois souhaitant suivre ses traces. En grimpant sur la scène pour enfiler la casquette des Pacers, Mathurin est apparu émotif, mais souriant.

«D’être le Québécois le plus tôt repêché, c’est vraiment cool pour être honnête, a-t-il notamment commenté, après sa sélection. Je trouve que ça ouvre des portes. Les yeux sont maintenant tournés vers Montréal. Ça ouvre une porte pour les jeunes et ceux qui viendront après moi.»

Avant Mathurin, Chris Duarte, sélectionné 13e par les Pacers de l’Indiana en 2021, représentait le joueur associé au Québec ayant été repêché le plus tôt dans la NBA, devant Bill Wennington, jadis appelé 16e par les Mavericks de Dallas en 1985.

«Je vais apporter mon cœur aux Pacers, je suis reconnaissant et suffisamment chanceux qu’ils m’aient repêché», a par ailleurs affirmé Mathurin.

Hommage à son frère

Avant même de connaître l’identité de l’équipe devant le sélectionner en soirée, le Québécois avait fait tourner des têtes sur le tapis rouge. Pour ce grand jour, Mathurin a revêtu un spectaculaire habit rouge et noir avec un pendentif portant la mention «DomixWorld» afin de rendre hommage à son frère Dominique, décédé il y a sept ans à la suite d’un accident de vélo. Après sa sélection, il a d’ailleurs rapidement levé les yeux au ciel.

«Je suis ici, aujourd’hui, au nom de mon frère», a reconnu le Québécois.

Le Magic d’Orlando, qui détenait le premier choix, a pour sa part jeté son dévolu, non sans surprise, sur Paolo Banchero. Le Thunder d’Oklahoma City a suivi en appelant Chet Holmgren. Ces deux joueurs ont donc été préférés à Jabari Smith fils, qui a finalement été appelé au troisième rang par les Rockets de Houston.

Ont suivi dans l’ordre, avant Mathurin : Keegan Murray (Kings de Sacramento) et Jaden Ivey (Pistons de Detroit).

Deux Canadiens dans le top 7

Mathurin est devenu seulement le septième Canadien à être choisi dans le top 10 d’un repêchage de la NBA et l’Ontarien Shaedon Sharpe l’a immédiatement rejoint comme huitième lorsque les Trail Blazers l’ont appelé, au septième échelon du repêchage de jeudi. Tristan Thompson (4e par les Cavaliers de Cleveland en 2011), Anthony Bennett (1er par les Cavaliers de Cleveland en 2013), Andrew Wiggins (1er par les Cavaliers de Cleveland en 2014), Nik Stauskas (8e par les Kings de Sacramento en 2014), Jamal Murray (7e par les Nuggets de Denver en 2016) et RJ Barrett (3e par les Knicks de New York en 2019) avaient été les premiers à réussir l’exploit.

Produit des Wildcats de l’Université de l’Arizona, le Québécois s’était placé en bonne position pour le repêchage à la suite de sa plus récente saison dans la NCAA. En 37 matchs, il avait alors maintenu une moyenne de 17,7 points par rencontre. Le Québécois avait pris part au dernier tournoi du «March Madness» au cours duquel son club, après deux belles victoires, avait été surpris par Houston lors des huitièmes de finale.

Avant de se joindre à l’Université de l’Arizona en 2020, Mathurin avait assuré son développement au Mexique, dès 2018, au sein d’une académie implantée par la NBA. Il est d’ailleurs devenu seulement le deuxième joueur issu de l’académie Latin America à être repêché après l’Australien Josh Giddey, du Thunder d’Oklahoma City, l’an dernier.

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Nouvel amphithéâtre aux plaines LeBreton | La Commission de la capitale nationale choisit les Sénateurs d'Ottawa - La Presse

Le chemin a été sinueux, mais les Sénateurs d’Ottawa auront finalement une place sur les plaines LeBreton, au centre-ville de la capitale fédérale.

Publié à 11h12
JULIEN PAQUETTE Le Droit

La Commission de la capitale nationale (CCN) a annoncé jeudi avoir conclu une entente avec un consortium mené par la franchise de la Ligue nationale de hockey pour la construction d’un centre d’événements majeurs sur les plaines LeBreton.

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Wednesday, June 22, 2022

Juraj Slafkovsky : un modèle analytique le place au 16e rang des espoirs au repêchage - DansLesCoulisses

Crémeuse ou traditionnelle? Shane Wright ou Juraj Slafkovsky?

C’est la question qui est sur bien des lèvres au Québec actuellement. En effet, avec le CH qui a le premier choix au prochain repêchage, chacun a son opinion quant à savoir lequel des deux joueurs devrait être sélectionné par Kent Hughes et le Tricolore.

Rien contre Logan Cooley, d’ailleurs, mais il est un choix moins populaire, actuellement.

Or, TVA Sports a publié un texte fort intéressant plus tôt ce soir qui parle du cas de Slafkovsky et de l’évaluation qu’en fait un outil analytique. En fait, selon ce dernier, Slafkovsky ne serait pas le meilleur espoir au prochain repêchage, ni même le deuxième. En fait, il serait le 16e meilleur espoir.

Qu’est-ce que cet outil analytique, plus précisément? En gros, il s’agit d’un modèle nommé Hockey Prospectus développé par Byron Bader et qui projette les chances de chaque espoir de devenir un joueur vedette dans la LNH. Notons d’ailleurs que des équipes de la LNH ont recours à cet outil dans leur évaluation des espoirs, d’où sa crédibilité.

En gros, Bader estime avec son modèle que Slafkovsky a le profil d’un joueur qui est habituellement repêché en deuxième moitié de la première ronde. Il ne le voit pas être une vedette dans la LNH, ce qui est ce que les équipes espèrent repêcher en sélectionnant un joueur aussi haut.

Bader compare le profil de Slafkovsky à ceux de Valeri Nichushkin et de Jesse Puljujarvi, deux joueurs qui ont aussi été repêchés hâtivement mais qui ne sont pas devenus des vedettes dans le circuit Bettman. De bons joueurs, certes, mais pas des vedettes.

Le modèle de Bader place Shane Wright au premier rang, et derrière lui, on voit les noms de Simon Nemec, Logan Cooley, Danila Yurov et Denton Mateychuk.

Au 26e rang, soit l’autre choix que possède actuellement le CH, on retrouve Ivan Miroshnichenko, l’attaquant russe bourré de talent qui a malheureusement été atteint par un lymphome de Hodgkin. Il a cependant eu le feu vert depuis.

Notons toutefois que ça ne se veut pas être un repêchage simulé (un mock draft), mais simplement un modèle qui évalue les chances de chaque espoir d’être une vedette dans la LNH.

Mais avec l’intérêt nouveau porté par la nouvelle direction hockey du CH envers les statistiques avancées, est-ce que ce modèle pourrait faire en sorte que le Canadien arrêtera son choix sur Wright? Ça pourrait avoir un impact si les dirigeants hockey de l’équipe y ont recours, à cet outil.

En Rafale

– Parlant de Wright et de Slafkovsky.

– Intéressant.

– Il est celui qui a frappé Nikita Kucherov durement hier soir.

– Du mouvement à prévoir chez les gardiens des Capitals? [RDT]

– Bonne nouvelle.

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Tuesday, June 21, 2022

Coupe Memorial : entrée en scène des Cataractes de Shawinigan face aux Oil Kings d'Edmonton - RDS

Les Cataractes de Shawinigan ont marqué deux fois en l'espace de 1:18 en troisième période pour se sauver avec  une victoire de 4-3 sur les Oil Kings d'Edmonton, mardi lors du premier match au tournoi à la ronde de la coupe Memorial pour les deux clubs.

Même avec Kaiden Guhle sur son dos, Mavrik Bourque est parvenu à contourner le filet avant de se retrouver étendu sur la glace et de remettre d'une seule main à Olivier Nadeau qui a battu Sebastian Cossa pour donner l'avance 4-3 aux Cataractes.

En fait, Shawinigan a fait tourner le vent en peu de temps en troisième alors que le club de la Mauricie tirait de l'arrière 3-2. Le marqueur du but gagnant en prolongation en finale de la coupe du Président contre Charlottetown, Pierrick Dubé, a créé l'égalité 3-3 en troisième période quand il a profité de l'écran devant le filet adverse pour toucher la cible avant de voir Nadeau inscrire le but qui a fait la différence.

En combinant la saison régulière et les séries éliminatoires, la fiche des Oil Kings était de 53-1-1 lorsqu'ils menaient après deux périodes.

« Je ne pense pas que c'était mon meilleur lancer, mais le fait que l'on joue avec confiance, que l'on reste soudé et sans pression ç’a peut-être aidé à ce qu'elle rentre, » a avoué Dubé.

« On est une bonne équipe qui ne se met pas de pression, a ajouté Dubé.  Même quand on tire de l'arrière, ça ne change rien à notre match.  »

Les Cataractes ont dominé la troisième période avec 15 tirs contre dix. C'est donc dire que les deux équipes de la LHJMQ ont remporté leur premier match chacune.

« Dans ce genre de tournoi, il est important de gagner le premier match, a déclaré Bourque. On est parti lentement en première, mais on a pris le contrôle du match en deuxième et troisième. »

Les Oil Kings ont donc été incapables de mettre fin à la guigne des champions de la Ligue de l'Ouest à la Coupe Memorial. Les monarques de la WHL n'ont pas gagné en ronde préliminaire du tournoi depuis 2015. Ils ont compilé un dossier de 0-12 lors des quatre dernières éditions de la Coupe Memorial.

« Je  ne réalise pas que nous avons effectué une remontée,  a avoué Bourque. J'ai l'impression que nous étions quand même en contrôle de ce match. On a dû remonter, mais je ne considère pas que l'on se faisait dominer. »

Bourque bat Guhle et offre le but à Nadeau

Les Oil Kings ont subi une lourde perte à 7:37 de la première période lorsque le défenseur Carson Golder a été chassé de la rencontre à la suite d'une mise en échec par-derrière à l'endroit de Maximilien Ledoux. Golder a asséné un double-échec dans le dos de Ledoux à quelques pieds de la bande. Ledoux n'a pas été blessé sur la séquence.

Au final, cette pénalité de match a conféré un avantage numérique de trois minutes à l'équipe de la Mauricie qui a en a profité pour prendre l'avance sur le but sans aide du défenseur Jordan Tourigny, qui a marqué à l'aide d'un tir des poignets dans la partie supérieure.

« Nous sommes un meilleur club que nous l'avons démontré ce soir, a prétendu l'entraîneur des Oil Kings Brad Lauer. Les gars étaient peut-être nerveux, mais je pense que nous avons bien joué. »

En fin de première période, Luke Prokop a déjoué le gardien Charles-Antoine Lavallée à l'aide d'un tir des poignets qui a donné un effet de balle tombante à la rondelle pour créer l'égalité à 19:16.

L'espoir du Canadien Kaiden Guhle a été à l'origine du deuxième but des Oil Kings quand il a amorcé une sortie de zone qui s'est transformée en deux contre un qui a permis à Tyler Horstmann de compter du côté le plus rapproché avec un tir des poignets.

Trois minutes plus tard, Xavier Bourgault a nivelé les chances avec son premier du tournoi.

Cole Miller a déjoué Lavallée avec un tir de la partie supérieure pour faire 3-2 Edmonton en fin de deuxième. Lavallée a terminé sa soirée avec 25 arrêts.

Les Oil Kings vont affronter Saint John mercredi. Ces derniers ont remporté le premier match du tournoi 5-3 face aux Bulldogs de Hamilton, lundi.

Incommodé par une extinction de voix, l'entraîneur des Cataractes Daniel Renaud a laissé sa place à l'un de ses adjoints, Pascal Dupuis, lors du point de presse d'après match. Dupuis a souligné que ce n'était pas la première fois depuis le début des séries dans la LHJMQ que son équipe tirait de l'arrière dans les matchs. « Très fier de voir la résilience de ce groupe qui ne lâche jamais. C'est un groupe qui s'ajuste bien pendant un match. »

Edmonton a appliqué un bon échec-avant en début de rencontre, ce qui a forcé les Cataractes à s'ajuster. « On a commencé à mettre des rondelles derrière eux pour jouer dans leur territoire. Ça nous a donné un peu de momentum de jouer derrière leur filet et leurs défenseurs. »

Les Cats ont séparé le duo Bourque et Bourgault en troisième, ce qui a compliqué le travail des champions de l'Ouest.  « On l'a fait à maintes reprises en séries et en saison, ce n'était pas une surprise pour nous, mais surement pour eux. » 

Prokop ramène tout le monde à la case départ
Bourgault trouve la lucarne et efface le déficit
Dubé surprend Cossa de la pointe

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Coupe Memorial : entrée en scène des Cataractes de Shawinigan face aux Oil Kings d'Edmonton - RDS

Les Cataractes de Shawinigan ont marqué deux fois en l'espace de 1:18 en troisième période pour se sauver avec  une victoire de 4-3 sur les Oil Kings d'Edmonton, mardi lors du premier match au tournoi à la ronde de la coupe Memorial pour les deux clubs.

Même avec Kaiden Guhle sur son dos, Mavrik Bourque est parvenu à contourner le filet avant de remettre d'une seule main à Olivier Nadeau qui a battu Sebastian Cossa pour donner l'avance 4-3 aux Cataractes.

En fait, Shawinigan a fait tourner le vent en peu de temps en troisième alors que le club de la Mauricie tirait de l'arrière 3-2. Le marqueur du but gagnant en prolongation en finale de la coupe du Président contre Charlottetown, Pierrick Dubé, a créé l'égalité 3-3 en troisième période quand il a profité de l'écran devant le filet adverse pour toucher la cible avant de voir Nadeau inscrire le but qui a fait la différence.

Les Cataractes ont dominé la troisième période avec 15 tirs contre dix. C'est donc dire que les deux équipes de la LHJMQ ont remporté leur premier match chacune.

« Dans ce genre de tournoi, il est important de gagner le premier match, a déclaré Bourque. On est parti lentement en première, mais on a pris le contrôle du match en deuxième et troisième. »

Les Oil Kings ont donc été incapables de mettre fin à la guigne des champions de la Ligue de l'Ouest à la Coupe Memorial. Les monarques de la WHL n'ont pas gagné en ronde préliminaire du tournoi depuis 2015. Ils ont compilé un dossier de 0-12 lors des quatre dernières éditions de la Coupe Memorial.

Les Oil Kings ont subi une lourde perte à 7:37 de la première période lorsque le défenseur Carson Golder a été chassé de la rencontre à la suite d'une mise en échec par-derrière à l'endroit de Maximilien Ledoux. Golder a asséné un double-échec dans le dos de Ledoux à quelques pieds de la bande. Ledoux n'a pas été blessé sur la séquence.

Au final, cette pénalité de match a conféré un avantage numérique de trois minutes à l'équipe de la Mauricie qui a en a profité pour prendre l'avance sur le but sans aide du défenseur Jordan Tourigny, qui a marqué à l'aide d'un tir des poignets dans la partie supérieure.

En fin de première période, Luke Prokop a déjoué le gardien Charles-Antoine Lavallée à l'aide d'un tir des poignets qui a donné un effet de balle tombante à la rondelle pour créer l'égalité à 19:16.

L'espoir du Canadien Kaiden Guhle a été à l'origine du deuxième but des Oil Kings quand il a amorcé une sortie de zone qui s'est transformée en deux contre un qui a permis à Tyler Horstmann de compter du côté le plus rapproché avec un tir des poignets.

Trois minutes plus tard, Xavier Bourgault a nivelé les chances avec son premier du tournoi.

Cole Miller a déjoué Lavallée avec un tir de la partie supérieure pour faire 3-2 Edmonton en fin de deuxième. Lavallée a terminé sa soirée avec 25 arrêts.

Les Oil Kings vont affronter Saint John mercredi. Ces derniers ont remporté le premier match du tournoi 5-3 face aux Bulldogs de Hamilton, lundi.

Prokop ramène tout le monde à la case départ

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Monday, June 20, 2022

Allégations d'agression sexuelle: aucun fonds gouvernemental utilisé par Hockey Canada - Le Journal de Montréal

Hockey Canada n’aurait pas utilisé de l’argent perçu par des fonds gouvernementaux pour régler hors cour un dossier relatif à une poursuite intentée par une femme, qui alléguait avoir été agressée sexuellement par huit joueurs d’Équipe Canada junior en 2018.

• À lire aussi: Viol collectif: les dirigeants de Hockey Canada devront s’expliquer

C’est du moins ce qu’ont mentionné les dirigeants de l’organisation, lundi, eux qui devaient témoigner de la situation devant le Comité permanent du patrimoine canadien, à la Chambre des communes. 

Plus tôt dans la journée, le réseau CBC révélait que Hockey Canada avait reçu 14 M$ de la part du gouvernement fédéral. Toutefois, le président de l’organisation, Scott Smith, a mentionné que l'organisation a dû puiser dans une partie de ses propres investissements pour en venir à une entente avec la dame en question. 

Selon les faits reprochés, la jeune femme aurait été victime d’un viol collectif commis par huit joueurs de l’édition 2018 d’Équipe Canada junior. 

Toutefois, les dirigeants de Hockey Canada ont mentionné à plus d’une reprise que, selon leur enquête, les événements exacts de cette soirée n’ont pas pu être déterminés avec précision, tout comme l'identité des huit personnes fautives. L’organisation aurait d’ailleurs contacté tous les joueurs de l’édition 2018 ainsi que leur équipe respective pour les informer de la situation. 

De plus, le chef de la direction sortant, Tom Renney, a estimé que le nombre de joueurs ayant coopéré à l’enquête des policiers se situait entre quatre et six, tandis que Smith a rectifié le tir en mentionnant que «ce n’était [assurément] pas entre quatre et six, mais un chiffre plus gros». 

Les deux hommes ont d’ailleurs ajouté que Hockey Canada devait entamer un long trajet pour rendre ce sport plus sécuritaire et inclusif.

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Les Sea Dogs ont montré leur vrai visage - RDS

SAINT JOHN, N.-B. - Les Sea Dogs de Saint John ont rongé leur frein pendant plus d'un mois, mais leurs efforts à l'entraînement jour après jour n'ont pas été en vain.

Ryan Francis a rompu l'égalité tard en première période en marquant le premier de ses deux buts et le club néo-brunswickois a vaincu les Bulldogs de Hamilton 5-3, lundi à la TD Station, en ouverture de la Coupe Memorial.

Les Sea Dogs étaient de retour en action après une pause de 38 jours à la suite d'une élimination surprise dès le premier tour éliminatoire face à l'Océanic de Rimouski dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec. Ils avaient pourtant gagné leurs 15 derniers matchs au calendrier régulier, et 26 de leurs 28 dernières rencontres avant les séries.

Cet effondrement en séries a mené au congédiement de l'entraîneur-chef Gordie Dwyer. Gardiner MacDougall, qui dirigeait le programme de hockey à l'Université du Nouveau-Brunswick, s'est amené en relève en compagnie de l'ancien dur à cuire Rocky Thompson.

L'électrochoc semble avoir fonctionné, alors que les Sea Dogs, qui portaient un uniforme en hommage aux vétérans des forces canadiennes, ont joué avec conviction.

« C'est sûr que nous avions des doutes, mais nous étions aussi confiants », a dit l'attaquant William Dufour, auteur d'un but pour les Sea Dogs.

« Nous nous entraînions cinq ou six fois par semaine sur glace et hors glace, mais ça en a valu la peine. Ç'a été dur, mentalement aussi. Mais c'était plaisant de revenir ce soir. Nous étions en forme et ç'a été payant. »

En plus de ses deux buts, Francis a également récolté une aide, alors que ses compagnons de trio Philippe Daoust et Raivis Kristians Ansons ont chacun accumulé trois aides.

Yan Kuznetsov et Peter Reynolds, dans un filet désert, ont également touché la cible pour l'équipe hôtesse du tournoi. Nikolas Hurtubise a réalisé 17 arrêts.

Hurtubise a réalisé son plus bel arrêt de la rencontre avec un peu plus de cinq minutes à faire en deuxième période et alors que l'avance des Sea Dogs était de 3-1. Il a réalisé un bon déplacement latéral vers sa droite pour frustrer Avery Hayes lors d'une attaque des Bulldogs à deux contre le gardien.

« C'était un gros arrêt pour nous, a reconnu Hurtubise. Des fois, c'est de ça que vous avez besoin pour reprendre le rythme dans un match.

« C'est mon travail de faire des arrêts comme ça et je suis content de l'avoir fait. »

Francis a marqué quelques minutes plus tard, offrant aux Sea Dogs un coussin qui a tenu le coup jusqu'à la fin de la rencontre malgré la tentative de remontée des champions ontariens.

« Ça commence avec notre gardien, puis nos défenseurs qui ont été brillants contre une excellente attaque, a souligné MacDougall. Nos attaquants ont bien joué dans toutes les phases du jeu et ont établi un bon échec-avant.

« Saint John est une ville d'ouvriers et nous avions un peu de ça dans notre jeu ce soir. »

Les Bulldogs avaient balayé les trois premiers tours des séries dans la Ligue de l'Ontario, avant d'avoir besoin de sept parties pour venir à bout des Spitfires de Windsor en finale.

Leurs étoiles ont été tenues en échec pendant de longs moments face aux Sea Dogs. Puis leur tentative de remontée est arrivée à court.

« Nous avions l'air d'être fatigués. Nous n'étions pas alertes mentalement au début de la rencontre », a dit l'entraîneur-chef des Bulldogs, Jay McKee.

« Les Sea Dogs n'ont pas vu la meilleure version des Bulldogs ce soir », a-t-il ajouté.

Ryan Winterton a inscrit deux buts et une aide et Hayes, un but et une aide. Logan Morrison a récolté trois aides et Marco Costantini a repoussé 30 tirs.

Les Cataractes de Shawinigan, champions de la LHJMQ, et les Oil Kings d'Edmonton, champions de la Ligue de l'Ouest, entreprendront leur parcours mardi.

Les Sea Dogs avantagés par leur long congé?
Les Sea Dogs font mentir les experts
Les Sea Dogs brisent rapidement la glace
Daoust s'échappe, Ansons redonne les devants à St John
William Dufour double l'avance des Sea Dogs
Ryan Francis hypnotise les Bulldogs

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Sunday, June 19, 2022

Beterbiev ne fait qu'une bouchée de Joe Smith fils - RDS

NEW YORK - Artur Beterbiev a respecté le vieux dicton: jamais deux sans trois.

Beterbiev a défait Joe Smith fils par le biais d'un K.-O. au deuxième round et a mis la main sur une troisième ceinture de la catégorie mi-lourds au Madison Square Garden de New York, samedi.

Beterbiev (18-0, 18 K.-O.), champion des ceintures de l'International Boxing Federation (IBF) et du World Boxing Council (WBC), a ajouté le titre de la World Boxing Organization (WBO) à sa taille.

Le protégé de Marc Ramsay a dominé le combat du premier au dernier instant, et a conservé sa fiche parfaite d'autant de K.-O. en autant de combats.

« Je vais avoir besoin d’un peu de temps pour m’y faire, a souligné le monarque avec trois couronnes après sa victoire lors d’une entrevue à ESPN. Je vais le réaliser dans quelques jours. »

« Sa garde était légèrement ouverte et il était donc plus facile pour moi de l’atteindre. Deux boxeurs ont une bonne force et chacun essaie de toucher l’autre en premier. Cette fois, j’ai été chanceux et je suis celui qui a porté le coup », a-t-il décrit avec simplicité.

Une seule ceinture échappe au Montréalais d'origine russe. C'est celle de la World Boxing Association (WBA) présentement détenue par Dmitrii Bivol. 

« Les combats d’unification sont plus intéressants et plus motivants. Je préfère les combats pour unifier les titres », a indiqué Beterbiev avant d’acquiescer qu’il souhaite devenir le champion incontesté dans la catégorie.

Le natif de Long Island, Smith (28-4, 22 K.-O.), s'est retrouvé au tapis dès le premier round et les choses ont été de mal en pis pour ce dernier. Il a finalement abdiqué au second round.

En sous-carte, le double médaillé d'or pour Cuba, Robeisy Ramirez (10-1, 6 K.-O.) a donné une première défaite au Portoricain Abraham Nova (21-1, 15 K.-O.) par le biais d'un K.-O. au cinquième round.

Ramirez fait voir des étoiles à Nova

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Saturday, June 18, 2022

Essais libres du Grand Prix du Canada | Avantage Verstappen, Leclerc pénalisé - La Presse

Le Néerlandais Max Verstappen, sur Red Bull, a dominé la première journée d’essais libres vendredi au Grand Prix du Canada. Le champion du monde en titre a bouclé son meilleur tour en 1 min 14,127 s pour devancer son plus proche rival, le Monégasque Charles Leclerc sur Ferrari, de 0,081 s.

Publié hier à 19h25
Michel Marois
Michel Marois La Presse

Carlos Sainz (Ferrari), Sebastian Vettel (Aston Martin), Fernando Alonso (Alpine), Pierre Gasly (AlphaTauri), George Russell (Mercedes), Lando Norris (McLaren), Daniel Ricciardo (McLaren) et Esteban Ocon ont complété le top 10.

En début d’après-midi, dans des conditions plus chaudes, mais aussi très venteuses, c’est déjà Verstappen qui avait signé le meilleur temps en 1 min 15,158 s, près de 0,25 s devant Carlos Sainz, Fernando Alonso, Sergio Pérez, Charles Leclerc, George Russell, Lance Stroll, Lewis Hamilton, Sebastian Vettel et Daniel Ricciardo.

Sur un circuit où il n’a jamais été particulièrement à l’aise, Verstappen a connu une journée sans problème. Trouvant vite les réglages procurant un bon équilibre à sa voiture, il a d’abord signé quelques tours rapides, avant de se concentrer sur des séquences de plusieurs tours afin de préparer la course.

Photo Olivier Jean, LA PRESSE

Max Verstappen

Vraiment une bonne journée. Nous avons vite été à l’aise avec les pneus tendres et cela nous a permis de travailler à notre rythme, calmement, pendant les deux séances. Il y a encore du travail, bien sûr, mais je crois que nous sommes en très bonne position pour la suite du week-end.

Max Verstappen

Dominé par Leclerc en qualifications depuis quatre courses, Verstappen croit en ses chances ce samedi. « Nous avons trouvé quelques trucs pour grappiller du temps sur un tour et j’ai hâte de voir où nous en serons [samedi] face à Ferrari. Il y a bien sûr des possibilités de pluie, mais ce sera pareil pour tout le monde », a conclu le pilote de 24 ans avant de courir se mettre à l’abri, les premières gouttes d’un gros orage commençant à tomber sur les paddocks du circuit Gilles-Villeneuve.

Une pénalité qui coûte cher

De son côté, Leclerc était moins serein. Le pilote de Ferrari fait face à la possibilité de recevoir une pénalité de plusieurs places sur la grille de départ en raison d’un changement de moteur ; celui qui a causé son abandon à Bakou, dimanche dernier, étant irréparable.

Le Monégasque a déjà atteint la limite prescrite pour l’ensemble de la saison pour les différents éléments du groupe propulseur de sa Ferrari et, selon les éléments que lui et ses ingénieurs décideront de remplacer avant les qualifications, il pourrait être pénalisé de 10 places ou même devoir partir à l’arrière du peloton.

Photo Olivier Jean, LA PRESSE

Charles Leclerc

Nous avons encore plusieurs choses à évaluer afin de prendre la meilleure décision. Au-delà des qualifications, nous devons trouver la stratégie qui nous permettra d’obtenir le meilleur résultat possible dimanche, peu importe d’où nous partions sur la grille.

Charles Leclerc

La Ferrari numéro 16 a roulé pratiquement toute la journée chaussée de pneus tendres, une indication que Leclerc et son équipe envisagent une stratégie agressive pour grimper au classement lors des premiers tours du Grand Prix, dimanche.

Stroll 12e, Latifi 19e

Derrière les deux pilotes les plus en vue du début de saison, la surprise est venue de Sebastian Vettel, étonnant quatrième au volant de son Aston Martin. En gros progrès depuis quelques courses après l’introduction d’une version modifiée de la voiture, deux fois vainqueur au Canada en plus d’avoir terminé au premier rang en 2019 avant d’être relégué au deuxième rang, l’Allemand se plaît visiblement à Montréal et il pourrait faire bonne figure dimanche.

Son coéquipier Lance Stroll s’est contenté de la 12place, mais il a lui aussi montré un bon rythme, lors de la première séance en particulier.

Photo Olivier Jean, LA PRESSE

Lance Stroll

On a été très compétitifs comme équipe et c’est de bon augure pour la suite du week-end. Il va maintenant falloir maximiser nos chances aux qualifications.

Lance Stroll

Vettel et Stroll ont par ailleurs été convoqués par la direction de la course après les essais, avec le Français Pierre Gasly, pour ne pas avoir respecté une directive sur la manière de négocier l’échappatoire dans le virage 14 au bout de la ligne droite.

L’autre Canadien, Nicholas Latifi, a été moins convaincant sur sa Williams, ayant terminé la journée au 19rang, l’avant-dernier, en profitant du fait que le Finlandais Valtteri Bottas n’avait pu terminer un seul tour.

Le Torontois s’est montré réaliste : « Nos performances sont décevantes et nous devons encore beaucoup travailler afin de progresser un peu. C’est quand même très spécial de courir ici ce week-end. Je sens vraiment l’appui du public et j’espère m’en servir pour faire de mon mieux. »

Et le marsouinage ?

La FIA utilise les essais libres du Grand Prix pour amasser des données relatives au marsouinage des voitures, équipées de capteurs qui mesurent les vibrations et les mouvements verticaux des châssis. Il s’agit de la première étape du processus qui devrait mener à terme à l’adoption d’une limite précise.

Comme plusieurs observateurs l’ont signalé, il s’agit d’un processus complexe, car il y a une grande part de subjectivité dans l’évaluation d’une limite « acceptable » au-delà de laquelle la sécurité des pilotes est menacée. Les équipes et les pilotes sont partagés sur la question, et il faudra sans doute de longues discussions avant que tous s’entendent sur la nouvelle règle et son application.

Chose certaine, le phénomène est encore bien réel et plusieurs pilotes se sont plaints des bonds de leur voiture. Le Britannique Lewis Hamilton, dont les commentaires ont été à l’origine de l’intervention de la FIA, a ainsi estimé que sa Mercedes n’avait jamais été « aussi mauvaise ».

Pas sûr que les nouvelles règles vont l’aider beaucoup…

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Friday, June 17, 2022

Pause salutaire pour le Lightning (Chronique de François Gagnon) - RDS

Au lendemain d’un revers encaissé en prolongation, Jon Cooper aurait préféré voir son équipe sauter sur la patinoire dès jeudi soir pour disputer le deuxième match de la finale de la coupe Stanley.

Mais parce que lui et ses joueurs connaissent moins bien l’Avalanche qui a signé un gain de 4-3, mercredi, pour prendre les devants 1-0 dans la série, l’entraîneur-chef du Lightning accueille avec plaisir la pause de deux jours entre les rencontres un et deux.

« La première journée nous permettra de revoir le match, de mieux identifier et analyser les tendances relevées dans notre préparation afin d’apporter les ajustements nécessaires en vue de la deuxième rencontre », a commenté l’entraîneur-chef du Lightning.

L'Avalanche a su garder son calme

Un entraîneur-chef qui était loin d’être abattu à peine 12 heures après la défaite encaissée lors du premier match. « Nous sommes ici pour gagner la série finale et non pour simplement gagner le premier match », a répliqué Jon Cooper lorsqu’on lui a demandé quel poids il accordait à la défaite de mercredi.

Cooper a aussi insisté sur le fait qu’il ne lançait pas un message à ses joueurs par le biais des médias lorsqu’il a indiqué, après le revers, que son équipe avait du bien meilleur hockey à offrir.

« Je suis un gars très ouvert et très direct. Quand j’ai des choses à dire à nos joueurs, je les dis clairement. Ils sont les premiers à savoir que nous avons du bien meilleur hockey à offrir que ce que nous avons offert hier soir. Ça ne change rien au résultat de la première partie. Nous avons déjà perdu des matchs au cours desquels nous avons très bien joué. Nous avons aussi gagné des matchs au cours desquels on avait moins bien joué. Mais pour mettre toutes les chances de notre côté, nous devrons être meilleurs samedi et surtout mieux entreprendre la partie », a indiqué l’entraîneur-chef des Bolts.

Point et Vasilevskiy

Jon Cooper n’avait pas encore rencontré ses joueurs individuellement lorsqu’il a répondu aux questions des journalistes par le biais d’une visioconférence.

Il ne savait donc pas dans quel état se trouvait Brayden Point au lendemain d’une première rencontre disputée après avoir raté 10 matchs en raison d’une blessure subie en début de rencontre du match décisif contre les Maple Leafs en première ronde.

« Brayden a passé près de 18 minutes sur la patinoire hier soir – 23 présences totalisant 17 min 59 s d’utilisation pour être précis – et c’est sans doute un peu plus que ce que j’aurais souhaité. À moins qu’il soit incapable de revenir pour le deuxième match, je m’attends à ce qu’il soit de la formation, car même sans être au sommet de sa forme, il fait de nous une meilleure équipe. »

Le Lightning a amorcé les quatre rondes disputées depuis le début des séries sur la route. Il a perdu les premiers matchs contre Toronto et New York en première ronde et en finale de l’Est. Il se retrouve donc en territoire connu.

Et comme cette équipe a su revenir de l’arrière pour éliminer les Leafs et les Rangers, Jon Cooper assure qu’il est facile de tourner la page et de se concentrer sur ce qui devra être fait pour revenir dans la série.

Le Lightning peut aussi s’appuyer sur des statistiques fort éloquentes de son gardien Andreï Vasilveskiy pour attiser sa confiance de relever le défi qui se dresse droit devant.

Dans les quatre premiers matchs qu’il a disputés depuis le début des séries, Vasilevskiy a signé une victoire seulement. Il a maintenu une généreuse moyenne de 3,99 buts alloués par partie et une efficacité de seulement 88,4 %. Dans les 14 autres matchs, le gardien du Lightning a fait honneur à sa réputation de meilleur portier au monde avec une fiche de 11 gains et trois revers, une moyenne anémique de 1,9 but accordé par match et une efficacité sensationnelle de 93,9 %.

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Les Warriors sont champions de la NBA - La Presse

(Boston) Stephen Curry a récolté 34 points et il a guidé les Warriors de Golden State vers un quatrième championnat de la NBA en huit saisons grâce à une victoire de 103-90 aux dépens des Celtics de Boston, jeudi soir.

Mis à jour à 6h10
La Presse Canadienne

Curry a une fois de plus montré son excellence au TD Garden, où il avait amassé 31 et 43 points lors des deux premiers matchs à l’étranger de cette finale.

Curry a également obtenu sept rebonds et sept assistances, aidant les Warriors à remporter cette finale en six affrontements.

« Nous avons trouvé une façon d’effectuer le travail, a affirmé Curry. Nous avons bâti cette équipe pendant 10-11 ans. Ça veut dire beaucoup d’être sur ce podium à célébrer. »

L’équipe californienne avait aussi été couronnée championne de la NBA en 2015, 2017 et 2018. Elle s’était inclinée en finale en 2016 et en 2019.

PHOTO MICHAEL DWYER, ASSOCIATED PRESS

Stephen Curry (au centre) a récolté 34 points et a guidé les Warriors de Golden State vers un quatrième championnat de la NBA en huit saisons.

« Les championnats ont tous été uniques, tous été spéciaux, a indiqué l’entraîneur-chef des Warriors, Steve Kerr. Ce titre a peut-être été le plus improbable. Ça prend un effort d’équipe pour accomplir ça et nous avons un très bon groupe. »

Curry, Klay Thompson, Draymond Green et Andre Iguodala sont les seuls joueurs des Warriors à avoir été présents pour les quatre conquêtes.

Curry a pu ajouter le trophée Bill Russell à sa collection alors qu’il a été élu le joueur le plus utile de la finale.

« J’ai finalement la main sur ce trophée, a déclaré Curry. C’est spécial. Tout le monde a eu un impact dans ce processus. »

Thompson et Green, qui a ajouté 12 assistances, ont tous les deux inscrit 12 points pour les Warriors. Le Canadien Andrew Wiggins a contribué offensivement avec 18 points et le substitut Jordan Poole a conclu la rencontre avec 15 points.

Jaylen Brown a été le plus efficace en attaque pour les Celtics, récoltant 34 points et sept rebonds. Il a été appuyé par le vétéran Al Horford, qui a offert une belle performance de 19 points et 14 rebonds.

Jayson Tatum, l’autre vedette offensive des Bostonnais, a éprouvé des difficultés lors du sixième duel, fournissant seulement 13 points et commettant cinq revirements. Il est devenu le premier joueur de l’histoire de la NBA à totaliser 100 revirements en un parcours éliminatoire.

Les Warriors presque d’un bout à l’autre

PHOTO BOB DECHIARA, USA TODAY SPORTS

Andrew Wiggins (22) et Jaylen Brown (7)

Les Celtics ont amorcé le match en lion, comme on aurait pu s’attendre d’une équipe en finale qui fait face à l’élimination.

Brown a réussi un panier de trois points et 28 secondes plus tard, Tatum a couronné une poussée de 10 points en réussissant également un tir d’au-delà de l’arche pour donner les devants 12-2 aux Celtics.

Les Warriors en ont toutefois vu d’autres au fil des années et ils se sont ressaisis avec calme. Ils se sont approchés tranquillement avant de terminer le premier quart avec une avance de 27-22, à la suite d’une séquence de 11 points.

Les visiteurs ont gardé le pied sur l’accélérateur au début du deuxième quart. Poole a réussi deux lancers de trois points et Wiggins a mis la touche finale en réalisant un dunk qui a accentué l’avance à 37-22.

La séquence de 21 points des Warriors était la plus longue en finale de la NBA au cours des 50 dernières années.

« Nous n’avons pas été capables de contrer leurs séquences, a admis le pivot des Celtics Robert Williams III. Nous avons commis des erreurs. Ils ont joué avec plus d’ardeur et ils ont gagné ce soir. »

L’équipe locale a réduit l’écart à huit points grâce au dunk de Williams, mais les hommes de Steve Kerr ont reparti la machine pour dominer les Celtics 15-8 dans les six dernières minutes pour rentrer au vestiaire avec une avance de 54-39.

C’est avec les lancers de trois points que les Warriors ont trouvé le moyen de se distancer de leurs adversaires, au troisième quart. Ils en ont réussi six, dont trois provenant de la main droite de Curry.

Ce fut aussi la cause de la remontée des Celtics au troisième quart. Les Warriors ont raté quatre tirs du périmètre et la troupe de Boston a pu terminer les six dernières minutes avec une séquence de 16-4.

En avance 76-66 au début du dernier quart, les Warriors ont voulu resserrer le jeu en défensive et ils ont maintenu une avance de plus de 10 points pendant la majorité des 12 dernières minutes pour confirmer leur titre.

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Thursday, June 16, 2022

«J'ai l'impression d'être le pimp numéro 1 à Montréal» - François Dumontier - TVA Nouvelles

Le promoteur du Grand Prix de Formule 1 du Canada, François Dumontier, a exprimé son exaspération à l'égard des liens établis entre son événement et la problématique du tourisme sexuel.

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Le dirigeant a fait part de ses états d’âme jeudi en entrevue au 98,5 FM. «Oui, j’ai cette perception. Cet acharnement provient en bonne partie du Journal de Montréal. Je suis tanné de ça. On parle de la prostitution depuis des années. J’ai l’impression d’être le ''pimp'' numéro 1 à Montréal», a-t-il dit en répondant à une question de l’animateur qui lui demandait s’il avait l’impression de voir un certain «acharnement sur le Grand Prix cette année».

«Pourtant, l’organisation est tout à fait contre cette pratique. Mon équipe a participé à la commission parlementaire sur le sujet. L’équipe permanente du Grand Prix est constituée de 20 personnes, dont 16 femmes... Personne dans ce groupe n’encourage la prostitution», a-t-il également affirmé.

De nombreux détracteurs du Grand Prix déplorent divers impacts, environnementaux et sociaux notamment, reliés à sa tenue. Cette semaine, «Le Journal de Montréal» a aussi évoqué les liens unissant le monde de la F1 à des entreprises, par exemple, faisant la promotion de produits néfastes pour la santé, que ce soit du tabac ou de l’alcool.

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Wednesday, June 15, 2022

Coupe Stanley : l'Avalanche remporte 4 à 3 en prolongation le match no 1 face au Lightning - RDS

SOMMAIRE

DENVER - Andre Burakovsky a marqué à 1:23 en prolongation et l'Avalanche du Colorado a vaincu le Lightning de Tampa Bay 4-3, mercredi, prenant ainsi une avance de 1-0 en finale de la coupe Stanley.

Après qu'un tir de J.T. Compher ait été stoppé devant le filet, Valeri Nichuskin a glissé la rondelle à Burakovsky, dont le tir a battu Andrei Vasilevskiy du côté gauche.

« Je suis déjà passé par là, a dit Burakovsky, qui a réussi deux gros buts dans le septième match de la finale de l'Est contre le Lightning en 2018, quand il a tout raflé avec Washington.

« Je sais un peu à quoi m'attendre comme rythme de jeu et au niveau des enjeux. »

« Andre joue bien ces temps-ci, a dit son coéquipier Mikko Rantanen. Il le mérite amplement. Il a complété un beau jeu. »

Lightning 3 - Avalanche 4 (Prolongation)

Nichushkin, Gabriel Landeskog et Artturi Lehkonen ont réussi les autres buts de l'Avalanche, en quête d'un premier championnat depuis 2001.

Nick Paul, Ondrej Palat et Mikhail Sergachev ont inscrit les filets du Lightning, les doubles champions en titre.

Darcy Kuemper a fait 20 arrêts, tandis que Vasilevskiy a été confronté à 38 tirs.

Le Lightning a été blanchi en trois avantages numériques.

« Nous pouvons quand même tirer du positif de la rencontre, a dit Jon Cooper, le pilote du Lightning. Il faut donner crédit à l'Avalanche pour être allé chercher la victoire. »

Le deuxième match aura lieu samedi soir, une fois de plus au Colorado.

En déficit 3-1 au premier entracte, les visiteurs ont mis de la pression et créé l'impasse avec deux buts en 48 secondes, au milieu de la période médiane.

Palat a complété un bel échange avec Kucherov et Sergachev a enfilé l'aiguille d'un tir de loin, au travers du trafic. L'opportunité est venue d'un cafouillage de Logan O'Connor, de l'Avalanche.

Nichushkin avait touché la barre transversale durant la quatrième minute du match.

Le capitaine Landeskog a signé le premier but du match à 7:47 au premier tiers, après qu'un tir de Mikko Rantanen ait été partiellement stoppé par Vasilevskiy.

Seulement 1:36 plus tard, Nichushkin a doublé l'avance grâce à un tir des poignets, suite à une passe hasardeuse de Victor Hedman. La séquence a découlé d'un échec-avant agressif du club des Rocheuses.

Paul a réduit l'écart à 2-1 à 12:26 au premier vingt. Il a converti ce qui est devenu une semi-échappée cahoteuse, après une longue remise en zone adverse de Hedman.

L'autre complice a été Brayden Point, qui n'avait pas joué depuis le 14 mai. Il s'est blessé lors du match ultime au premier tour, contre Toronto.

Point a récolté 28 buts et 30 aides en 66 matches de saison régulière.

L'Avalanche a su garder son calme

Lehkonen a marqué en avantage numérique à 17:31 au premier vingt, aidé de Landeskog et Rantanen.

L'ancien du Canadien de Montréal a fait mouche d'un tir des poignets, alors que Tampa Bay essayait de se débrouiller à cinq contre trois.

Tard en deuxième période, Compher a été frustré en échappée, après avoir saisi une brillante passe de Burakovsky.

Pat Maroon a donné des sueurs froides au Lightning en envoyant une rondelle dans les gradins avec 1:24 à écouler au troisième tiers, donnant une supériorité au club local.

Les attaquants Nazem Kadri et Andrew Cogliano étaient absents du côté de l'Avalanche. L'entraîneur Jared Bednar a affirmé que leur état de santé était réévalué quotidiennement.

Nichushkin profite du revirement créé par MacKinnon
Landeskog s'offre le 1er but de la finale
Lehkonen redonne deux buts d'avance
Une passe sur la Palat de Kucherov
Sergachev efface le déficit en 48 secondes

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Tuesday, June 14, 2022

LNH : Bruce Cassidy devient l'entraîneur-chef des Golden Knights de Vegas - RDS

Bruce Cassidy deviendra le prochain entraîneur des Golden Knights de Vegas. Darren Dreger de TSN avait rapporté la nouvelle en après-midi mardi et l'organisation a confirmé le tout un peu plus tard. 

Il succédera à Peter DeBoer, qui a été remercié après avoir été incapable d'amener son équipe en séries lors de la dernière série. 

« J’ai bien hâte de rejoindre une organisation qui partage mon désir de gagner et je suis impatient de travailler avec tout le talent qui a été réuni à Vegas, a mentionné Cassidy dans le communiqué des Golden Knights. C’était impressionnant de voir la ville accueillir les Golden Knights de cette façon. Ma famille et moi sommes impatients d’en faire partie. »

Cassidy a été à la barre des Bruins de Boston au cours des six dernières années. Il a été remercié récemment malgré une récolte de 107 points en saison régulière.

« Les Golden Knights sont très heureux de voir Bruce venir diriger l’équipe, a indiqué dans un communiqué le directeur général Kelly McCrimmon. Son succès à Boston lors des six saisons est très impressionnant. Ses équipes avaient des identités claires et étaient parmi les meilleures de la Ligue pour les buts marqués, encaissés et sur les unités spéciales. C’est le bon entraîneur pour nous en ce moment. »

Il a d'ailleurs remporté le trophée Jack-Adams lors de la saison 2019-2020. Ancien défenseur, Cassidy n'a disputé que 36 parties en carrière dans la LNH.

Sa première opportunité de diriger un club de la LNH est survenue en 2002-2003, alors que les Capitals de Washington en ont été fait leur instructeur. Il n'était alors âgé que de 37 ans.

Congédié par les Caps tôt dans la campagne 2003-2004, il a ensuite été brièvement adjoint chez les Blackhawks de Chicago, avant de faire un séjour d'une saison et demie dans l'OHL, avec les Frontenacs de Kingston.

En 2008, il s'est joint aux Bruins de Providence, dans la LAH, à titre d'instructeur adjoint. Il a finalement passé huit années avec cette équipe, dont cinq dans les fonctions d'entraîneur-chef, avant d'être appelé à prendre la place de Claude Julien derrière le banc des Bruins, en février 2017.

Roy a hâte de travailler sous ses ordres

Le centre québécois des Knights Nicolas Roy a mentionné en entrevue avec le RDS.ca qu'il était heureux qu'un entraîneur de la trempe de Cassidy ait été l'élu de l'état-major comme remplaçant de Peter DeBoer, limogé il y a un mois presque jour pour jour.

« Je le connais pas tant que ça, en réalité, sauf que j'ai parlé à Jérémy Lauzon que je connais bien et qui vit lui aussi en Abitibi. Il a joué pour lui à Boston, et il m'a dit qu'il l'avait bien aimé. C'est un entraîneur intense, qui va chercher le maximum de ses joueurs. J'ai parlé avec quelques-uns des gars, et on croit que c'est une belle addition », a-t-il mentionné.

L'attaquant âgé de 25 ans a avoué avoir eu une légère surprise lorsqu'il a pris connaissance de l'embauche de Cassidy, compte tenu de son congédiement très récent par les Bruins.

« C'est sûr que ça s'est fait rapidement. Mais en même temps, lorsqu'un candidat ayant fait la preuve qu'il peut faire gagner ses équipes devient disponible, les équipes sans entraîneur démontrent leur intérêt. Je n'ai entendu que de bons mots, donc c'est sûr que j'ai hâte de commencer à jouer pour lui. »

Roy a convenu que l'arrivée d'une nouvelle voix n'était pas un luxe pour Vegas, après une deuxième moitié de saison marquée par une vague en apparence sans fin de blessures, ainsi que des performances inconstantes.

Le tout s'est matérialisé par la première exclusion des séries des Knights depuis leur arrivée dans la LNH en tant que club d'expansion, en 2017-2018.

« Avec toutes les blessures, on s'est placés dans une positon difficile en fin de saison, alors qu'il fallait gagner beaucoup de matchs pour survivre. Je pense que lorsque ça se produit, il faut s'en tenir à son identité. À la base, on est une équipe qui travaille fort et qui n'accorde pas beaucoup de buts. Je pense qu'on s'est écartés de ça en fin de saison, mais c'est une belle leçon pour nous. On est une équipe talentueuse et on a raté les séries pour la première fois. On ne veut pas que ça se reproduise l'an prochain », a assuré Roy, qui croit que la nomination de Cassidy est un pas important dans cette direction.

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