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Thursday, November 30, 2023

5 choses à surveiller: au tour de Cayden Primeau - Le Journal de Montréal

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5 choses à surveiller: au tour de Cayden Primeau - Le Journal de Montréal
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JO d'hiver 2030 : les Alpes Françaises, seule candidature retenue par le CIO - FRANCE 24

La candidature des Alpes françaises à l'organisation des JO d'hiver en 2030 a franchi un pas important mercredi, en entrant seule en "dialogue ciblé" avec le CIO, qui désignera l'hôte l'an prochain, a annoncé le comité d'organisation.

Publié le : Modifié le :

4 mn

Le Comité international olympique (CIO) a confirmé mercredi soir avoir uniquement retenue la candidature des Alpes françaises en vue de l'organisation des JO d'hiver en 2030, et celle de Salt Lake City en vue de 2034.

La Suisse, candidate malheureuse à ces deux éditions qui seront officiellement attribuées l'an prochain, entre de son côté en "dialogue privilégié" pour les JO-2038, a annoncé à la presse Karl Stoss, président de la commission de futur hôte des Jeux d'hiver au sein du CIO.

Par cette décision de la commission exécutive du CIO réunie à Paris, la France passe de "partie intéressée" à "hôte pressenti" de la compétition, alors même que Paris accueillera déjà les JO d'été dans huit mois.

Plusieurs mois d'évaluation

Les Alpes françaises, qui ont lancé leur candidature l'été dernier en même temps que la Suisse – la Suède étant en lice depuis février – doivent désormais franchir plusieurs mois d'évaluation détaillée de leur dossier, de la carte des sites à l'héritage prévu, en passant par l'impact environnemental, le financement et le soutien politique.

Le projet, qui assure se baser sur 95 % de sites existants, s'étend de Nice au Grand Bornand, distants de près de 500 km, avec un pôle ski alpin sur les sites de Courchevel-Méribel et de Val d'Isère, le ski de fond à La Clusaz, et un village olympique basé à Nice, tout comme les épreuves de patinage.

Si l'exécutif du CIO juge suffisantes les garanties françaises, il recommandera sa désignation comme hôte des JO-2030 lors d'une session l'an prochain – qui ne sera pas celle de Paris en juillet juste avant les JO-2024, et devra donc être convoquée hors de France.

À l'inverse, si le dossier français est jugé décevant, l'instance olympique peut renvoyer la candidature en "dialogue permanent", c'est-à-dire reprendre la procédure à zéro. Une hypothèse toutefois peu probable, à moins de sept ans de la compétition.

Cette nouvelle procédure, qui tourne le dos aux traditionnels votes suivis dans le monde entier pour départager les candidats, n'a été utilisée qu'une fois, pour attribuer en 2021 les JO-2032 à la ville australienne de Brisbane.

Elle vise à diminuer drastiquement les coûts de candidature – de 80 %, selon le CIO –, à éviter aux perdants le camouflet publique d'un vote négatif, et à entretenir un vivier permanent de candidats potentiels : la Suède, déjà candidate pour les JO-2026 attribués à Milan-Cortina, et la Suisse, également intéressée par l'édition 2034, sont ainsi invitées à travailler encore leurs dossiers.

Un "non-sens écologique"

Le projet porté par les deux régions françaises Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d'Azur, et adoubé par l'Elysée cet été, a passé avec succès les points d'étapes obligatoires relatifs à l'agenda fixé par l'administration olympique. À savoir : le dossier déposé dans les temps le 7 novembre, et un grand oral de trente minutes le 21, face aux membres de la commission dédiée du CIO, avec la ministre des Sports accompagnée des deux présidents de région Renaud Muselier et Laurent Wauquiez, et du président du comité olympique français David Lappartient.

Elle n'avait pourtant pas que des soutiens. Des fédérations écologistes EELV ont notamment dénoncé cet été "une caution présidentielle qui viendrait à l'encontre de lois 'zéro artificialisation nette' et qui se moquerait des pénuries d'eau, les JO entraînant une accélération phénoménale du bétonnage de nos belles montagnes".

La question de l'enneigement, qui faiblit d'année en année, tout comme celle du paradoxe d'investir massivement dans les sports d'hiver en plein réchauffement climatique, sont régulièrement soulevées par les opposants.

"On est repartis pour sept ans de combat et on ne lâchera rien", a réagi auprès de l'AFP Stéphane Passeron, membre du collectif No-JO et ancien skieur de fond de haut niveau.

"Il va y avoir des problèmes, il risque d'y avoir un soulèvement, un soulèvement mauvais. On ne peut pas en même temps être à Dubaï [COP28, NDLR], dire que le monde s'effondre et faire ça sans aucune concertation. Prendre une décision en six mois qui engage l'économie des Alpes pendant trente ans, ce n'est pas possible. C'est affreux."

Avec AFP

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JO d'hiver 2030 : les Alpes Françaises, seule candidature retenue par le CIO - FRANCE 24
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Wednesday, November 29, 2023

Maureen Murphy | La franc-tireuse venue de Boston - La Presse

Année après année, dans tous les sports d’équipe, à l’aube du camp d’entraînement, on se demande invariablement combien de recrues réussiront à se tailler une place.

Quand une franchise doit être construite de A à Z, la question se pose différemment. Au camp de l’équipe montréalaise de la Ligue professionnelle de hockey féminin (LPHF), par exemple, on retrouve 7 joueuses, sur un total de 31, qui évoluaient dans les rangs universitaires la saison dernière. On peut donc présumer que quelques-unes d’entre elles seront en uniforme lors du match inaugural du 2 janvier prochain. C’est plutôt leur place dans la formation principale qui devient un fort point d’intérêt.

Entre ici en scène Maureen Murphy. À l’entraînement, mardi, sur la glace de l’Auditorium de Verdun, elle évoluait sur le même trio que Marie-Philip Poulin. Ce qui, pouvons-nous avancer sans créer la controverse, n’est pas la pire des affectations.

La petite attaquante américaine de 5 pi 4 po sort d’une carrière remarquable dans la NCAA, divisée entre Providence College et l’Université Northeastern. En 2022-2023, elle a fait partie de la liste des 10 athlètes nommées pour le prix Patty-Kazmaier récompensant la joueuse par excellence du circuit universitaire américain.

En septembre dernier, l’équipe de Montréal en a fait son choix de troisième tour au repêchage de la LPHF, après Erin Ambrose et Kristin O’Neill, toutes deux membres de l’équipe nationale canadienne.

Même si elle n’a pas encore officiellement de contrat en poche, elle est clairement en position de décrocher un poste d’importance de l’attaque de son équipe.

Bien qu’elle soit notamment reconnue pour sa capacité à créer des jeux et à récupérer des rondelles, les attentes à son endroit lui ont été exprimées clairement : marquer des buts. Ce n’est pas une grande surprise quand on sait qu’elle en a inscrit 50 en 70 matchs à ses deux dernières saisons à Northeastern, mais cela témoigne surtout de la confiance que l’organisation place en l’une des plus jeunes joueuses du camp.

« On me demande d’être une tireuse, mais honnêtement, je serais contente dans tous les rôles ; si Kori [Cheverie, entraîneuse-chef] me demande de remplir les bouteilles d’eau, je vais le faire ! », s’est exclamée Murphy en riant, mardi.

Cheverie, justement, a décrit l’attaquante comme une joueuse créative et rapide, bien servie par « ses mains et son tir ». « Elle est jeune, elle a la chance d’apprendre de joueuses plus expérimentées. Nous sommes satisfaits de sa progression jusqu’ici. »

« C’est une joueuse super travaillante, qui va donner son 100 % dans toutes les situations », a souligné Maude Poulin-Labelle, ex-coéquipière à Northeastern qui lutte elle aussi pour un poste à Montréal.

PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE

Maude Poulin-Labelle

« C’est une joueuse complète : c’est pour ça qu’elle a connu du succès dans la NCAA et qu’elle a été repêchée aussi tôt, a poursuivi la Québécoise. Elle a le talent et les habiletés, mais aussi toute une éthique de travail. »

À propos de l’occasion qui se présente à elle de se retrouver sur un trio au côté de Poulin et de la Tchèque Tereza Vasinova, Murphy a avoué qu’elle devait « patiner très vite pour les suivre », mais qu’elle ne pourrait « être plus reconnaissante » de ce qui lui arrive.

Préparée

Quelques minutes après avoir été sélectionnée par l’équipe de Montréal, à la mi-septembre, Maureen Murphy avait confié à La Presse être un peu sous le choc à l’idée de s’expatrier, elle qui était établie à Boston depuis plusieurs années et qui n’aurait pas détesté y faire ses débuts professionnels.

De Montréal, elle ne savait virtuellement rien. Les seules personnes qu’elle connaissait étaient Jordan Harris et sa copine Codie, deux anciens de Northeastern.

Deux mois plus tard, la voilà qui raconte avec enthousiasme à quel point son intégration à un nouveau groupe, dans une nouvelle ville, se déroule harmonieusement. Ses coéquipières Marie-Philip Poulin et Laura Stacey sont allées jeter un œil à son futur appartement avant qu’elle n’y emménage, ce qui en dit long sur le niveau de proximité que les vétéranes veulent installer entre les joueuses de cette équipe à bâtir.

« C’est assez incroyable, a repris la jeune femme de 23 ans. Elles ont pris soin de moi comme personne, pas juste comme joueuse. Je suis reconnaissante envers toutes les filles [de l’équipe] et tout le personnel. Tout le monde m’aide… surtout avec le français ! »

Sur la glace, la transition n’a pas été trop ardue, selon elle. La saison dernière, Murphy a disputé quelques matchs avec la formation américaine dans le cadre de la Série de la rivalité, et elle s’est entraînée avec certaines de ses joueuses avant que s’amorce le camp à Montréal.

Se mesurer à des joueuses plus vieilles lui demandera « évidemment » un ajustement, mais elle ne se sent pas en retard sur le plan de la préparation, a-t-elle assuré.

PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE

L’équipe montréalaise de la LPHF à l’entraînement

De fait, la situation des recrues au hockey féminin diffère de celle de leurs homologues masculins. Puisqu’elles terminent généralement leur formation scolaire en entier, les joueuses arrivent donc plus vieilles au niveau professionnel ; à 23 ou 24 ans, plutôt qu’à 19 ou 20 ans.

« Ces années à l’université permettent de se développer comme joueuse, mais aussi de grandir comme personne, confirme Erin Ambrose, l’une des doyennes de l’équipe. Ça confère une meilleure position pour connaître du succès. »

« Ça nous donne la chance de gagner en maturité, abonde la gardienne Ann-Renée Desbiens. Toutes les filles ici ont déjà habité seules, ont déjà déménagé. Ça rend tout plus facile. Mes années à l’université ont été parmi les meilleures de ma vie et m’ont bien préparée pour ce qui s’en venait. »

C’est justement ce qui émane de Maureen Murphy : une joueuse en pleine confiance, prête pour la prochaine étape de sa carrière. Pour l’heure, ça passera par Montréal et non par Boston. À cette franc-tireuse de trouver ses aises, on se doute qu’elle ne s’en plaindra pas.

Enfin un calendrier (ou presque)

La LPHF a enfin dévoilé une première portion de son calendrier, mardi. Une toute petite portion, en fait, mais c’est déjà plus que la veille. On a ainsi appris que la rencontre inaugurale de la ligue aurait lieu le 1er janvier prochain avec la visite de New York à Toronto, et que la formation montréalaise ferait ses débuts le lendemain à Ottawa. L’équipe de la directrice générale Danièle Sauvageau se rendra ensuite au Minnesota le 6 janvier avant de disputer son premier match à domicile le 13 janvier contre Boston. On ne sait pas encore à quel moment le reste du calendrier de 24 matchs par équipe sera dévoilé, pas davantage quand ou comment les billets seront mis en vente. Apprendre à quel moment s’amorcera la saison donne toutefois aux joueuses le sentiment que « tout devient un peu plus vrai », dixit Maude Poulin-Labelle.

Erin Ambrose sur patins

PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE

Erin Ambrose

Après s’être blessée au « bas du corps » il y a deux semaines pendant un match de la Série de la rivalité, la défenseure Erin Ambrose a enfilé ses patins pour les deux premières fois, lundi et mardi, pour des exercices à faible intensité. À la voir sur la glace, on avancera que son retour au jeu n’est pas imminent. Aux journalistes sur place, elle n’a pas voulu confirmer si elle accompagnera ou non son équipe à Utica, dans l’État de New York, où les six clubs de la ligue se rendront la semaine prochaine pour un mini-tournoi présaison. Ambrose estime toutefois qu’elle sera en mesure de disputer le match du 2 janvier à Ottawa.

Premières coupes

Comme les autres équipes du circuit, le club montréalais devra réduire sa formation de 31 à 27 joueuses ce mercredi. Une courte période de ballottage permettra ensuite à tous les DG d’inviter des joueuses libérées par leur équipe initiale, et ce, en vue du mini-tournoi d’Utica. Les formations finales de 23 joueuses et deux réservistes devront être déterminées au plus tard le 11 décembre. À Montréal, on peut s’attendre à ce que les coupes concernent principalement, voire exclusivement, les attaquantes et les gardiennes, puisque seulement huit défenseures ont été invitées au camp d’entraînement et que, parmi celles-ci, Erin Ambrose n’a pas encore patiné avec le groupe principal.

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LPHF Montréal : la longue boucle de Sarah Bujold - RDS

MONTRÉAL – En 2019, Sarah Bujold devait débarquer à Montréal pour s'aligner avec les Canadiennes. Les déboires de la Ligue canadienne de hockey féminin et la disparition soudaine de l'équipe l'ont forcée à changer ses plans.

« Ça fait drôle de me retrouver ici », disait-elle en balayant du regard les gradins déserts de l'Auditorium de Verdun la semaine dernière. À 27 ans, la Néo-Brunswickoise revient boucler la boucle après un exil de trois ans en Suède et une saison passée au sein de la défunte Premier Hockey Federation (PHF).

Son départ s'était organisé sur le coin d'une table. Quelques courriels envoyés comme autant de bouteilles à la mer, sans trop savoir ce qui en découlerait. Elle avait ciblé le club de Djurgårdens, à Stockholm, parce que l'entraîneuse Alana Blahoski avait joué pour l'équipe nationale américaine et pourrait communiquer avec elle en anglais.

« Je crois qu'elle a vu mes stats et m'a répondu : "ouais, on te veut" », suggère l'attaquante.

Ces chiffres étaient ceux que Bujold avait accumulés en cinq saisons à l'Université St. Francis Xavier en Nouvelle-Écosse. Ils méritaient effectivement qu'on s'y attarde. Elle avait totalisé 113 points en 121 parties, mais 94 à ses 73 dernières. Sa troisième saison a été sa plus spectaculaire alors qu'elle a amassé 43 points, dont 24 buts, en 24 matchs.

Dans son ensemble, ce rythme de production s'est avéré être un bon indicateur de ce qu'elle pourrait accomplir en Suède. Elle a terminé au deuxième rang des compteuses de son équipe à chacune de ses deux saisons dans la capitale, puis a déménagé à Linköping pour rejoindre le HV71. Elle a été sa meilleure attaquante avec 34 points en 29 matchs.

En 2022, Bujold est revenue en Amérique du Nord en signant un contrat avec les Metropolitan Riveters, une équipe de la PHF basée au New Jersey. « Je sentais que c'était le temps de revenir, que j'avais poussé ma progression au maximum en Europe. La PHF se portait bien, des amies m'en avaient parlé positivement, on me disait qu'il s'y jouait du hockey rapide. Je pensais que c'était la décision à prendre pour moi à l'époque. »

Elle s'est démarquée avec 20 points en 23 matchs, un rendement bon pour le top-15 de la ligue. Elle avait un nouveau contrat en vue de la prochaine saison, mais ses plans de stabilité sont partis au vent avec la dissolution de la PHF. Comme plusieurs de ses consoeurs, elle a traversé une période de choc, d'inquiétude, de confusion. Pour elle, tout ça s'est amplifié quand elle a été ignoré au repêchage de la nouvelle Ligue professionnelle de hockey féminin (LPHF) en septembre.

« Mon agent et moi, on pensait assurément que je serais repêchée, ne serait-ce que dans les dernières rondes. J'ai toujours affiché des bons chiffres, été parmi les meilleures de mon équipe depuis six ans. Je suis une joueuse de centre qui excelle des deux côtés de la patinoire. Alors oui, c'était décevant. J'ai eu besoin de quelques jours pour digérer ça. Mais dès l'ouverture du marché des joueuses autonomes, j'ai reçu de l'intérêt de plusieurs équipes. Ça m'a ramené dans de meilleures dispositions. »

La native de Riverview, près de Moncton, dit avoir choisi l'invitation au camp de Montréal entre autres pour la proximité avec la maison. Le projet sportif l'a aussi séduite. « En parlant avec Danièle [Sauvageau] et l'entraîneuse Kori [Cheverie], j'ai vraiment senti qu'elles accordaient de la valeur à mes habiletés et qu'elles me voulaient vraiment dans l'équipe. »

On peut aussi soupçonner que les discussions préliminaires avec l'équipe montréalaise mentionnaient d'attrayantes garanties. La mise sous contrat de Bujold a été annoncée le 15 novembre, soit quelques jours avant son premier entraînement sur glace avec sa nouvelle équipe. En date d'aujourd'hui, elle est l'une des huit attaquantes montréalaises dont l'embauche a été confirmée par la LPHF.

Avec son style axé sur la vitesse et le jeu physique, celle qu'on décrit comme une attaquante de puissance pourrait être une acquisition payante pour Montréal.

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Il est temps de soumettre Jake Allen au ballottage - DansLesCoulisses

Le Canadien reprendra l’action ce soir du côté de Columbus. L’équipe a quitté Montréal il y a plus d’une semaine déjà et elle reviendra (enfin) en ville durant la nuit. Gagez que les gars manqueront de jambes demain au Centre Bell (face aux puissants et « violents ») Panthers…

Mais ne nous précipitons pas trop dans l’avenir ; le club a un match à gagner ce soir à Columbus face à Wilfried Nancy Pascal Vincent.

Martin St-Louis a dévoilé dès lundi en Californie l’identité de son gardien de but partant ce soir : Samuel Montembeault.

Excusez-moi, mais je vais me permettre une petite montée de lait : le ménage à trois n’avait aucun sens il y a deux, trois semaines… mais il en a encore moins aujourd’hui. Il doit cesser.

Voici la liste des gardiens de but partant lors des 21 matchs du CH jusqu’ici cette saison :

11 octobre : Jake Allen
14 octobre : Samuel Montembeault
17 octobre : Samuel Montembeault
21 octobre : Jake Allen
23 octobre : Jake Allen
24 octobre : Cayden Primeau
26 octobre : Samuel Montembeault
28 octobre : Jake Allen
30 octobre : Samuel Montembeault
2 novembre : Jake Allen
4 novembre : Samuel Montembeault
7 novembre : Jake Allen
9 novembre : Cayden Primeau
11 novembre : Samuel Montembeault
12 novembre : Jake Allen
14 novembre : Samuel Montembeault
16 novembre : Cayden Primeau
18 novembre : Jake Allen
22 novembre : Samuel Montembeault
24 novembre : Cayden Primeau
25 novembre : Jake Allen
*29 novembre : Samuel Montembeault

Qu’est-ce que vous remarquez ?

Au début de la saison, Martin St-Louis osait utiliser un gardien de but deux matchs de suite. Après sa victoire du 14 octobre face à Connor Bedard, Corey Perry et les Blackhawks, Samuel Montembeault a eu droit au départ suivant (le 17). Cependant, un piètre départ lui a fait perdre le filet.

La semaine suivante, Jake Allen a battu les Capitals (2 buts contre) et il a donc été récompensé en obtenant le départ face aux Sabres, qu’il a aussi battus (1 but contre). Il a toutefois perdu son filet sous prétexte qu’il fallait faire jouer les deux autres gardiens, t’sais veux dire…

C’est justement là que le bât blesse.

Martin St-Louis, Kent Hughes, Jeff Gorton et compagnie tentent d’instaurer une bonne culture à travers l’organisation. Les gars doivent être responsables et imputables… ils doivent tout faire pour aider du mieux qu’ils le peuvent… ils doivent démontrer qu’ils sont utiles à l’équipe…

Mais tout ça doit venir avec deux conditions/conséquences :


First. Quand tu joues bien, tu dois être récompensé. Les attaquants et les défenseurs doivent voir leur temps de jeu être bonifié, notamment en avantage numérique…

Mais les gardiens doivent également être récompensés lorsqu’ils font bien.

Ce soir, le Canadien enverra un gardien différent de son match précédent pour la 17e fois de suite. On repassera pour le fameux concept de méritocratie. Que tu goal bien ou non, tu es out le prochain soir !

Montembeault a disputé quatre rencontres durant lesquelles il a accordé deux buts ou moins depuis le 29 octobre et pourtant, il n’a jamais eu droit au départ suivant. On l’a plutôt donné à Allen ou Primeau.

C’est aussi arrivé deux fois à Cayden Primeau – sur quatre départs, ça lui fait une pas pire moyenne au bâton – et il n’a jamais été récompensé d’un deuxième départ consécutif.

Au contraire, on risque d’encore une fois donner un match piège à Primeau – deuxième match en deux soirs avec du voyagement entre les deux et un retour en ville qui nuit bien souvent à l’effort collectif – demain face aux Panthers.

Il est impératif de changer ça, Kent, pour le bien de la fameuse culture que vous tentez d’inculquer dans le vestiaire. Parler d’imputabilité, de progression, du collectif… ça doit venir avec des récompenses pour les bons élèves/joueurs.

Malheureusement, quand tu continues de donner du temps en power play à Josh Anderson – plutôt que le rayer de la formation après 21 matchs sans marquer -, ça n’envoie pas le bon message. Chez les pros, tu dois « mériter ton utilisation », ta place…

C’était ma deuxième condition, ça.

La suite parfaite A-B-C-A-B-C-A-B-C, c’est bon dans le peewee… au baseball, pas dans la LNH ! Et ne me dites pas que Martin St-Louis est justement un coach de peewee…

Est-ce que Kent Hughes regrette d’avoir prolongé le contrat de Jake Allen ? Ça se peut… mais on ne vit pas dans le passé ; il doit bouger et vite.

Samuel Montembeault et Jake Allen sont des candidats à une éventuelle transaction selon TheAthletic et il doit se passer quelque chose…

Quitte à soumettre le nom de Jake Allen au ballottage, de l’envoyer à Laval (car on s’entend tous sur le fait qu’avec ses stats et son salaire, il ne serait pas réclamé) et de le faire jouer en bas. Ainsi, tes trois gardiens verraient de l’action et le Canadien ne serait pas mal pris étant donné une blessure éventuelle.

Dans le fond, la situation optimale, c’est peut-être juste d’envoyer Allen à Laval (en passant par le ballottage) : tu ne perdrais aucun asset et tu te protégerais.

En espérant que Kent Hughes, un ancien agent, ne pense pas en ancien agent actuellement…

Il ne doit pas tenir à sa rotation parfaite et/ou à ne pas froisser Jake Allen en le soumettant au ballottage.

On parle de hockey professionnel ici, pas de junior AA sur la rive-nord de Montréal.

Les rotations parfaites et les beaux concepts théoriques non-basés sur la performance, ça fonctionne surtout dans le monde syndical et dans les matchs amicaux… ce que la LNH n’est pas du tout !

Prolongation

Arber Xhekaj, qui à la base était une option aujourd’hui selon Renaud Lavoie, risque de devoir attendre à demain ou samedi avant de revenir au jeu.

Josh Anderson tentera de mettre fin à sa disette de 21 matchs (24 si l’on ajoute les dernières parties de la saison dernière) face à la pire équipe dans l’Est. Attention cependant ! Les Blue Jackets viennent de vaincre les puissants Bruins et ils sont sur une lancée (trois victoires en quatre matchs).

Est-ce que le CH parviendra à remporter une troisième victoire en quatre parties lors de la fin de son voyage… ou devra-t-il se contenter d’une fiche de .500 ? Jouer pour .750 serait exceptionnel, quand on se rappelle à quel point les performances montréalaises n’étaient pas très concluantes lors des rencontres.

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Coupe du monde de Tremblant | « L'ambiance va être incroyable ! » - La Presse

(Saint-Sauveur) Planches à l’épaule, un skieur retournait à sa voiture après quelques descentes au Sommet Saint-Sauveur, mardi matin. Les conditions sont bonnes ?

« Si je dis ‟mélamine”, vous comprenez ?

– Plus ou moins. »

Un entre-deux, selon les explications fournies. À -7 degrés, l’humidité dans la neige avait gelé, sans toutefois se transformer en glace. Une base très, très ferme, donc. « Ça prend des skis aiguisés. »

Ceux des six skieuses canadiennes qui dévalaient La Nordique, à quelques mètres de là, l’étaient sans l’ombre d’un doute. Leurs réflexes, tout autant. À tour de rôle, elles bondissaient dans le mur final, faisant lever un mince filet de poussières de neige en découpant les quatre ou cinq derniers virages.

« Zouuuum ! », entendait-on ensuite alors qu’elles passaient devant quelques jeunes de l’équipe de compétition locale, probablement en congé scolaire à cause de la grève. Direction : Sommet Express pour une autre remontée. Répétez six fois.

Faute d’une piste accessible pour leurs besoins à Tremblant, le groupe féminin de slalom géant a planté ses piquets à Saint-Sauveur pour une séance d’entraînement en vue de la Coupe du monde qui se tiendra dans la station reine des Laurentides, samedi et dimanche. Cette compétition sera le premier arrêt du cirque blanc à Tremblant en 40 ans. En mars 1983, la Canadienne Laurie Graham avait obtenu la première victoire de sa carrière en descente.

« Ma montagne »

Valérie Grenier tentera de l’imiter cette fin de semaine dans le cadre de deux slaloms géants disputés coup sur coup. Pour l’athlète de 27 ans, il s’agit d’un véritable retour à la maison. Elle a découvert le ski alpin à Mont-Tremblant quand elle avait 2 ans. Depuis ses débuts en Coupe du monde en 2014, elle a skié à six reprises à Lake Louise, traditionnelle ouverture de la saison de vitesse. Après plus d’une trentaine d’années dans la station iconique des Rocheuses albertaines, Canada Alpin déménage ses pénates dans l’Est, où le marché est plus important et lucratif, pour des épreuves techniques.

« Ça m’a toujours fait plaisir de skier à Lake Louise, mais ce n’est pas comparable », a dit en souriant Valérie Grenier après l’entraînement.

« Tremblant, c’est vraiment ma montagne. […] Le sentiment que je ressens est tellement intense. Ça me touche beaucoup plus [que de skier] à Lake Louise. Je sais qu’il y aura une très grande foule, tandis qu’à Lake Louise, c’était toujours assez petit. Dans l’Est canadien, beaucoup de monde aime le ski de compétition. L’ambiance va être incroyable ! »

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Valérie Grenier

Elle le sera d’autant plus si elle parvient à performer comme elle l’anticipe. Le 7 janvier, elle a décroché sa première victoire en Coupe du monde à Kranjska Gora, en Slovénie. Elle entreprenait alors une séquence faste, se classant six fois parmi les dix premières en sept slaloms géants sur le circuit. Après un deuxième podium aux finales présentées en Andorre, le 19 mars, elle a amorcé la nouvelle saison avec un aplomb renouvelé, finissant septième à Sölden, en octobre, et cinquième à Killington, au Vermont, samedi dernier.

« Après Sölden, j’étais un peu soulagée parce que je ne savais pas trop à quoi m’en tenir, a-t-elle analysé. Je n’avais jamais aussi bien terminé une saison et je commençais celle-ci avec beaucoup d’attentes. J’ai trouvé ça stressant. J’ai bien poursuivi ça avec une cinquième place à Killington, ce qui est vraiment bon. C’est sûr que j’en veux toujours plus ; il y a des choses dans mon ski dont je suis un peu déçue et il y a des erreurs que j’aurais aimé ne pas faire. »

On peut toujours faire mieux, mais je suis contente de mon début de saison.

Valérie Grenier

Septième au classement, Grenier aborde la Coupe du monde de Tremblant « avec beaucoup de confiance ». « Même si je ne skie pas nécessairement à mon meilleur ou que ce ne sont pas tous mes meilleurs virages, je peux quand même être vite et bien réussir. C’est très encourageant et je me sens bien par rapport aux courses à venir. »

Son principal défi cette semaine à Tremblant sera de gérer temps et énergie : « Je pense que ce sera assez occupé avec les médias, les fans, la famille, les amis. Je devrai faire attention. Je veux en donner à un peu tout le monde, mais je dois me respecter et rester consciente que j’ai des courses à faire. Je dois me garder du temps pour moi aussi. »

Six Canadiennes au départ

Privilège local, cinq coéquipières accompagneront Grenier pour cette première Coupe du monde féminine de ski alpin tenue au Québec depuis un slalom à Bromont en 1986.

Revenant d’une opération à une épaule qui a mis fin à sa dernière campagne, Sarah Bennett, de Stoneham, cherchera à se « réhabituer au rythme de course ». « J’ai progressé super rapidement à l’entraînement », a souligné la skieuse de 22 ans, qui amorce sa deuxième saison avec l’équipe canadienne. « Il me reste à trouver la bonne mentalité en course. »

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Sarah Bennett

Dixième de la première manche à Killington, la jeune Britt Richardson, 20 ans, de Canmore, a terminé parmi les 30 premières à ses deux départs jusqu’ici. Cassidy Gray, 22 ans, d’Invermere, est l’une des plus constantes à l’entraînement, mais n’a pas marqué de points depuis une 27e place en mars 2021.

Deux Québécoises évoluant sur le circuit de la NCAA ont reçu une invitation inattendue de l’équipe canadienne : Justine Clément, 24 ans, représente les Catamounts de l’Université du Vermont, tandis que Justine Lamontagne, 21 ans, porte les couleurs des Bobcats de l’Université d’État du Montana. Clément, de Bécancour, en sera à sa première présence en Coupe du monde en près de quatre ans, alors que Lamontagne, de Saint-Ferréol-les-Neiges, a effectué ses trois premiers départs en slalom à Levi (deux fois) et à Killington.

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Tuesday, November 28, 2023

LPHF : Montréal jouera son match d'ouverture le 13 janvier - RDS

MONTRÉAL - La nouvelle s'est vite répandue dans le vestiaire de l'équipe de Montréal, puis les joueuses ont commencé à envoyer les invitations à leurs proches.

La Ligue professionnelle de hockey féminin (LPHF) a dévoilé l'horaire des matchs d'ouverture de ses six formations, mardi. Le club montréalais jouera son premier match le 2 janvier à Ottawa, au lendemain du premier match de l'histoire du circuit à Toronto.

« C'était un sujet de conversation durant nos exercices après l'entraînement, a admis la défenseuse Erin Ambrose. C'était spécial de commencer le camp et maintenant, nous pouvons encercler une date. J'ai déjà écrit aux membres de ma famille pour leur dire qu'ils devront faire un voyage à Ottawa pour ce premier match historique. »

La formation montréalaise sera la dernière des six équipes à disputer son match d'ouverture locale. Elle le fera le 13 janvier à 15h30 contre le club de Boston à l'Auditorium de Verdun.

« D'avoir l'occasion de jouer devant nos partisans, de commencer devant parents, familles et amis et de pouvoir montrer ce que nous pouvons donner à la ville, c'est important pour nous, a souligné la gardienne Ann-Renée Desbiens. Ça devient de plus en plus concret. »

La première rencontre du nouveau circuit de hockey féminin sera présentée le 1er janvier au Mattamy Athletic Centre, quand le club de Toronto accueillera celui de New York.

L'équipe de Montréal lancera sa saison le lendemain contre la formation d'Ottawa, à la Place TD. Le club montréalais disputera aussi l'ouverture locale de la formation du Minnesota le 6 janvier, au Xcel Energy Center de St. Paul.

D'ici là, les équipes vont poursuivre leur préparation.

Une date charnière se pointait à l'horizon, alors que les équipes doivent réduire le nombre de joueuses à leur camp respectif à 27 dès mercredi. La directrice générale du club montréalais, Danièle Sauvageau, devra donc retrancher quatre joueuses.

Les joueuses retranchées seront ensuite soumises au ballottage durant quatre jours, et les autres formations pourront les contacter si elles ont l'intention de leur offrir un contrat.

Les six formations se réuniront aussi à Utica, dans l'État de New York, du 3 au 7 décembre, afin de disputer des matchs préparatoires. Il s'ensuivra une autre période de ballottage pour la vague suivante de joueuses retranchées.

En plus d'évaluer les joueuses présentes au camp, l'entraîneuse Kori Cheverie a le mandat d'assembler un groupe uni pour le début de la campagne.

La plupart des joueuses n'ont jamais joué ensemble et proviennent de différents horizons - les universités américaines, les programmes nationaux canadiens et américains, ou encore d'Europe.

« Nous voulons un environnement compétitif, mais nous voulons aussi que les joueuses tissent des liens, a insisté Cheverie. Nous ne pouvons pas attendre d'avoir choisi l'équipe pour développer une cohésion. C'est donc important pour nous de travailler comme si nous étions déjà une équipe complète, peu importe le fait que des joueuses soient en évaluation. »

Question de créer des liens entre les joueuses, l'équipe doit partir en retraite pour quelques jours à l'extérieur de Montréal. Même les joueuses ont affirmé mardi ne pas savoir exactement quels plans l'équipe leur avait réservés.

« Ce sera super agréable d'être juste les filles ensemble, a mentionné la défenseuse Maude Poulin-Labelle. Ça va nous aider à nous rapprocher, parce que nous ne nous connaissons pas vraiment. Nous nous côtoyons depuis seulement une dizaine de jours. Mais ça va être aussi de passer du temps ensemble hors glace, d'apprendre à connaître les différentes personnalités des filles. Ça devrait être très plaisant. »

Il s'agira d'une autre étape vers un objectif de plus en plus concret, maintenant que l'on sait quand la première saison de la LPHF s'ébranlera.

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C’est fini entre Corey Perry et les Blackhawks - Radio-Canada.ca

Les Blackhawks de Chicago ont placé le nom de Corey Perry au ballotage dans le but de mettre un terme à son contrat.

Le mystère demeure entier entourant le joueur de 38 ans, qui est disparu de l’entourage de l’équipe depuis le 22 novembre dernier.

Les Blackhawks ont affirmé par communiqué mardi qu’après une enquête interne, les Blackhawks de Chicago ont déterminé que Corey Perry a tenu un comportement inacceptable et qu’il a contrevenu à la fois à son contrat de joueur et à la politique interne de l’équipe.

S’il n’est pas réclamé au ballotage, les Blackhawks comptent résilier son contrat.

Samedi, le directeur général de l’équipe, Kyle Davidson, avait affirmé que Perry ne serait pas de retour dans un avenir rapproché.

Un peu plus tard, l’agent de Corey Perry avait spécifié que son client était à l’écart du hockey pour des raisons personnelles

Corey Perry détient un contrat d’un an et d’une valeur de 4 millions de dollars et il avait abouti à Chicago à la suite d'un échange avec le Lightning de Tampa Bay.

Il a porté les couleurs du Canadien de Montréal lors de la saison écourtée de 2020-2021, en raison de la pandémie de COVID-19.

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Monday, November 27, 2023

Bilan du quart de saison: le Canadien progresse à pas de tortue - Le Journal de Montréal

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  1. Bilan du quart de saison: le Canadien progresse à pas de tortue  Le Journal de Montréal
  2. Bilan 1/4 de saison : meilleur que les Sharks, loin des Kings! (François Gagnon)  RDS
  3. Il ne faut pas échanger David Savard  DansLesCoulisses
  4. Une bien timide progression dans le premier quart de saison  Radio-Canada.ca
  5. Au quart de la saison, le Canadien est là où on le voyait  La Presse
  6. Afficher la couverture complète sur Google Actualités

Bilan du quart de saison: le Canadien progresse à pas de tortue - Le Journal de Montréal
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LNH : Ne comptez pas les Oilers pour battus, avertit Connor McDavid - RDS

« Il ne faut pas nous compter pour battus. »

C'est l'avertissement qu'a lancé le joueur étoile Connor McDavid dimanche soir en entrevue sur le réseau Sportsnet, quelques minutes après une électrisante performance d'un but et quatre aides.

Même s'ils ne pointent qu'au 28e rang du classement général de la LNH après 20 matchs, au lendemain d'une convaincante victoire de 8-2 contre les Ducks d'Anaheim, les Oilers d'Edmonton semblent plus déterminés que jamais à faire taire les détracteurs.

Edmonton a enfilé quatre victoires en sept matchs depuis que Kris Knoblauch est à la barre de l'équipe et McDavid a retrouvé le rythme de production qui a fait de lui le meilleur joueur de la LNH depuis plusieurs saisons.

McDavid a récolté neuf points à ses deux derniers matchs et 15 points sous le régime de Knoblauch en sept rencontres. Ses récentes performances lui ont d'ailleurs valu la première étoile de la semaine dans la LNH.

Au niveau collectif, les Oilers ont certainement fait quelques pas dans la bonne direction pour retrouver leur niveau de jeu de la dernière saison. Comparativement à ce qu'ils étaient parvenus à faire depuis le début de l'année, les Oilers semblent de plus en plus en mesure de trouver des solutions quand ils connaissent des échecs offensivement.

« Je n'ai pas aimé nos 10-15 premières minutes de jeu, mais nous avons trouvé le moyen d'inscrire quatre buts et de nous garder dans le match. Nous avons bien joué pour le reste de la rencontre », a confié McDavid sur la performance des siens dimanche.

« Notre équipe joue mieux, tout le monde joue mieux. »

Avec une fiche de 7-12-1, il reste encore beaucoup de travail aux Oilers s'ils veulent atteindre une place en éliminatoires. Avec plusieurs pièces importantes en place, Edmonton a toutefois les munitions nécessaires pour y parvenir. La situation des Oilers n'est pas sans rappeler celle des Blues de St-Louis en 2018-2019.

L'équipe occupait le dernier rang du classement général en date du 2 janvier 2019, mais elle avait finalement remporté la coupe Stanley quelques mois plus tard.

« Nous sommes encore loin d'être l'équipe de la saison dernière, mais nous regardons un jour à la fois. Je regarde la saison dernière et nous avions une fiche de 10 victoires et 10 défaites après 20 matchs. Il ne faut pas nous compter pour battus », a exprimé McDavid.

Par ailleurs, Nikita Kucherov du Lightning de Tampa Bay et Juuse Saros des Predators de Nashville ont été nommés les deux autres étoiles de la semaine.

Kucherov a amassé huit points (2-6) en trois rencontres avec le Lightning, dont un sommet dans la ligue de cinq (1-4) en supériorité numérique.

Il a couronné sa semaine en égalant le record de concession pour le nombre de points dans un seul match avec six (2-4), dans l'écrasante victoire de 8-2 obtenue vendredi contre les Hurricanes de la Caroline.

Quant à Saros, il a dominé la LNH avec trois victoires en autant de départs, affichant au passage une moyenne de buts alloués de 2,35 et un taux d'efficacité de ,921.

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Une « petite » fin de semaine de neuf points pour Connor McDavid : enfin - DansLesCoulisses

Comme vous le savez, les Oilers d’Edmonton n’ont pas exactement eu un début de saison facile. La controverse des gardiens ainsi que le changement d’entraîneur sont des éléments qui ont fait jaser.

Par le passé, les Oilers comptaient sur un Connor McDavid qui était une force soir après soir et qui progressait d’année en année. Mais cette année, ce n’est pas exactement le cas… ce qui dévoile au grand jour les faiblesses de l’organisation.

Comme quand Carey Price se blessait à Montréal, genre.

Les neuf points en huit matchs de McJesus en octobre auraient fait le bonheur de bien des gars dans la LNH, mais on a compris que les Oilers ont besoin de plus que ça.

Mais le problème, c’est qu’à ses huit premiers matchs de novembre, il n’a obtenu que quatre points, dont deux buts. Ce n’était pas assez pour les Oilers, qui ont perdu cinq de ces matchs-là.

Il faut cependant noter que depuis une semaine, c’est une autre histoire. McDavid a pris les choses en main et disons que ses chances de le voir être le joueur de la semaine sont bonnes.

(Crédit: ESPN)
Même si les Oilers ont perdu leurs deux premiers matchs de la semaine, il a obtenu deux buts contre les Panthers et une passe contre la Caroline. Mais c’est pas la suite qu’il est passé au prochain niveau.

Le centre des Oilers a récolté quatre passes vendredi contre les Capitals (victoire de 5-0) et cinq points, dont un but, hier contre les DucksC’était dans le cadre d’un gain de 8-2.

C’est donc dire que depuis vendredi, le club a marqué 13 buts en deux matchs. Durant ces deux joutes-là, seulement deux buts ont été accordés. Les deux buts ont été concédés dans les premières minutes du duel contre Anaheim.

Notons que cela aurait pu être plus que 13 buts si la LNH avait des mesures adaptées pour réviser les buts, mais bon : c’est un autre débat, ça.

Présentement, les Oilers ne sont pas dans la course aux séries puisque seules trois équipes sont derrière les Oilers dans l’Ouest. Le club de l’Alberta, qui a 15 points en 20 matchs, est à six points du Kraken et d’une place en séries.

Je ne crois pas que ce sera assez… mais une bonne vieille règle de trois nous dit que si la tendance se maintient, ça pourrait ne prendre qu’environ 80 points pour se qualifier en séries dans l’Ouest.

Évidemment, pour se rendre jusque là, ça va prendre plus que McDavid. Mais présentement, Leon Draisaitl (sept points en quatre matchs, 13 points en sept matchs) et Evander Kane (sept buts en sept matchs) vont bien.

Il faudra juste espérer que Jack Campbell redevienne bon ou que Kent Hughes soit plus– ah pis laissez faire.

En rafale

– Oh boy.

– Ah ben oui.

– Bonne écoute.

– Ouch.

– Le succès, ça se cultive.

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Sunday, November 26, 2023

Hockey de la NCAA : Jacob Fowler toujours aussi brillant pour Boston College - RDS

L'espoir des Canadiens de Montréal Jacob Fowler ne pouvait pas demander mieux pour la fin de semaine de ses 19 ans.

Le gardien, né le 24 novembre, a célébré son anniversaire avec deux victoires au cours du week-end. Fowler a tout d'abord vaincu Notre Dame par la marque de 6-1, vendredi, alors qu'il s'est fait priver de son deuxième jeu blanc consécutif avec 1 :35 à disputer à la rencontre.

Fowler a récidivé dimanche dans un gain de 4-1 aux dépens de Harvard, en stoppant 23 des 24 tirs dirigés vers lui.

Cutter Gauthier a brisé une impasse de 1-1 en 3e période avec son 12e but de la saison avant d'ajouter une paire de mentions d'aide sur les buts d'assurance un peu plus tard.

Pour sa part, Fowler, qui a été le 69e choix des Canadiens lors du dernier repêchage, présente désormais une fiche de 11-2-1, avec une moyenne de buts alloués de 1,98 et un coefficient d'efficacité de ,931.

Fowler a maintenant stoppé 102 des 104 derniers tirs auxquels il a fait face dans une séquence datant du 17 novembre.

Boston College, qui se classe au 2e rang du classement de la NCAA, a produit plusieurs gardiens de qualité comme Thatcher Demko, Joseph Woll et Spencer Knight au cours des dernières années.

Boston College sera de retour en action vendredi soir pour une série de deux matchs contre Northeastern.

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F1 : Max Verstappen boucle la saison avec une victoire - RDS

ABOU DABI, Émirats arabes unis - L'extraordinaire saison de Max Verstappen s'est terminée avec une confortable victoire au Grand Prix de Formule 1 d'Abou Dhabi, dimanche.

Le Néerlandais a signé une 19e victoire cette saison et une 54e en carrière, ce qui lui a permis de devancer Sebastian Vettel au troisième rang de l'histoire du sport à ce chapitre. Seuls Michael Schumacher (91) et Lewis Hamilton (103) sont devant lui.

Verstappen a franchi le drapeau à damiers devant le pilote de l'écurie Ferrari Charles Leclerc et celui de l'écurie Mercedes George Russell. Il a également obtenu le point bonus pour le tour le plus rapide.

« Quelle année incroyable, a laissé entendre Verstappen en passant l'arrivée. C'était un peu émotif en revenant aux puits. »

Red Bull a gagné 21 des 22 courses cette saison, alors que Sergio Perez a aussi enregistré deux victoires.

« Ce sera très difficile de connaître une autre saison comme ça, nous le savons, a indiqué Verstappen. Nous verrons. Nous travaillerons fort pour avoir une voiture compétitive l'année prochaine.

Après avoir gagné deux des quatre premières courses, Perez a rapidement glissé derrière son coéquipier vedette.

« Tu as tout dominé cette année, a mentionné le directeur de l'écurie Red Bull, Christian Horner, à Verstappen, à la radio. Nous sommes tous très fiers de toi. »

Perez a franchi la ligne d'arrivée en deuxième place, mais il a chuté quatrième en raison d'une pénalité de cinq secondes. Leclerc a laissé Perez le dépasser dans le dernier tour dans l'espoir que le Mexicain termine avec plus de cinq secondes d'avance sur Russell. Mercedes et Ferrari se battaient pour le deuxième échelon du championnat des constructeurs.

Alors que le coéquipier de Russell, Hamilton, a pris la neuvième position et que Carlos Sainz fils n'a récolté aucun point, Mercedes a conservé le deuxième rang derrière Red Bull.

« Malheureusement, ce ne fut pas suffisant, a dit Leclerc. C'est dommage que nous ayons terminé au troisième rang des constructeurs. C'est tout ce qui comptait pour moi, mais nous ne l'avons pas accompli. Je veux remercier toute l'équipe pour son incroyable travail. »

Le Québécois Lance Stroll, à bord de sa Aston Martin, a amassé un point grâce à une 10e place. Il s'est assuré du 10e rang du championnat des pilotes.

Verstappen s'est élancé de la position de tête pour une 12e fois cette saison, plus de deux fois plus que n'importe quel autre pilote, avec Leclerc à ses côtés et Oscar Piastri, de McLaren, en troisième place sur la grille de départ.

La piste de Yas Marina est l'une des plus difficiles en matière de dépassements et Verstappen a connu un bon départ, repoussant quelques attaques de Leclerc.

Verstappen a opté pour des pneus durs au 17e tour sur 58. Leclerc l'a suivi au tour suivant, laissant le pilote d'AlphaTauri Yuki Tsunoda aux commandes pour une rare fois.

Verstappen a repris la tête quelques tours plus tard et n'a jamais été dérangé.

Perez a écopé une pénalité pour avoir fait un contact pneu à pneu avec le pilote de McLaren Lando Norris, tard dans l'épreuve. Norris semblait pourtant avec assez d'espace et il a viré vers le pneu droit de Perez.

« Pourquoi recevons-nous cette pénalité? J'étais devant », a déclaré Perez, perplexe, à la radio de l'équipe.

Perez a pris le deuxième échelon du classement des pilotes, à 290 points de Verstappen.

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Grand Prix d'Abou Dhabi | Le décompte s'arrête à 19 pour Max Verstappen - La Presse

« Ce sera difficile de refaire quelque chose comme ça, mais nous avons pleinement profité de cette saison », a dit Max Verstappen après avoir décroché sa 19victoire de la saison, dimanche, à Abou Dhabi. Dix-neuf, oui. En 22 courses.

Verstappen a été dérangé par Charles Leclerc dans le premier tour, mais a su protéger sa position. À l’image de bien d’autres Grands Prix cette saison, le Néerlandais a ensuite creusé son écart petit à petit, jusqu’à ne laisser aucune chance à la Ferrari de le rattraper. Leclerc a donc terminé la course au deuxième rang, suivi de George Russell, de Mercedes.

Le pilote Red Bull, qui s’est assuré du championnat il y a plusieurs semaines déjà, a mené un total de 1000 tours cette saison. Il n’a été battu que trois fois, dont deux fois par son coéquipier, Sergio Pérez.

Jamais n’a-t-on vu, dans l’histoire du sport, une telle domination. Ça méritait bien quelques beignes une fois la ligne d’arrivée traversée.

« J’étais un peu émotif dans le dernier tour. C’était la dernière fois que j’étais assis dans la voiture, laquelle m’a, de toute évidence, beaucoup donné », a-t-il indiqué en entrevue d’après-course au micro de la F1.

« Nous travaillons fort pour avoir une voiture compétitive encore la saison prochaine. Les autres équipes voudront nous battre et nous sommes prêts pour la bataille, mais pour l’instant, nous allons profiter un peu de cette saison. »

PHOTO JEWEL SAMAD, AGENCE FRANCE-PRESSE

Max Verstappen

La lutte de la deuxième place

Toujours est-il que le suspense de cette ultime course n’était pas de savoir à qui appartiendrait la victoire, mais plutôt quel constructeur, entre Ferrari et Mercedes, s’emparerait de la deuxième place au classement. Les deux rivaux n’avaient que quatre points d’écart avant cette course ; tout était donc possible, d’autant plus que chacune des deux écuries avait un pilote à l’avant de la grille, et un pilote passé la 10place.

Le suspense s’est étiré jusque dans les dernières secondes. Dans le dernier tour, Ferrari était en voie d’être battue au décompte des points quand Charles Leclerc, au 2e rang, a décidé de laisser passer Sergio Pérez. L’idée était de lui permettre de creuser son écart avec Russell, qui se trouvait au 4e rang. C’est que Pérez avait écopé d’une pénalité de 5 secondes plus tôt dans la course ; si Russell concluait à moins de 5 secondes de Pérez, Mercedes récolterait plus de points que Ferrari. La stratégie de Leclerc n’a cependant pas fonctionné. Derrière, Lewis Hamilton a pris le 9rang et 2 points au classement, tandis que Carlos Sainz fils n’a pas terminé la course.

Le résultat final, donc : 409 points pour Mercedes, 406 pour Ferrari. L’écurie britannique obtiendra ainsi une prime plus élevée.

« Ça représente beaucoup, a laissé entendre George Russell. Il y a tellement de gens à l’usine qui ont travaillé si fort pour y arriver. […] C’était serré avec Checo [Pérez] à la fin, je pensais que Charles allait me soutenir, mais il a mon respect pour avoir gardé ça propre. On peut relaxer maintenant ! […] Tout le monde prendra quelques verres ce soir ! »

PHOTO RULA ROUHANA, REUTERS

George Russell

« C’est dommage qu’on ait fini troisièmes chez les constructeurs, a quant à lui déploré Leclerc. [Terminer deuxième] est tout ce qui m’importait dans cette fin de saison. Nous n’y sommes pas arrivés. »

Ces autres luttes

On suivait d’autres luttes dans cette course finale. Toujours au championnat des constructeurs, McLaren voulait s’assurer de maintenir son avance de 11 points sur Aston Martin pour conclure en quatrième place. Elle y est arrivée sans trop de difficulté, alors que Lando Norris et le surprenant Oscar Piastri ont respectivement fini la course aux 5e et 6rangs.

La saison de McLaren s’est déroulée en deux temps ; l’écurie papaye a connu une impressionnante remontée depuis le mois d’août.

« Nous avons eu beaucoup de hauts et de bas depuis le début de la saison, a noté Norris. Les derniers mois ont été formidables pour l’équipe et nous allons poursuivre sur cette lancée cet hiver pour revenir plus forts l’année prochaine. »

Aston Martin, de son côté, a eu la trajectoire inverse, elle qui avait pourtant commencé la saison en fusée. On se souvient des six podiums de Fernando Alonso aux huit premières courses… L’Espagnol, 7dimanche, a eu une deuxième moitié de saison plus difficile, mais à 42 ans, le voilà qui termine la saison en 4place chez les pilotes, à égalité avec Leclerc. Un exploit remarquable.

Son coéquipier, le Québécois Lance Stroll, a achevé cette dernière course au 10échelon. Même chose au championnat des pilotes. Le représentant d’Aston Martin conclut ainsi une saison en dents de scie ; son meilleur résultat est une 4place en Australie, et son pire (outre ses quatre abandons), une 16place en Italie.

Yuki Tsunoda, qui partait 6e sur la grille, a profité de ce dernier derby pour égaler son meilleur résultat de la saison, une 8place. Il a d’ailleurs été nommé pilote de la journée. Voilà un beau cadeau pour son chef d’équipe chez AlphaTauri, Franz Tost, qui prend sa retraite.

Classement des pilotes

1-Max Verstappen, Red Bull (575 points)
2-Sergio Pérez, Red Bull (285 points)
3-Lewis Hamilton, Mercedes (234 points)
4-Fernando Alonso, Aston Martin (206 points)
5-Charles Leclerc, Ferrari (206 points)
6-Lando Norris, McLaren (205 points)
7-Carlos Sainz fils, Ferrari (200 points)
8-George Russell, Mercedes (175 points)
9-Oscar Piastri, McLaren (97 points)
10-Lance Stroll, Aston Martin (74 points)
11-Pierre Gasly, Alpine (62 points)
12-Esteban Ocon, Alpine (58 points)
13-Alexander Albon, Williams (27 points)
14-Yuki Tsunoda, AlphaTauri (17 points)
15-Valtteri Bottas, Alfa Romeo (10 points)
16-Nico Hulkenberg, Haas (9 points)
17-Daniel Ricciardo, AlphaTauri (6 points)
18-Guanyu Zhou, Alfa Romeo (6 points)
19-Kevin Magnussen, Haas (3 points)
20-Liam Lawson, AlphaTauri (2 points) 21-Logan Sargeant, Williams (1 point)

Classement des constructeurs

1-Red Bull (860 points)
2-Mercedes (409 points)
3-Ferrari (406 points)
4-McLaren (302 points)
5-Aston Martin (280 points)
6-Alpine (120 points)
7-Williams (28 points)
8-AlphaTauri (25 points)
9-Alfa Romeo (16 points)
10-Haas (12 points)

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Carey Price dans la Ligue professionnelle de hockey féminin - Le Journal de Montréal

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