À Los Angeles, le club a perdu le nord. L’équipe a perdu deux de ses trois matchs en décembre au retour de la pause de Noël et en janvier et a présentement une fiche de 2-5-3 à ses 10 derniers duels.
Trois points en trois matchs (1-1-1) à la fin du mois de décembre… huit points en 12 matchs (2-6-4) en janvier… clairement, on voit tous que ce n’est pas suffisant pour L.A.
Après tout, les Kings aspirent à faire les séries éliminatoires et à faire un bon bout de chemin en playoffs.
Mais en ce moment, même si le club est en séries, il est en voie de se sortir du portrait éliminatoire plus rapidement que prévu si l’hémorragie ne s’arrête pas sous peu.
On voit bien qu’en ce moment, les Blues sont à trois points des Kings et à un point des séries. Les Coyotes, le Kraken, les Flames et le Wild sont aussi à proximité, dans les faits.
Au fond, outre les Ducks, les Blackhawks et les Sharks, tout le monde a des chances.
En d’autres mots, l’aide doit venir de l’intérieur.
Hier, les Kings ont perdu au compte de 5-3 contre les Sabres. Parce que le club menait 3-1 à un certain point contre un club qui n’est pas une puissance de la LNH, disons que Doughty n’a pas accepté le revers.
Et après le match, il l’a fait savoir aux médias.
Certains joueurs dans la chambre s’en font trop avec leurs points et leur jeu personnel. – Drew Doughty
“We got a 3-1 lead tonight and guys start thinking it’s a cookie night and stop playing the way we know how to play”
Il regrette le fait que certains gars ont arrêté de jouer de la bonne manière avec une avance de deux buts. Il semblait notamment parler du trio de Phillip Danault (-3), Trevor Moore (-4) et Kevin Fiala (-4), pour qui cela n’a pas été facile hier.
Un trio à -11 alors que le club menait 3-1 dans le match, à un certain point, c’est… ordinaire. Et même le coach n’est pas satisfait de tout ça.
McLellan: “The stupidity that went into this loss is beyond explainable”
Lors de son passage de six matchs avec le Tricolore, Roy a marqué un but et amassé une aide. Il s'agissait du premier rappel dans la LNH pour le choix de 5e tour des Canadiens en 2021.
Roy a certainement laissé une bonne impression auprès de l'entraîneur-chef Martin St-Louis.
« Je trouve qu'il donne de bonnes minutes », a dit St-Louis mardi. « Il est intelligent sur la glace. Je suis très satisfait. »
Selon notre collègue Stéphane Leroux, Roy ne sera pas en uniforme pour le match du Rocket contre les Comets d'Utica, ce soir. Roy a joué mardi soir avec Montréal et Laval est également en action vendredi et samedi. En toute logique, Roy sera au repos pour éviter de jouer quatre fois en cinq soirs.
Avec le Rocket, Roy a inscrit 12 buts et ajouté 18 mentions d'aide en 34 matchs à sa première saison professionnelle.
Cinq joueurs de l’équipe canadienne ayant participé au Championnat mondial junior de 2018 devront se rendre aux autorités. Ils feront face à des accusations d’agression sexuelle, écrit ce mercredi matin le Globe and Mail.
Le quotidien torontois affirme avoir obtenu cette information de deux sources près du dossier. Les suspects, qui ne sont pas encore accusés, disposeraient d’un « certain délai » pour se présenter au quartier général de la police de London, en Ontario. Le corps policier a d’ailleurs convoqué les médias pour une mise à jour le 5 février prochain.
Le monde du hockey est tombé en émoi après qu’une jeune femme eut déposé, en avril 2022, une poursuite contre huit ex-joueurs de la Ligue canadienne de hockey (LCH), contre la ligue elle-même et contre Hockey Canada. Elle y accusait ces joueurs, dont certains venaient de remporter la médaille d’or au championnat mondial junior, de l’avoir agressée dans une chambre d’hôtel de London après un gala organisé par Hockey Canada en 2018. Elle était fortement intoxiquée au moment des faits.
La poursuite détaillait des gestes dégradants posés par les agresseurs présumés et mentionnait que la jeune femme avait subi, à l’époque, de la pression des défendeurs afin qu’elle ne les dénonce pas.
L’écrasante majorité des joueurs de cette formation évoluent aujourd’hui dans la LNH. L’identité des suspects n’a encore jamais été dévoilée. L’affaire a rapidement été réglée à l’amiable avec Hockey Canada. La victime réclamait 3,55 millions de dollars, dont 2 millions en dommages pécuniaires passés et futurs et 1 million en dommages punitifs.
Après avoir amorcé une enquête criminelle en 2018 et l’avoir conclue sans accusation huit mois plus tard, la police de London a annoncé, en juillet 2022, qu’elle réactivait son enquête. En décembre 2022, citant des documents judiciaires, le Globe and Mail a révélé que le corps policier estimait avoir des « motifs raisonnables » de croire que cinq membres de l’équipe canadienne junior de hockey de 2018 avaient bel et bien agressé la jeune femme.
Depuis que les évènements allégués de 2018 ont été révélés, la LNH et Hockey Canada ont aussi commandé des enquêtes, dont les conclusions n’ont jamais été rendues publiques.
Chez Hockey Canada, on a confié le rapport des enquêteurs externes à un panel indépendant, qui avait pour mandat de tenir une audience afin de déterminer si certains suspects avaient enfreint le code de conduite de Hockey Canada et, le cas échéant, quelles devaient être les sanctions imposées à ces joueurs.
Le tribunal a fourni son rapport final à toutes les parties visées, et l’une d’entre elles a interjeté appel. Le processus est toujours en cours.
Enquête de la LNH
Les hautes instances de la LNH n’ont pas souhaité commenter la situation, mercredi.
La ligue avait annoncé dès le mois de mai 2022 qu’elle mènerait une enquête. Les entrevues avec les joueurs d’Équipe Canada junior 2018 se sont étalées sur des mois. Le commissaire Gary Bettman et son adjoint Bill Daly ont multiplié les interventions médiatiques pour affirmer, laconiquement, que le processus avançait. Même si l’enquête est bouclée depuis des mois, ses conclusions n’ont jamais filtré hors des murs des bureaux de la ligue.
Depuis mai 2022, tous les joueurs de la LNH qui faisaient partie de l’équipe nationale junior en 2018 ont poursuivi leurs activités, certains signant même de nouveaux contrats avec leur équipe respective. La seule exception est Alex Formenton qui, à défaut de s’entendre avec les Sénateurs d’Ottawa sur les détails d’un nouveau pacte à l’été 2022, a passé la dernière saison en Suisse. Son club, le HC Ambri-Piotta, lui a par ailleurs accordé un congé ce mercredi afin de lui permettre de « revenir au Canada ».
La convention collective liant la ligue à ses joueurs investit le commissaire d’un pouvoir discrétionnaire d’imposer des sanctions à la suite de gestes commis hors de la patinoire. Gary Bettman est donc en droit de suspendre un joueur, de lui imposer une amende ou même de faire résilier son contrat.
Le caractère inédit du présent exercice résidait plutôt dans la cause à évaluer. En 2014, Slava Voynov, des Kings de Los Angeles, a été suspendu indéfiniment après avoir été arrêté et accusé de violence conjugale. En 2018, suivant une accusation similaire, Austin Watson, des Predators de Nashville, a écopé de 27 matchs de suspension.
Or, dans l’affaire de Hockey Canada, aucune accusation criminelle n’a encore été déposée. Il revenait donc à la ligue de déterminer le fil des évènements.
Hockey Canada implose
Jusqu’ici, c’est Hockey Canada qui a subi les plus puissants contrecoups liés à cette affaire. Pas une semaine n’a passé, pendant l’été 2022, sans qu’une révélation ou un nouveau rebondissement ne plonge davantage la fédération dans l’embarras.
L’enquête indépendante commandée par l’organisme à une firme d’avocats en 2018 avait été visiblement bâclée. Elle a depuis été réactivée.
Le Globe and Mail a mis au jour l’utilisation d’un fonds spécial de plusieurs millions de dollars pour dédommager des victimes de violences sexuelles en dehors des tribunaux. Par ce procédé ainsi que par le truchement d’autres sources de financement, Hockey Canada a versé 12 millions et demi de dollars à 22 victimes depuis 1989, a-t-on par la suite appris de la bouche de ses dirigeants en commission parlementaire à Ottawa.
Les fédérations provinciales ont commencé à taper du pied, demandant notamment une plus grande transparence quant à la gestion générale de l’organisme et à la gestion spécifique de l’incident de 2018. Hockey Québec a été la première à lâcher Hockey Canada, en octobre 2022, suspendant le versement des cotisations de ses membres.
Au fil des mois, deux présidents du conseil d’administration ont démissionné. Tous les autres administrateurs ont fini par les imiter. Après s’être longtemps accroché à son poste, le président et directeur général de l’organisme, Scott Smith, s’est aussi retiré.
Ottawa a gelé son financement à Hockey Canada et des commanditaires majeurs ont quitté le navire – la plupart sont depuis rentrés au bercail.
En décembre 2022, l’organisme a annoncé que l’enquête qu’elle avait commandée à une firme externe était terminée. Ses conclusions ont été confiées à un comité d’examen indépendant qui devait formuler des recommandations au conseil d’administration quant aux suites à donner à l’exercice. Dans une entrevue à La Presse, en janvier 2022, le président du C. A. à l’époque, Hugh Fraser, a affirmé qu’il était prêt à prendre des « décisions difficiles » si les conclusions du comité l’imposaient.
En mars 2023, Hockey Canada a annoncé qu’aucun des joueurs de l’équipe nationale junior de 2018 ne représenterait le pays sur la scène internationale tant et aussi longtemps que toute la lumière ne serait pas faite sur cette affaire.
Le HC Ambri-Piotta de la Ligue nationale suisse a annoncé mercredi sur son site Internet qu'Alex Formenton a obtenu « un congé d'une durée indéterminée pour raisons personnelles ».
Le club du Tessin a également précisé que l'attaquant originaire de Barrie, en Ontario, a ainsi obtenu la permission de rentrer au Canada.
Ancien choix de 2e ronde des Sénateurs d'Ottawa, Formenton évolue en Suisse depuis la saison 2022-2023. À l'époque, les Sénateurs n'avaient pas daigné lui offrir une prolongation de contrat alors qu'il était joueur autonome avec compensation.
McLeod et Foote quittent les Devils
Les Devils du New Jersey ont de leur côté annoncé que l'attaquant Michael McLeod et le défenseur Cal Foote ont quitté l'équipe pour une durée indéterminée. Les deux joueurs en avaient fait la demande à l'équipe.
McLeod, choix de premier tour des Devils en 2016, dispute sa 6e saison au New Jersey. Il compte 19 points en 45 matchs cette saison.
De son côté, Foote a signé un contrat avec l'équipe cet été. Il évoluait auparavant avec les Predators de Nashville. Le choix de premier tour du Lightning de Tampa Bay en 2017 avait été acquis par les Preds dans l'échange de Tanner Jeannot la saison dernière. L'arrière a disputé seulement quatre match dans la LNH cette saison et 24 avec les Comets d'Utica dans la Ligue américaine.
Formenton, McLeod et Foote sont parmi un groupe de joueurs de hockey professionnel à avoir obtenu un congé pour raisons personnelles au cours des derniers jours après Dillon Dube, des Flames de Calgary, et Carter Hart, des Flyers de Philadelphie.
Après avoir été éliminé avant la super finale samedi, le Canadien Mikaël Kingsbury s’est repris de la meilleure des manières samedi en mettant la main sur la médaille d’or lors de l’épreuve en parallèle qui était présentée dimanche à Val Saint-Côme.
Le Québécois a été couronné champion de l’épreuve grâce à sa technique parfaite ainsi que la faveur des juges, et ce, en dépit du fait que le Suédois Filip Gravenfors a été plus rapide que lui.
Cette victoire a permis à Kingsbury de signer sa 85e victoire en Coupe du monde et de monter sur le podium pour la 123e fois de sa carrière.
Les Canadiens Elliot Vaillancourt (9e), Julien Viel (10e), Samuel Goodison (12e) et
Louis David Chalifoux (15e) ont été éliminés en huitièmes de finale.
Pour sa part, le favori local, Gabriel Dufresne, a vu son parcours se terminer en 16e de finale après que Vaillancourt soit tombé, ce qui a aveuglé et forcé le Joliettain a franchir la ligne médiane.
Toutefois, cette action a été fatale, car la course de Dufresne a été considérée comme étant non terminée.
Sam Cordell a aussi vu son travail prendre fin au même stade que son compatriote Dufresne, tandis que Ryan Portello, Joey Dubuc et Charles Beaulieu n’ont pas été en mesure de passer le premier tour.
Les Canadiennes Berkley Brown, Maia Schwinghammer et Laurence Desmarais-Gilbert ont terminé respectivement au 6e, 8e et 12e rang.
Jessica Linton, Maya Mikkelsen et Ahsley Koehler ont été déroutées au premier tour.
La journée de samedi a vu Vaillancourt sauver l’honneur de la brigade canadienne alors que l’originaire de Drummondville a mis la main sur la médaille d’argent.
Louis-David Chalifoux et Gabriel Dufresne ont atteint la finale, mais ils ont terminé en 7e et 12e position.
Kingsbury a également participé à la dernière phase de la compétition de vendredi, mais une chute a fait en sorte qu’il a terminé au 13e rang.
Julien Viel (23e), Samuel Goodison (26e), Ryan Portello (29e), Sam Cordell (35e) n’ont pas pu obtenir un billet pour la finale.
Pour terminer, aucune des Canadiennes ne participait à la super finale de vendredi.
La prochaine étape de la Coupe du monde aura lieu la fin de semaine prochaine avec un arrêt à Waterville (Utah).
Le réveil a sonné à 3 h 24 ce mardi matin là pour Max Lalonde, parce qu’il « n’aime pas les chiffres ronds ». À 4 h 30 – ou disons plutôt 4 h 29 –, une bonne heure et demie avant son entrée en ondes, ce morningman de carrière est déjà arrivé à la station, s’affairant à lire tout ce qu’il peut sur l’actualité des dernières heures dans le monde du sport.
« J’aime plus l’heure avant d’ouvrir les micros que d’ouvrir les micros eux-mêmes », expliquera-t-il à La Presse, quelques minutes après la fin de son émission Le Club du matin, en ondes pendant pas moins de quatre heures, de 6 h à 10 h.
Cette heure-là, il la passe avec ses collaborateurs Gilbert Delorme, Anthony Desaulniers et le metteur en ondes, Alexandre Lanctôt.
Lorsque La Presse arrive à la station, il est passé 8 h 30. Trois des quatre collaborateurs sont assis autour de la table, micro au visage, surplombés par la grande fenêtre donnant sur une avenue Laurier Ouest enneigée. Delorme, de son VR en Floride, commente l’actualité sportive avec la couleur qu’on lui connaît. La distance géographique entre l’analyste et les autres membres de l’équipe ne paraît pas en ondes, signe d’une chimie qui semble déjà opérer au sein du Club du matin.
On dit déjà, parce que cette émission, dans son format actuel, n’existe que depuis une semaine et demie au passage de La Presse.
« C’est un show qui a été chambardé pas mal dans la dernière année », explique Lalonde.
Il y a eu la fin de l’association de BPM Sports avec Jean-Charles Lajoie en août dernier. Puis l’arrivée de Paul Houde à l’automne, ainsi que son départ subit en octobre.
C’est un show qui mérite de la stabilité. Et si les patrons le veulent, moi, j’aimerais beaucoup que ce soit mon mode de vie pour les prochaines années.
Maxime Lalonde, animateur à BPM Sports
Alexandre Panneton, directeur général de la station, parle d’une « balle courbe » reçue à l’automne avec le départ de Paul Houde. « On a pris notre temps avant de prendre une décision, soulignera le DG plus tard en matinée, dans son bureau. On voulait prendre une décision qui, on l’espère, sera pérenne. »
Le mode de vie d’animateur du matin, de toute façon, n’est pas inconnu à Max Lalonde. Il en est à sa 14e année d’animation à la radio du matin, lui qui a commencé sa carrière chez Énergie, à Val-d’Or, à 22 ans. « Le morning, c’est au sommet de la pyramide pour moi », lance-t-il après avoir englouti son déjeuner à sa sortie des ondes.
« Souvent, je regarde dans la vitre du studio, les chars commencent à rentrer, tu es là avant tout le monde, tu sais que tu vas être le premier point de contact avec bien des gens. Ils vont se lever, ouvrir la radio dans la cuisine, sauter dans leur auto. Ils vont écouter la radio tout de suite. Tu as [quelque chose] à leur apprendre. Il faut que tu les divertisses, que tu les accompagnes. »
Le temps semble avancer différemment à la radio, un média où chaque seconde compte pour interpeller le public. La dernière heure du Club du matin est consacrée à la tribune téléphonique, un outil utilisé couramment chez BPM Sports, et qui contribue à son unicité. Les auditeurs au bout du fil sont souvent des habitués, bien connus des animateurs.
L’émission est en voie de se terminer. Maxime Van Houtte, qui assurera la relève de 10 h à midi avec Van Houtte en direct, vient s’installer devant Lalonde quelques minutes, l’idée étant de faire le « pont » entre les deux émissions.
Transparence, ici : l’auteur de ces lignes et Van Houtte se connaissent depuis leur parcours à l’UQAM, et ont déjà collaboré sur différents projets. Nous ne sommes donc pas surpris de le voir arriver avec son t-shirt des Vulgaires Machins, entamer son émission avec du Sum 41, brandir ses nombreuses références à la culture populaire avec la même aisance qu’il met à jongler avec son ballon de football usé pendant son animation.
En début d’émission, le directeur de la programmation Yves Bombardier entre en studio en douce pour aviser Van Houtte d’une nouvelle de dernière heure, note qu’il lui transmet sur papier. Yvon Michel et Alexandra Croft, de GYM, sont suspendus par la Régie des alcools, des courses et des jeux du Québec. Quelques instants plus tard, son collaborateur Hugo Raîche lit la nouvelle en ondes. Anthony Marcotte viendra l’analyser ensuite.
« Nous, on est là pour la première réaction, le premier débat, les premières impressions, rappellera Alexandre Panneton lorsqu’on lui parlera de ce moment. On veut être cette destination-là. »
BROSSARD, Qc – L'attaquant Sean Monahan n'a pas participé à l'entraînement des Canadiens de Montréal lundi, profitant plutôt d'une journée de traitements.
L'Ontarien âgé de 29 ans avait aussi sauté son tour mardi dernier, lors du dernier entraînement complet du club.
Entre-temps, Monahan a disputé les trois parties du Tricolore, accumulant six aides.
Pour sa part, l'attaquant Tanner Pearson (haut du corps) s'est entraîné à nouveau avec ses coéquipiers. Il n'a pas joué depuis le 9 décembre, face aux Sabres de Buffalo.
Au terme de l'entraînement, l'entraîneur-chef Martin St-Louis a mentionné que c'est le vétéran Jake Allen qui défendra la cage de son équipe contre les Sénateurs d'Ottawa, mardi au Centre Bell.
Les Sénateurs ont rossé les Canadiens 6-2 jeudi dernier à Ottawa. La troupe de Martin St-Louis a ensuite perdu 9-4 face aux Bruins, samedi à Boston.
SAINT-CÔME - La mission de Mikaël Kingsbury pour la deuxième moitié de saison en bosses sur le circuit de la Coupe du monde de ski acrobatique? Retrouver la première place du classement en solo.
Car la grande contribution de l'étape québécoise cette saison aura été de relancer la course. En solo du moins.
Avec sa 13e place de vendredi, causée par une rare chute à la sortie du premier saut, Kingsbury a cédé le premier rang dans la course au globe de cristal au Japonais Ikuma Horishima, quatrième de cette épreuve remportée par le Suédois Walter Wallberg.
Kingsbury compte maintenant 340 points, 10 de moins que le Japonais. Cherchera-t-il à récupérer son maillot dès la prochaine étape de Waterville, en Utah, vendredi prochain?
« À 100 %! On se l'échange Ikuma et moi depuis le début de la saison. Je vais aller lui reprendre », a déclaré le Québécois, qui a néanmoins accru son avance en tête des classements général et des duels avec sa victoire de samedi.
Le « King des bosses » a maintenant 700 points au classement général, contre 542 pour Horishima. Le Suédois Filip Gravenfors, deuxième des duels, suit à 462. En duels, c'est un autre Suédois, Rasmus Stegfeldt, 13e samedi, qui suit les 360 points de Kingsbury à 220.
Dans l'Utah, Kingsbury pourra davantage se concentrer sur son ski. S'il apprécie grandement ce week-end de compétitions à la maison, il vient avec une surcharge de distractions pour lui.
« C'est un week-end difficile pour moi, a admis le triple médaillé olympique. Il y a tellement de distractions que c'est difficile de garder ses énergies au bon endroit. Chaque remontée, les gens veulent monter avec moi et ils ont beaucoup de questions. J'adore ça et personne n'est déplacé, mais il y a constamment du bruit autour de moi. »
Aussi déplaisant que ça puisse l'être pour lui, il doit parfois prendre ses distances.
« Je ne suis pas une personne méchante et je déteste dire non aux gens, mais parfois, il faut que je sois égoïste. Il y a quelques fois aujourd'hui où j'ai demandé de monter seul, car je trouvais que j'étais dans une belle zone. Je me sentais mal de leur dire que j'allais monter seul! »
À voir le nombre de partisans, jeunes et moins jeunes, qui l'ont attendu de longues minutes après sa victoire de samedi soir, dans le froid intense qui a frappé le nord de Lanaudière ce week-end, il n'a pas à s'inquiéter pour sa cote de popularité.
« C'est maintenant le moment idéal pour aller leur redonner tout cet amour que je reçois », a-t-il affirmé en quittant les scribes sur place.
Hamelin en veut plus
L'entraîneur-chef de l'équipe nationale, Michel Hamelin, tire un bilan plutôt positif des deux jours de compétitions au Québec.
« Ça a été un week-end super solide. On avait plein de Canadiennes et Canadiens [dans les dernières rondes] samedi. Ils se sont pas mal tous fait éliminer au premier tour, ça j'étais un peu déçu, mais dans des courses serrées, par un ou quelques points seulement.
« Il y a aussi des athlètes comme Berkley Brown (sixième) qui a réussi son meilleur résultat en Coupe du monde. À ses quatre dernières courses, elle a réussi son meilleur résultat. Elle est vraiment en ascension. Maia [Schwinghammer] qui pousse encore au niveau de la vitesse, c'est vraiment bon. Elliot [Vaillancourt] et Louis-David [Chalifoux] ont perdu par un point [en duels]... C'est pour le futur. On bâtit. »
Il est tout de même demeuré un peu sur son appétit. Après tout, il est arrivé à St-Côme avec quatre de ses ouailles dans le top-10 en Kingsbury, Julien Viel, Vaillancourt et Chalifoux.
Tous repartent dans le top-10 (Vaillancourt est septième, Viel, huitième, et Chalifoux, 10e) et Vaillancourt a ajouté une deuxième médaille d'argent à sa fiche vendredi, mais Hamelin aurait aimé en voir un peu plus.
« Ils ne sont plus des athlètes de développement, ce sont des athlètes de catégorie A dans notre système canadien, mais ils n'ont quand même pas beaucoup d'expérience à ce niveau. Ils sont toujours on-off, mais au moins, c'est toujours en finale, dans le top-8, top-10. Je suis satisfait de ça, mais je m'attends dans les prochaines semaines, à en avoir un petit peu plus. »
Le parcours de Félix Auger-Aliassime aux Internationaux d'Australie s'est arrêté net samedi à Melbourne. Le Canadien a mordu la poussière 3-6, 4-6 et 3-6 au troisième tour contre le Russe Daniil Medvedev.
Auger-Aliassime est toujours en quête d'une première victoire contre Medvedev après sept affrontements entre les deux joueurs classés respectivement 30e et 3e de l'ATP.
C'était un début difficile, je n'avais pas les idées claires au début du match, je manquais un peu de clarté dans mes choix. J'étais un peu à plat, pas assez intense. J'ai essayé de rectifier le tir dès 2-1 en première manche. Le seul moment du match où j'ai trouvé une zone où j'étais plus confortable, tranquille, où j'arrivais à faire de bonnes choses, c'était du début au milieu de la deuxième manche. Mais après, c'était tout. C'était vraiment un match compliqué pour moi.
Medvedev s'est hissé pour la cinquième fois de sa carrière en huitièmes de finale de la première levée du grand chelem en livrant une prestation sérieuse et appliquée contre Auger-Aliassime.
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Medvedev a glané la première manche sans problème, puis Auger-Aliassime a montré les crocs en empochant le service de son rival dès l'entame du deuxième engagement, avant de se faire remonter au pointage et lâcher sa mise en jeu.
J'ai eu des problèmes avec Medvedev par le passé. Pour moi, c'est l'un des joueurs les plus compliqués à affronter, a dit Auger-Aliassime, ajoutant que ce dernier match à Melbourne est difficile à accepter, difficile de vivre avec la défaite.
La dernière manche n'a pas été plus compliquée pour Medvedev, qui affrontera le Portugais Nuno Borges, surprenant tombeur du Bulgare Grigor Dimitrov en quatre manches de 6-7 (3/7), 6-4, 6-2 et 7-6 (8/6).
Dimitrov restait pourtant sur une fin de saison 2023 réussie avec une finale de Masters 1000 à Paris, perdue contre le Serbe Novak Djokovic, mais aussi sur une victoire au tournoi de Brisbane au début de janvier.
Si Medvedev s'apprête à disputer son 14e match en huitièmes de finale d'un tournoi majeur, son adversaire Borges découvrira quant à lui cette étape. L'athlète de 26 ans n'avait jamais franchi le deuxième tour dans un événement du grand chelem.
Carlos Alcaraz avance sans forcer
L'Espagnol Carlos Alcaraz n'est resté qu'un peu plus d'une heure sur le court pour rallier les huitièmes de finale des Internationaux d'Australie en raison de l'abandon du Chinois Juncheng Shang, blessé à une cuisse.
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Shang, 140e mondial et invité par l'organisation du tournoi, a renoncé quand Alcaraz menait 6-1, 6-1 et 1-0, après 66 minutes de jeu. Il avait fait une première fois appel au médecin quelques jeux plus tôt.
C'est la première fois qu'Alcaraz, 20 ans, atteint les huitièmes de finale à Melbourne. C'est également la première fois qu'il affrontait un adversaire plus jeune que lui, Shang étant âgé de 18 ans.
Pour une place en quarts de finale, celui qui est surnommé Carlitos affrontera le Serbe Miomir Kecmanovic, bourreau de l'Américain Tommy Paul 6-4, 3-6, 2-6, 7-6 (9/7) et 6-0, après avoir écarté deux balles de match dans le jeu décisif de la quatrième manche.
Je me sens super bien sur le court, c'est la première fois que je suis en deuxième semaine ici, a mentionné Alcaraz. J'espère jouer de mieux en mieux.
Le double lauréat en grand chelem, devenu le plus jeune no 1 mondial de l'histoire en 2022, avait manqué à l'appel aux Internationaux d'Australie l'an dernier en raison d'une blessure musculaire à la jambe droite. Il avait auparavant été stoppé au deuxième tour en 2021 et à la troisième étape en 2022.
L'ancien gardien étoile est de retour derrière un banc de la Ligue nationale de hockey.
Ils qualifient même le chef du Parti conservateur du Canada de « Trump du Nord ».
Le premier ministre est accusé de poursuivre la guerre contre le Hamas pour rester au pouvoir.
Les aînés qui suivent les recommandations du Guide pourraient manquer de folates, de vitamine D et de calcium.
Selon un virologue, des souches virales agressives contribuent à prolonger vos symptômes.
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Le premier ministre est accusé de poursuivre la guerre contre le Hamas pour rester au pouvoir.
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Elliot Vaillancourt attendait Mikaël Kingsbury qui devait lui faire un rapport sur l'état de la piste avant la super finale de la Coupe du monde de bosses de Val-St-Côme. Seul problème: Kingsbury ne s'est pas qualifié. La bonne nouvelle? Vaillancourt a sauvé l'honneur canadien en terminant deuxième pour la deuxième fois de la saison.
« Je devais avoir un compte rendu de l'état de la piste et des bosses de la part de Mik, car je prends toujours pour acquis que Mik se rend en super finale », a indiqué Vaillancourt au pied de la piste Alexandre-Bilodeau.
« Michel [Hamelin, l'entraîneur-chef de l'équipe canadienne], m'a dit: 'On n'a pas de feedback'. Si Michel est à côté de moi et que Mik n'y est pas, c'est qu'il se passe quelque chose. On m'a alors expliqué qu'il y avait eu une chute. »
Kingsbury, qui occupait le premier rang mondial après sept podiums d'affilée, dont quatre victoires depuis le début de la saison, a raté son atterrissage au premier saut de sa descente en finale, le privant d'une place en super finale, où Vaillancourt s'est retrouvé seul représentant de l'unifolié.
« Je suis un peu déçu. J'ai mal jugé mon atterrissage en haut, a expliqué Kingsbury. C'est poche, parce que j'ai de grosses attentes et j'obtiens de bon résultat. Je viens de faire mon pire résultat de la saison à la maison. C'est dommage, mais on a une autre occasion [samedi]. »
« Quand je me suis rendu compte que 'Monsieur' n'était pas là et qu'il n'y avait pas de fille non plus, je me suis senti très seul, c'est devenu très vrai, a raconté Vaillancourt. J'ai senti une certaine pression sur mes épaules. Mais j'ai rapidement réalisé que tout cela, je ne le contrôlais pas et j'ai rapidement réussi à me calmer. J'ai réussi la commande de façon assez pas pire! »
S'élançant avant-dernier, le jeune skieur de 24 ans a offert la meilleure descente de la journée jusque-là, récoltant 82,37 points de la part des juges, lui assurant au pire une médaille d'argent.
Le Suédois Walter Wallberg l'a relégué sur la deuxième marche du podium après une descente de très haut niveau, qui lui a valu 84,92 points.
« Avec Mik absent, j'ai pensé que je pouvais l'emporter. Mais quand j'ai vu la solide descente du Suédois, je me suis dit que ce serait pour une autre fois! »
Ce deuxième podium après celui de l'Alpe d'Huez avait toutefois une autre saveur pour Vaillancourt.
« De réussir ça devant parents et amis. De voir mon père pleurer derrière les médias, c'est capoté, a-t-il dit. Et la foule criait beaucoup plus fort pour moi que la foule française, qui ignorait complètement qui j'étais, avec mon dossard no 56! »
Un autre Suédois, Filip Gravenfors (77,70), a complété le podium.
Kingsbury a finalement conclu en 13e place. Louis-David Chalifoux, septième, et Gabriel Dufresne, 12e, avaient aussi atteint la finale. Julien Viel (23e), Samuel Goodison (26e), Ryan Portello (29e), Sam Cordell (35e) n'ont pas réussi à se qualifier. Joey Dubuc et Charles Beaulieu n'ont pas terminé le parcours en qualifications.
Au classement de la Coupe du monde, Kingsbury glisse au deuxième rang en simple avec 340 points, 10 de moins que le Japonais Ikuma Horishima, quatrième vendredi sur la piste Alexandre-Bilodeau. Au classement général, Kingsbury est toujours premier à 600 points, mais Horishima s'est rapproché à 530, devant Wallberg (408) et Gravenfors (382).
Les Canadiennes exclues
Chez les dames, aucune Canadienne n'a atteint la super finale. Maia Schwinghammer, deuxième après la qualification, a décroché en milieu de parcours et terminé au 15e rang. Berkley Brown (huitième) et Laurianne Desmarais-Gilbert (12e) ont aussi vu leur journée de travail s'arrêter en finale.
L'épreuve a été remportée par l'Australienne et championne olympique en titre Jakara Anthony (82,01), une septième victoire en huit courses.
« On ne s'en lasse jamais. C'est tout un privilège que d'occuper cette première place semaine après semaine, a dit Anthony. Il y a tout de même un paquet de détails dont je ne suis pas satisfaite ce soir. Je suis une perfectionniste. »
Elle a devancé l'Américaine Jaelin Kauf (74,87) et la Japonaise Hinako Tomitaka (74,19).
Jessica Linton (17e) et Ashley Koehler (18e), les deux autres Canadiennes en lice, se sont arrêtées en qualifications.
Jakara conserve évidemment ses maillots jaunes en simple et du classement général, mais devance maintenant Kauf en simple, qui s'est hissée au deuxième rang devant la Japonaise Rino Yaganimoto dans les deux classements. Schwinghammer a conservé sa 10e place au général.
La Coupe du monde de Val-St-Côme se poursuivra samedi avec l'épreuve des bosses en parallèle.
Oui, il a beau faire (très) froid au Québec, mais le camp du CF Montréal est en branle depuis quelques jours en Arizona. Le nouvel entraîneur de l’équipe – en compagnie de son nouvel adjoint David Sauvry – apprend actuellement à faire connaissance avec ses nouveaux joueurs et déjà, j’aime les grandes lignes de son plan. Miser sur trois valeurs pour faire progresser le groupe : la gratitude, la joie et l’effort.
La mentalité de notre coach: La gratitude, le bonheur et le travail 🧠
Il n’y a pas que Hernan Losada qui a quitté durant l’entre-saison : Romell Quioto, Zackary Brault-Guillard, Ahmed Hamdi, Aaron Herrera, Jojea Kwizera, James Pantemis et Sean Rea ont également pris une autre direction que celle de la belle province. Ajoutez à ça les départs de Kamal Miller, Matko Miljevic et Rudy Camacho en 2023 et vous en conviendrez, le CF Montréal a beaucoup changé depuis le départ de Wilfried Nancy (champion de la MLS, rappelons-le).
Mais il n’y a pas eu que des départs depuis quelques semaines : Ruan, Raheem Edwards, Joaquin Sosa et Sebastian Breza se sont tous ajoutés à l’effectif. Rida Zouhir est de retour après un an aux États-Unis (prêt)…
Et deux gars offensifs pourraient très bien se greffer au groupe au cours des prochaines heures.
First, l’attaquant Mattias Coccaro, un gars du Honduras qui jouait en Argentine jusqu’à tout récemment, parle comme un gars qui est à deux doigts de s’entendre avec le CF Montréal. Ses boss actuels aussi.
📰 Extraits d’un article dans le média argentin Clarín
▪️ Les dirigeants de Huracán ont promis de le vendre si une offre acceptable arrivait.
▪️ Matías Cóccaro a quitté la maison qu’il louait et a dit au revoir à tout le monde.
▪️ Il existe deux offres pour Matías Cóccaro, mais s’ils le veulent vraiment, les clubs intéressés devront faire un peu plus d’efforts pour l’obtenir. Sinon, Matías va rester
Coccaro est un avant-centre droitier de 26 ans mesurant environ 5’10 et ayant une valeur d’environ 5 millions d’Euros selon Transfertmarkt. Il sait comment marquer des buts, mais il est davantage reconnu pour sa grinta sur le terrain, plutôt que pour sa colonne de buts en championnat. Le CF Montréal aurait l’occasion d’en faire l’acquisition pour environ 2 à 3 millions $. Si ça fonctionne, il serait le remplaçant de Quioto, parti en Iran.
Mais Coccaro ne serait pas le seul joueur offensif à être sur le point de se greffer au groupe montréalais : selon un journaliste sportif bulgare, le milieu de terrain offensif Dominik Yankov aurait été vendu pour environ 2 millions $ au CF Montréal.
Ludogorets have reportedly agreed a $2m deal to sell their midfielder and Bulgaria international Dominik Yankov to #MLS side Montreal. Yankov was born in Toronto and will now return to Canada where he made his first ⚽️ steps pic.twitter.com/E2YDI9iNXk
Yankov est un #10 né dans la région de Toronto il y a 23 ans. Il est passé par l’Académie du Sunderland AFC et il évoluait en première division bulgare jusqu’à tout récemment.
Si cet autre transfert se concrétise, Yankov pourrait être en mesure de challenger Bryce Duke et Mathieu Choinière au milieu. Si bien sûr, il parvient à avoir plus d’impact qu’Ilyas Iliadis lorsqu’il débarquera à Montréal (ou dans le Sud des États-Unis, pour être plus précis).
Si Courtois décide de conserver un schéma à trois défenseurs centraux – et que les deux rumeurs ci-dessus se confirment -, le CF Montréal pourrait enfin avoir une belle profondeur à chacun des postes.
À noter que Sunusi n’était pas présent lors de l’ouverture du camp de l’équipe en Arizona en début de semaine. Une certaine ombre entoure sa disponibilité actuellement.
Poste de milieu offensif (1) : Duke, Choinière et Yankov.
Poste de milieu central (1) : Saliba et Zouhir.
Poste de milieu défensif (1) : Piette et Wanyama.
Postes de défenseurs latéraux (2) : Edwards, Ruan, Lassiter et Lappalainen.
Je n’ai volontairement pas parlé de Ketterer, Thorkelsson et Iliadis. Je n’ai pas beaucoup d’attentes envers eux pour 2024.
Sincèrement, je suis beaucoup plus optimiste qu’à pareille date l’an dernier. Le coach, l’effectif, le vibe alentour de l’équipe…
L’équipe s’entraînera à Tucson jusqu’à 28 janvier, avant de s’entraîner à Montréal jusqu’au 4 février, puis de prendre la route de la Floride afin d’y terminer son camp et d’y entamer sa saison le 24 février à Orlando.
Rappelons qu’en raison de la fermeture du Stade Olympique (afin d’y évaluer les options de remplacement du toit à près d’un milliard $) et de l’hiver qui bat son plein au Québec en février et en mars, le CF Montréal n’ouvrira sa saison locale que le 13 avril au Stade Saputo, après six parties disputées sur la route.
Allez-vous vibrer au rythme du CF Montréal l’été prochain ? Va-t-on se croiser au Stade?
Prolongation
– Le club a annoncé hier avoir vendu tous ses abonnements de saison disponibles. On parle d’environ 13 000 à 14 000 billets. Bravo… et merci à l’effet Messi.
– Huit Académiciens participent actuellement au camp de l’équipe première en Arizona. Alessandro Biello est peut-être le plus intéressants de tous. J’ai eu la chance de le voir jouer à plusieurs reprises et il a toujours su contrôler le milieu de terrain. Sébastien Joseph (U17) vient de mon coin. Mes chums l’ont coaché et je le regarde évoluer depuis qu’il a 10 ou 11 ans. Il a ce wow factor qui lui permet de faire la différence à tout moment lors d’un match. Quant à Jesse Saputo, il est bien évidemment le fils du propriétaire. Je ne l’ai pratiquement jamais vu jouer, mais je me demande s’il serait du camp s’il s’appelait Jesse Manolo, mettons…
Peut-être…
– L’Inter Miami a annoncé plusieurs parties préparatoire, dont la première ce soir au Salvador.