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La surface de jeu du stade du PEPS de l'Université Laval fait peau neuve au coût de 1,2 million $ Le Journal de QuébecAfficher la couverture complète sur Google Actualités
Dans le cadre de la série 32 en 32, l'équipe des poolers de NHL.com identifie certains joueurs à cibler chez les Maple Leafs de Toronto.
32 EN 32 MAPLE LEAFS : Aperçu de la saison 2023-24 | Trois enjeux à surveiller | Les cinq meilleurs espoirs
NOTE : Les joueurs sont classés en fonction de leur valeur dans un pool cette saison. Les projections de points présentées ici sont approximatives et ne reflètent pas nécessairement le plein potentiel d'un joueur dans un pool de hockey.
Auston Matthews, C - Avec ses 100 buts depuis deux ans, Matthews se classe au deuxième rang dans la LNH durant cette période. Il est aussi deuxième pour les filets à forces égales (71), septième pour les points (191 en 147 matchs) et deuxième pour les tirs (675). Malgré le départ de Michael Bunting (Hurricanes de la Caroline), qui était habituellement sur son trio, Matthews devrait être à nouveau bien entouré à gauche grâce aux acquisitions de Tyler Bertuzzi et Max Domi durant la saison morte, ainsi qu'en raison de l'émergence de Matthew Knies. Matthews a un nouveau contrat de quatre ans en poche, et on peut s'attendre à le voir retrouver son rythme de la saison 2021-22, quand il avait amassé 106 points, dont 60 buts, en 73 matchs.
Projection : 110 points
Mitchell Marner, AD - Marner a connu sa meilleure saison en carrière l'an dernier pour les points (99). Il s'agissait d'une troisième campagne consécutive où il récoltait au moins 94 points. Marner a aussi établi de nouveaux sommets personnels pour les passes (69) et les points en avantage numérique (36) en évoluant majoritairement avec John Tavares. Marner sera maintenant réuni avec Max Domi. Les deux joueurs avaient fait la pluie et le beau temps avec les Knights de London de la Ligue de hockey de l'Ontario dans les rangs juniors.
Projection : 105 points
William Nylander, AD - Nylander a terminé la dernière saison à égalité avec Matthews pour les buts chez les Maple Leafs avec 40, un sommet personnel. Il a aussi battu ses propres marques pour les points (87) et les tirs (293). Nylander vient de connaître ses deux meilleures campagnes en carrière, et il pourrait devenir joueur autonome sans compensation l'été prochain. Attendez-vous à une autre grosse saison de sa part.
Projection : 90
Video: TOR@NYR: Nylander atteint le plateau des 40 buts
John Tavares, C - Tavares vient de connaître une saison d'au moins 80 points pour une cinquième année consécutive, et il a été le meilleur chez les Maple Leafs pour les points en attaque massive (39), lui qui se retrouvait sur la première vague en compagnie de Matthews, Marner, Nylander et le défenseur Morgan Rielly. Ce dernier risque toutefois d'être remplacé par John Klingberg à la ligne bleue cette année, ce qui ne devrait pas pour autant ralentir le puissant jeu de puissance des Torontois.
Projection : 85
Tyler Bertuzzi AG - Bertuzzi a signé un contrat d'un an durant la saison morte afin de se joindre aux Maple Leafs, lui qui avait très bien paru avec les Bruins de Boston durant les séries éliminatoires avec une récolte de 10 points en sept matchs. Bertuzzi devrait se retrouver avec deux excellents compagnons de trio cette année, que ce soit Matthews ou Tavares au centre ainsi que Marner ou Nylander à l'aile droite. Attendez-vous à le voir battre son record personnel de 62 points, qu'il avait réalisé en 68 matchs avec les Red Wings de Detroit en 2021-22, même s'il ne devrait pas se retrouver sur la première vague d'avantage numérique.
Projection : 73
Ilya Samsonov, G - Même s'il n'a disputé que 42 matchs l'an dernier, Samsonov a terminé au 11e rang de la LNH pour les victoires (27), ainsi qu'à égalité au cinquième rang pour les jeux bancs (5) et quatrième pour le taux d'efficacité (,919, minimum de 40 matchs joués). Samsonov devrait être le numéro un de l'équipe cette année, lui qui sera secondé par Joseph Woll ou encore Martin Jones. Avec la qualité de l'équipe devant lui, Samsonov, s'il demeure en santé, sera très payant pour les poolers.
Projection : 34 victoires
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Autres joueurs des Maple Leafs à considérer dans les pools : Morgan Rielly, D; John Klingberg, D; Matthew Knies, LW; Max Domi, C
En plus des attaquants Charles Savoie, Daniel Agostino, Mikaël Huchette et du défenseur Thomas Darcy, qui faisaient partie de la formation qui a remporté la Coupe Memorial, l’arrière Simon Maltais, obtenu de l’Océanic de Rimouski en retour de Charle Truchon fera aussi partie du groupe.
«Darcy est blessé et ne jouera pas avant Noël et Agostino restera dans l’entourage de l’équipe. Ce qui est intéressant avec les joueurs de 20 ans, c’est qu’ils peuvent bouger n’importe quand», a expliqué Gagné au Soleil, laissant entendre que certains d’entre eux pourraient éventuellement être utilisés dans des transactions.
Les onze autres attaquants des Remparts seront les centres Andrew Gweon, Carl Anthony Massé, qui a joué six matchs avec l’équipe l’an dernier, et l’Ontarien Antoine Dorion ainsi que les ailiers Kassim Gaudet, Zachary Marquis-Laflamme, Pier-Étienne Cloutier, qui avait disputé 16 matchs à Québec l’année dernière, l’ancien des Cataractes de Shawinigan Charles-Olivier Villeneuve, Justin Duval, Dalan Grubissa, Xavier Lebel, Nathan Plamondon-Michaud et Nathan Plouffe.
En défensive, l’entraîneur Éric Veilleux pourra aussi compter sur les vétérans Vsevolod Komarov, Mathieu Wener, Vincent Murray et l’ancien des Olympiques de Gatineau Antoine Michaud ainsi que sur Leyton Stewart, l’Ontarien Jack Moffat et le Finlandais Bruno Jalasti.
Devant les filets, c’est Louis-Antoine Denault, un produit de l’Académie Saint-Louis, qui fera ses débuts dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) comme adjoint au vétéran Quentin Miller.
Gagné a aussi réalisé une transaction mineure dimanche en expédiant l’attaquant Dawson Sharkey au Titan d’Acadie-Bathurst en retour de leur choix de douzième ronde. «Il y avait des joueurs disponibles sur le marché, mais le prix à payer était trop élevé, on aurait trop hypothéqué notre avenir. J’ai donc préféré ne pas faire d’autre transaction pour le moment», a ajouté le DG des Remparts, rappelant que son objectif était toujours de continuer à rebâtir via le repêchage.
«On aime les jeunes qu’on a, ils méritent qu’on leur donne une chance. Aujourd’hui, on a confirmé Plamondon, Massé, Plouffe, Grubissa, Duval, Stewart ainsi que nos deux Ontariens qui étaient des joueurs invités.»
Simon Gagné a aussi avoué avoir été impressionné par Denault devant le filet. «C’est une très belle surprise, un autre bel exemple d’un joueur invité de la région de Québec qui s’est démarqué. Il fait 6 pieds 7 pouces et il veut apprendre. Il gobe tout ce que (l’entraîneur des gardiens) Pascal Lizotte lui dit», poursuit-il.
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Celui qui secondait Patrick Roy derrière le banc l’an dernier aussi aimé ce qu’il a vu de Jérémy Belleau, un attaquant de 17 ans issu du programme de hockey scolaire de L’Ancienne-Lorette. «C’est l’une des belles histoires du camp même s’il a été retranché. On le garde sur notre liste de protection et on va le surveiller de près, c’est sûr.»
Quant au centre Nathan Quinn, premier choix des Remparts au dernier repêchage, Gagné affirme aussi que celui qui fêtera ses 16 ans mardi a eu un bon camp.
On le retourne au M18 AAA, qui est la meilleure ligue de développement, mais c’est certain que ce jeune-là portera un chandail des Remparts un jour. On n’avait pas l’intention de garder un joueur de 16 ans ici pour le faire jouer sur un quatrième trio
— Simon Gagné, directeur général des Remparts, à propos de Nathan Quinn
Le camp d’entraînement se poursuivra avec la présentation des trois derniers matchs préparatoires le vendredi 8 septembre contre les Cataractes de Shawinigan à l’aréna de Montmagny, le 9 septembre contre le Phoenix de Sherbrooke au Complexe multidisciplinaire de L’Ancienne-Lorette et le vendredi 15 décembre contre les Saguenéens de Chicoutimi au Centre Georges-Vézina. Le calendrier régulier débutera le samedi 23 septembre alors que les Diables rouges recevront le Drakkar de Baie-Comeau au Centre Vidéotron.
Impérial, impeccable, irréprochable ; utilisez le synonyme de votre choix. Max Verstappen l’a fait. À la maison, dans des conditions instables, il a égalé le record de neuf victoires consécutives appartenant à Sebastian Vettel, dimanche, lors du Grand Prix des Pays-Bas.
Il y a eu de la pluie dans les premiers tours, puis dans les derniers tours. Malgré une météo changeante, une voiture de sécurité et un drapeau rouge, le prodige néerlandais a piloté comme lui seul sait le faire pour triompher. Encore.
Dans les gradins, la foule a offert une ovation à son héros, à qui on a remis un trophée aux dimensions démesurées. Aussi démesurées que le talent du pilote, en fait. Verstappen aura l’occasion d’écrire l’histoire en établissant une nouvelle marque dès dimanche prochain, en Italie.
« Ça n’a pas été facile de prendre toutes les bonnes décisions aujourd’hui avec la météo. Je suis incroyablement fier », a lâché le double champion du monde au micro de la F1.
PHOTO JOHN THYS, AGENCE FRANCE-PRESSE
Max Verstappen
« J’avais déjà des papillons quand ils jouaient l’hymne national au début. Je penserai [à la 10e victoire] la semaine prochaine, je vais d’abord profiter de ce week-end. La pression est là pour performer, et je suis très heureux de gagner ici. »
Le pilote du jour, Fernando Alonso, a pris le deuxième rang à bord de son Aston Martin. L’Espagnol chevronné n’a jamais semblé importuné par les conditions. Il a tenté de profiter de la relance pour rattraper Verstappen dans les derniers tours, sans succès. Toujours est-il qu’il se retrouve sur le podium pour la première fois depuis le Grand Prix du Canada, à la mi-juin.
« C’était une course très intense, a-t-il laissé tomber. Avec la pluie, nous étions vraiment, vraiment rapides. La voiture volait aujourd’hui, elle était très compétitive, facile à conduire. Dans ces conditions, tu as besoin d’une voiture en laquelle tu peux avoir confiance, et c’était le cas aujourd’hui. »
Avant ce derby, Alonso n’avait qu’un point d’avance sur Lewis Hamilton au 3e rang du classement des pilotes. En vertu de ce résultat et de la 6e place d’Hamilton, l’écart se creuse à 12 points.
La belle surprise du jour est la présence de Pierre Gasly sur la troisième marche. Le pilote Alpine a livré une performance sans bavure. Il a terminé la course derrière Sergio Pérez, mais ce dernier avait écopé d’une pénalité de cinq secondes pour avoir roulé trop vite dans les puits plus tôt dans la course.
PHOTO PETER DEJONG, ASSOCIATED PRESS
Pierre Gasly
« Tout ce que j’ai envie de dire, c’est : let’s gooo ! a lancé le Français. Quelle course ! Ça n’a pas été l’année la plus facile, alors de revenir après la pause estivale… Je suis super excité pour tous les gars d’obtenir cette troisième place. »
Évidemment, j’ai essayé de pousser le plus possible pour rester dans les cinq secondes et j’y suis arrivé.
Pierre Gasly
Le dernier podium de Gasly remontait à 2021, à Bakou, alors qu’il portait les couleurs d’AlphaTauri. En entrevue d’après-course, il affichait un large sourire. Ce résultat sera salvateur pour le pilote de 27 ans, qui n’avait encore pu faire mieux qu’une 7e place cette saison.
C’était, en effet, une course compliquée. Si le départ a été donné sur une piste sèche, une fine pluie a commencé à tomber dès les premières secondes sur le circuit de Zandvoort. Fine pluie qui s’est rapidement transformée en douche. Les stratégies de pneus ont varié, si bien que, rapidement, le classement a changé du tout au tout. Ceux qui avaient opté pour les pneus intermédiaires ont été avantagés.
Pérez est un de ceux-là. Il s’est retrouvé en première place avec neuf secondes d’avance sur Verstappen. Quand la piste est redevenue sèche, le Mexicain a dû s’arrêter de nouveau, ce qui a permis à Verstappen de le devancer au 13e tour.
Logan Sargeant, recrue de Williams, a percuté le muret au 16e tour, forçant la sortie de la voiture de sécurité. La lutte a repris au 21e tour ; Verstappen était devant, suivi de Pérez, d’Alonso et de Gasly.
La course s’est ensuite déroulée rondement, jusqu’à ce que la pluie reprenne de plus belle au 61e tour. Sous l’averse, Pérez a passé tout droit dans un virage ; il est revenu en piste, mais Alonso lui avait déjà ravi la deuxième place. Au même moment, loin derrière, l’Alfa Romeo de Zhou Guanyu est entrée en collision avec les barrières de sécurité. Drapeau rouge.
Après 45 minutes d’arrêt, la course a repris sur une piste mouillée au 67e tour. À la relance, Verstappen a été irréprochable.
Lance Stroll a terminé là où il a commencé, soit au 11e rang. Le Québécois a passé une bonne partie de la course au 19e rang, mais a su remonter la pente. Encore une fois, toutefois, l’écart entre lui et son coéquipier Alonso est considérable…
PHOTO YVES HERMAN, REUTERS
Lance Stroll
Chez Ferrari, Charles Leclerc a dû se retirer en raison de dommages à son véhicule, mais Carlos Sainz fils traversé la ligne d’arrivée au 5e rang, devant un Lewis Hamilton insistant.
Les grands perdants de la journée sont sans doute Lando Norris (McLaren) et George Russell (Mercedes), qui partaient 2e et 3e sur la grille. Ils ont respectivement glissé au 7e et au 17e rang.
« C’est malheureux parce que nous avions une voiture tellement rapide aujourd’hui, nos décisions relatives aux conditions ont joué contre nous », de dire Russell.
Liam Lawson, qui remplaçait Daniel Ricciardo chez AlphaTauri, a connu un baptême mouvementé en Formule 1. Le jeune pilote de 21 ans a bien fait dans les circonstances, obtenant la 13e place.
« Il y a du travail à faire, mais je suis heureux d’avoir traversé la course, d’avoir expérimenté différents conditions et scénarios et d’avoir été en mesure de les surmonter », a mentionné le Néo-Zélandais.
ZANDVOORT, Pays-Bas – Max Verstappen a remporté un Grand Prix des Pays-Bas marqué par la pluie, dimanche, égalant une marque de Sebastian Vettel en récoltant une neuvième victoire de suite en Formule 1.
Le pilote Red Bull a triomphé à partir de la position de tête pour la troisième fois d'affilée.
« J'avais déjà des frissons durant l'hymne national avant le départ, a dit Verstappen. Même avec le mauvais temps et la pluie, les supporters ont créé une ambiance formidable. Je vais le savourer, parce que ce n'est jamais facile. Il y a toujours de la pression. »
Le vétéran d'Aston Martin Fernando Alonso a fini deuxième, en plus de mériter un point de plus pour le tour le plus rapide.
« Nous allons gagner une bonne fois, a dit le pilote de 42 ans. Nous nous approchons. La voiture était très rapide et très facile à conduire. »
Le podium a été complété par Pierre Gasly d'Alpine – il a terminé quatrième mais a délogé Sergio Perez de Red Bull, sanctionné de cinq secondes pour de la vitesse excessive aux puits.
Gasly a atteint le podium pour la quatrième fois de sa carrière.
« Je suis tellement heureux, a dit Gasly. Quelle course. »
Carlos Sainz de Ferrari a terminé cinquième, un rang devant la Mercedes de Lewis Hamilton.
Un drapeau rouge tardif a interrompu la course pendant 40 minutes, résultat d'une collision subie par Zhou Guanyu, d'Alfa Romeo.
La course a été relancée au 65e tour (sur 72) lors d'une journée avec plusieurs changements de pneus, vu la météo instable.
La course a repris avec Verstappen devançant Alonso, Perez et Gasly.
Après deux tours derrière la voiture de sûreté, Verstappen a pris ses distances avant de confirmer son 11e gain de la saison.
Au classement des pilotes, il se trouve 138 points devant Perez.
Vettel a établi le record avec Red Bull en 2013.
Verstappen est invaincu depuis le GP de Miami au début de mai.
« C'est vraiment incroyable », a dit le chef d'équipe de Red Bull Christian Horner, qui était aussi en charge durant la belle époque de Vettel.
Les 14 dernières courses ont été remportées par cette écurie, en incluant la dernière de 2022.
À 26 ans, Verstappen est déjà au cinquième rang de l'histoire de la F1 avec 46 victoires. Le prochain dans sa mire est Alain Prost, gagnant 51 fois.
Charles Leclerc s'est retiré au 44e tour, à cause d'un bris au plancher de sa Ferrari. Il en est déjà à trois courses non conclues cette saison, le même total que l'an dernier.
De plus, l'équipe ne semblait pas avoir remarqué que son aile avant était endommagée.
Le Canadien Lance Stroll a terminé 11e avec Aston Martin.
Logan Sargeant de Williams a été victime d'une deuxième collision en deux jours, cette fois dès le 17e tour.
Il reste neuf courses au calendrier à compter du Grand Prix d'Italie, la fin de semaine prochaine.
Classement du Grand Prix des Pays-Bas :
1. Max Verstappen (NED/Red Bull) les 306,587 km en 2 h 24:04.411
2. Fernando Alonso (ESP/Aston Martin-Mercedes) à 3.744
3. Pierre Gasly (FRA/Alpine-Renault) à 7.058
4. Sergio Pérez (MEX/Red Bull) à 10.068
5. Carlos Sainz fils (ESP/Ferrari) à 12.541
6. Lewis Hamilton (GBR/Mercedes) à 13.209
7. Lando Norris (GBR/McLaren-Mercedes) à 13.232
8. Alexander Albon (THA/Williams-Mercedes) à 15.155
9. Oscar Piastri (AUS/McLaren-Mercedes) à 16.580
10. Esteban Ocon (FRA/Alpine-Renault) à 18.346
11. Lance Stroll (CAN/Aston Martin-Mercedes) à 20.087
12. Nico Hülkenberg (GER/Haas-Ferrari) à 20.840
13. Liam Lawson (NZL/AlphaTauri-Red Bull) à 26.147
14. Kevin Magnussen (DEN/Haas-Ferrari) à 26.410
15. Valtteri Bottas (FIN/Alfa Romeo-Ferrari ) à 27.388
16. Yuki Tsunoda (JPN/AlphaTauri-Red Bull) à 29.893
17. George Russell (GBR/Mercedes) à 55.754
18. Zhou Guanyu (CHN/Alfa Romeo-Ferrari ) à 10 tours
Meilleur tour en course : Fernando Alonso (ESP/Aston Martin-Mercedes) 1:13.837 au 57e tour (moyenne : 341,487 km/h)
Abandons :
Logan Sargeant (USA/Williams-Mercedes): tête-à-queue 15e tour
Charles Leclerc (MON/Ferrari): problème mécanique 42e tour
Zhou Guanyu (CHN/Alfa Romeo-Ferrari): accident 63e tour (classé)
ATLANTA - Viktor Hovland a remis une autre excellente carte de 66 (-4), cette fois depuis le groupe de tête, pour se forger une avance de six coups au classement du Championnat du circuit de la PGA, samedi.
Seuls 18 trous séparent le Norvégien d'un chèque de 18 millions $.
Hovland est arrivé à East Lake, au New Jersey, après avoir signé un 61 aux Olympia Fields - 28 sur le neuf de retour - pour remporter le Championnat BMW.
Il était à égalité avec Collin Morikawa au moment d'amorcer la troisième ronde, avec Scottie Scheffler, Jon Rahm et Xander Schauffele en embuscade. Personne n'a pu maintenir son rythme, particulièrement après une pause de 90 minutes en raison du mauvais temps.
Hovland, qui a amorcé le tournoi à -8 comme deuxième favori, est maintenant à moins-20. Après sa ronde, il a indiqué qu'il ne se rappelait pas avoir déjà si bien joué dans toutes les facettes de son jeu.
« La liste des noms sur ce trophée est assez spéciale, a lancé Hovland. J'ai l'impression d'être dans un sprint. Évidemment, c'était un marathon de se rendre jusqu'à ce tournoi. C'est toutefois dur de gagner la Coupe FedEx si vous n'avez pas bien joué au cours des semaines précédentes. »
Schauffele n'a jamais terminé plus bas que septième ou fait pire que la normale en sept participations à ce Championnat. Il a joué 68 et est à moins-14 en trois rondes.
Il était incapable de penser à autre chose que deux coups roulés d'environ 1,2 m sur le neuf de retour - pour la normale au 15e et un oiselet au 18e -, particulièrement avec l'écart grandissant avec Hovland.
« Ce n'est pas assez bon », a-t-il statué, non sans louanger son rival, qui a porté son avance à sept coups à un certain moment.
« Il joue du golf incroyable. Il travaille très fort. Je l'ai vu travailler très fort pendant ces tournois éliminatoires. Je m'entraînais tard et il était toujours qui était là jusqu'à la noirceur. Alors il n'y a pas de surprise. »
Malgré l'avance, Hovland doit se méfier de ses adversaires. L'exemple de Scheffler l'année dernière devrait le garder en alerte. Malgré une avance de six coups au début de la dernière manche, il avait été battu par Rory McIlroy.
« Je sais ce que j'ai à faire, a d'ailleurs noté Schauffele. Je dois aller sur le terrain, lui mettre le plus de pression possible sur le neuf d'aller demain, et espérer que ça tourne à mon avantage. »
Corey Conners est le Canadien le mieux classé. Il est à moins-5, un coup devant son compatriote Nick Taylor.
Vous pourrez suivre la ronde finale dimanche dès 13 h 30 avec RDS et le RDS.ca.
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LNH.com propose une analyse en profondeur de chacune des 32 équipes entre le 1er août et le 1er septembre. Aujourd'hui, les Blues de St. Louis.
Les Blues de St. Louis croient avoir tous les éléments en place pour retourner en séries éliminatoires de la Coupe Stanley après avoir raté le tournoi printanier pour la première fois depuis 2017-18, la saison dernière.
Cependant, après avoir terminé au sixième rang dans la section Centrale avec 81 points (37-38-7), 28 de moins qu'en 2021-22 (49-22-11), ils devront se demander plus tôt que tard si une reconstruction est nécessaire.
« Je dirais que nous sommes à la ligne de 50 verges, et j'espère me rendre en zone offensive plutôt que de reculer en zone défensive », a imagé le directeur général des Blues, Doug Armstrong. « J'ai dit à quelques joueurs qu'avec [Brayden] Schenn, [Pavel] Buchnevich, [Brandon] Saad, [Jordan] Kyrou, [Robert] Thomas, [Colton] Parayko, [Justin] Faulk, [Nick] Leddy, [Torey] Krug et [Jordan] Binnington, je ne pense pas qu'une reconstruction complète allait être nécessaire. Je ne crois pas que ces gars l'accepteraient. L'an dernier, ils ont été coincés dans une spirale qui est partie vers le bas que nous pas pu arrêter. »
32 EN 32 BLUES : Trois enjeux à surveiller | Les cinq meilleurs espoirs | Analyse pour les poolers
C'est ce qui a mené à quelques changements au cours de la saison morte, mais pas à un remaniement majeur.
Les Blues, qui ont alloué 298 buts la saison dernière, leur pire total en une saison depuis 1983-84 (316), ont décidé de se séparer des entraîneurs adjoints Mike Van Ryn et Craig MacTavish. Ils ont été remplacés par Mike Weber, qui travaillera avec les défenseurs après avoir passé les trois dernières saisons à titre d'adjoint avec les Americans de Rochester, le club-école des Sabres de Buffalo dans la Ligue américaine de hockey, et Michael Babcock, qui se concentrera sur les habiletés.
Alexander Steen, qui a aidé les Blues à remporter la Coupe Stanley pour la première fois de leur histoire en 2019, a également été embauché à titre de conseiller au développement des joueurs européens.
« Nous tentons d'apporter de nouvelles idées en ce qui concerne la structure que nous avons mise en place au cours des dernières années, et s'il se peut que nous revenions avec la même structure, nous pourrions également aller dans une direction un peu différente », a expliqué Armstrong.
L'ajout le plus notable à la formation est Kevin Hayes, acquis dans une transaction avec les Flyers de Philadelphie le 27 juin en retour d'un choix de sixième ronde au repêchage 2024.
La saison dernière, le joueur de centre de 31 ans a récolté 54 points (18 buts, 36 passes) en 81 parties et a participé au Match des étoiles de la LNH pour la première fois.
« Ils ont gagné un championnat très récemment », a dit Hayes le 28 juin. « Ils ont un excellent gardien (Binnington), une brigade défensive formidable et leur top-9 offensif figure parmi les meilleurs dans la Ligue. C'est intrigant et je suis fébrile à l'idée de faire partie de ce groupe. »
Même avec l'ajout de Hayes, si les Blues veulent retourner en séries, ils devront obtenir un meilleur rendement de Kyrou et de Thomas, qui vont tous deux écouler la première saison d'un contrat de huit ans d'une valeur de 65 millions $ (salaire annuel moyen de 8,125 millions $).
Bien que Kyrou ait mené St. Louis au chapitre des buts (37) et des points (73) en 79 matchs la saison dernière, il a également enregistré un différentiel de moins-38, le deuxième pire dans la LNH. Thomas a récolté 65 points (18 buts, 47 passes) en 73 parties.
« Nous voulons assurément nous améliorer dans toutes les facettes du jeu, a admis Kyrou. De mon côté, je veux tenter de devenir plus constant, d'être plus tenace avec la rondelle et de faire beaucoup mieux du côté défensif. »
Binnington devra également retrouver ses repères après avoir affiché la pire moyenne de buts alloués (3,31) et le pire pourcentage d'arrêts (,894) de sa carrière en 61 rencontres (60 départs) la saison dernière.
Ça pourrait toutefois être plus facile à dire qu'à faire. Depuis son arrivée dans la LNH, quand il a aidé les Blues à remporter la Coupe à sa saison recrue en 2019, la moyenne de buts alloués et le pourcentage d'arrêts de Binnington ont empiré à chacune des saisons.
« Je ne suis pas satisfait, a avoué Binnington. Cela dit, je me sens bien… je tente de ne pas regarder trop loin vers l'avenir, de demeurer dans le présent. C'est ce que j'ai fait pendant la (dernière) saison. J'ai assimilé toutes ces expériences, bonnes ou mauvaises, et je vais bâtir là-dessus dans l'avenir et continuer à évoluer. »
Une dernière facette importante pour les Blues sera leurs unités spéciales. Ils ont terminé à égalité au 22e rang dans la LNH en avantage numérique et au 30e rang en infériorité numérique (72,4 pour cent) la saison dernière après avoir occupé respectivement le deuxième et le cinquième rang en 2021-22.
« Nous sommes partis du mauvais pied en infériorité numérique », a résumé l'entraîneur des Blues Craig Berube. « Nous avons beaucoup mieux fait pendant une longue période, mais il est difficile de s'en sortir quand on connaît un si mauvais départ. Nous allions toutefois dans la bonne direction. Je crois que nous réglerons nos problèmes en infériorité numérique. … Encore, comme avec le jeu défensif, c'est une question de mentalité. Il est difficile d'écouler des pénalités. C'est un boulot difficile, tout comme le jeu défensif. Tout le monde veut jouer avec la rondelle, créer des jeux et marquer des buts, mais le jeu défensif est très important, et il est difficile à gagner sans bien jouer défensivement et en infériorité numérique. Ces deux éléments vont de pair. »
La tâche peut sembler imposante, mais Armstrong est persuadé que les Blues pourront atteindre leurs objectifs cette saison.
« Je ne vais pas être surpris si nous sommes des séries la saison prochaine, et je ne serai pas surpris si nous faisons des ravages dans les séries la saison prochaine », a-t-il dit.
NEW YORK | La joueuse qui a éliminé Eugenie Bouchard au deuxième tour des qualifications au US Open, jeudi, semble avoir la mémoire longue.
C’est qu’en avril dernier, Bouchard et l’Ukrainienne Dayana Yastremska avaient croisé le fer au premier tour à Madrid.
Et après sa victoire, la Québécoise avait relevé dans un tweet qu’elle a depuis supprimé que lors de ses deux dernières présences dans la capitale espagnole, elle avait chaque fois affronté une joueuse qui avait déjà été suspendue pour dopage.
«Il y a quelque chose à propos de jouer des dopées à Madrid», avait écrit la joueuse de 29 ans.
La précédente était une certaine Maria Sharapova, contre qui Genie avait gagné en 2017.
La publication d’Eugenie avait été relayée de multiples fois sur le réseau social auparavant appelé Twitter, si bien que la 216e mondiale s'était ensuite excusée pour ses propos.
Mais semble-t-il que Yastremska n’avait toujours pas digéré la publication de son adversaire.
C’est sans doute parce que l’Ukrainienne, actuellement classée 111e , a effectivement été suspendue pendant six mois en 2021 pour avoir ingéré de la mestérolone, un médicament qui est aussi considéré comme un stéroïde anabolisant... avant d’être blanchie par la Fédération internationale de tennis un peu plus tard cette année-là.
Comme l’a relayé le New York Post vendredi, Yastremska n’a pas serré la main de Bouchard à la fin du match, comme le veut la tradition.
Elle est plutôt retournée directement à sa chaise, tout en regardant vers la Québécoise, comme il est possible de voir dans la vidéo ci-dessous.
On dit que la vengeance est un plat qui se mange froid, et Yastremska a attendu quelques mois avant de pouvoir la savourer.
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Jeudi, le Pavillon de la jeunesse portait bien son nom puisque les champions en titre de la Coupe Mémorial ont redirigé plusieurs espoirs qui cherchaient à se faire un nom auprès de la nouvelle direction. Aucune surprise parmi les jeunes ayant appris que leur séjour dans la capitale était terminé.
Les prochains jours seront aussi importants pour quelques autres, puisque les Remparts, comme les autres clubs de la LHJMQ, doivent remettre leur liste dimanche midi. Si certains ont remporté leur pari, d’autres devront encore prouver qu’ils méritent leur place.
C’est le cas du jeune gardien Louis-Antoine Denault, un grand garçon de six pieds et six pouces ayant profité de son invitation pour grimper dans la hiérarchie devant le filet. Outre le numéro 1 Quentin Miller, le produit de l’Académie Saint-Louis, à Québec, est le seul portier toujours présent au camp.
« Il s’agit d’une autre très belle surprise. Il est tellement grand, il ne passe quasiment pas dans la porte. Notre entraîneur des gardiens l’aime beaucoup, il passe déjà beaucoup de temps avec lui sur la glace, comme il le faisait avec Miller et William Rousseau, l’an passé. Jusqu’à présent, il est notre gardien numéro 2 », confirmait le directeur général Simon Gagné.
Plusieurs gardiens sont sur le marché des transactions à travers la Ligue et le nouveau DG regarde à gauche et à droite ce qu’il y a de disponible.
« Présentement, le siège lui appartient, il est assis dedans et c’est à lui de prouver qu’il mérite de l’avoir. Il va garder les buts, vendredi, c’est un gros test pour lui. On veut voir ce qu’il est capable de nous donner. J’ai la possibilité de bouger d’ici dimanche, mais on aime vraiment ce qu’on voit. »
— Le directeur général Simon Gagné à propos du gardien Louis-Antoine Denault qui fêtera son 17e anniversaire de naissance sous peu
Parmi les autres belles surprises du camp, Gagné parlait de l’ailier droit de 16 ans Xavier Lebel, un produit du collège Bishop’s repêché en septième ronde lors de la dernière séance de sélection de la LHJMQ.
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« On l’aime beaucoup. Il démontre de très belles choses. Il est un peu passé sous le radar au repêchage, parce qu’il regardait du côté scolaire. Mais encore hier [mercredi] contre un alignement comptant plusieurs vétérans pour Rimouski, on le voyait sur la glace. Il s’agit d’un joueur que les partisans pourraient apprendre à apprécier s’il joue pour les Remparts », indiquait-il.
« Ce n’est pas une surprise parce que je ne le connaissais pas, mais avec ce que j’ai vu de lui, je dois avouer que oui. Je l’ai bien aimé, il va super bien à date. Jusqu’à présent, il a du gaz. Le gardien aussi, je ne pense pas que personne ne s’attendait à ce qu’il fasse ce qu’il a fait », indiquait l’entraîneur-chef, en sachant bien que les « p’tits gars » doivent être un peu fatigués avec l’horaire chargé des derniers temps.
Cela dit, les Remparts ne pourront pas garder à Québec certains joueurs de 16 ans qui ne seraient pas dans la formation tous les matchs. Pour leur développement, il vaut mieux les retourner dans le midget AAA.
« À la fin, est-ce qu’on garde un extra de 16 ans ? On va rouler avec quatre joueurs pour deux postes, mais est-ce qu’on ne serait pas mieux d’y aller avec des joueurs un peu plus vieux? Il faut savoir aussi qu’à partir du 28 août, il faut garder un joueur d’âge midget AAA jusqu’au 23 décembre. »
Dans la liste des 30 joueurs toujours présents au camp, on retrouve quatre « 20 ans » ainsi que le défenseur Thomas Darcy, qui se remet d’une intervention chirurgicale au genou qui le tiendra à l’écart jusqu’en mars, peut-être même avril. On y compte aussi des joueurs repêchés, mais également invités.
« C’est ce que je dis toujours, ça démontre qu’il y a plusieurs chemins pour atteindre son but. Ce n’est pas parce que tu n’es pas repêché que c’est la fin du monde », ajoutait l’ancien choix de première ronde dans la LHJMQ et dans la LNH.
Il citait en exemple le nom de David Larrivée, un défenseur provenant du midget espoir du SSF et qui n’a jamais été sélectionné. « Il connaît un super bon camp », précisait-il à propos de celui ayant survécu aux redirections de jeudi, mais qui devrait en toute logique évoluer dans le midget AAA, cette saison.
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L’entraîneur-chef Éric Veilleux partait sans idée préconçue pour son premier camp d’entraînement à la barre des Remparts puisqu’il ne connaît à peu près aucun joueur, outre quelques vétérans.
« Je suis content de la façon dont les joueurs ont compétitionné. Contre Rimouski, j’avais les miens à regarder, mais j’ai su qu’ils en avaient plusieurs qui jouaient dans la Ligue, l’an passé, dont l’un qui a remporté la Coupe Mémorial, ce qui n’était pas le cas de notre côté… Dans le camp, tu t’occupes de ton équipe et ce n’est pas de tes affaires si les autres veulent mettre des vétérans. Nous, on ne l’a pas fait et on a vu ce qu’on voulait voir. On a noté une grosse différence entre les deux matchs en deux jours, ce qui est le fun à voir. »
Les Remparts disputent un autre match préparatoire, vendredi à Drummondville, où quelques vétérans feront leur rentrée, comme le gardien Quentin Miller et l’ailier Daniel Agostino. Il est l’un des quatre joueurs de 20 ans au camp, les autres étant Mikaël Huchette, Charles Savoie et Simon Maltais.
L'attaquant des Rangers de New York Alexis Lafrenière n'aura pas à se soucier de son avenir financier à court terme.
Le Québécois âgé de 21 ans aurait signé une nouvelle entente de deux saisons qui lui rapportera un salaire annuel de 2,325 millions $, selon le New York Post.
Le premier choix au total du repêchage de 2020 amorcera en octobre prochaine sa quatrième campagne dans la LNH.
Il a établi un sommet personnel en récoltant 39 points la saison dernière, incluant 23 passes. Son meilleur mois au chapitre des points a été mars, avec quatre filets et autant de mentions d'aide.
« C'est un excellent jeune joueur et nous croyons que ses meilleurs jours sont à venir, avait déclaré le DG des Rangers, Chris Drury, en juillet dernier. Nous sommes heureux qu'il fasse partie de notre équipe et j'espère qu'il sera un Ranger pour très longtemps. »
Avant sa mise sous contrat, les Rangers possédaient approximativement de 2,28 M$ disponibles sous le plafond salarial. Avec huit défenseurs sous contrat, un de ceux-ci devrait être cédé dans la Ligue américaine pour faire de la place pour le contrat de l'attaquant québécois.
Durant l'été, le nom de Lafrenière a été mentionné dans plusieurs rumeurs de transaction, mais il devrait être en mesure d'acquérir un rôle plus important offensivement avec les départs de Vladimir Tarasenko et Patrick Kane au cours de l'entre-saison.
Jusqu'ici, l'ailier gauche natif de Saint-Eustache a amassé 91 points, dont 47 buts, en 216 parties avec les Blueshirts.
Au premier tour des séries, les Rangers ont été vaincus en sept matches par les Devils du New Jersey.
Plus de détails à venir
À certains égards, l’acquisition d’Erik Karlsson par les Penguins de Pittsburgh rappelle son acquisition par les Sharks de San Jose quelques années plus tôt.
San Jose possédait déjà l’un des meilleurs défenseurs droitiers offensifs de la Ligue nationale de hockey, Brent Burns, fort d’une saison de 67 points en 2017-2018, à l’arrivée de Karlsson en Californie. En avaient-ils besoin de deux au profil semblable ?
Les Sharks constituaient encore une puissance lors de la transaction. Ils venaient de connaître une saison de 100 points, avaient atteint le deuxième tour, après avoir participé à la finale de la Coupe Stanley deux ans plus tôt. À part Joe Thornton, l’âge des membres du noyau se situait entre la fin vingtaine et le début de la trentaine.
L’équipe a amassé un point de plus avec Karlsson en 2018-2019 (celui-ci a néanmoins raté 29 matchs) et atteint le carré d’as. La chute fut brutale par la suite : 29e, 26e, 22e et 29e au classement général.
Karlsson vient de connaître une saison extraordinaire à 33 ans. Il est devenu le premier défenseur depuis Brian Leetch en 1992 à franchir la marque des 100 points. Il a remporté son troisième trophée Norris en carrière, malgré les insuccès de son club et une fiche de -26, qu’on peut imputer en partie à la faiblesse des Sharks.
Les Penguins et leur nouveau président et directeur général Kyle Dubas croient avoir trouvé la pièce manquante pour aspirer à nouveau à la Coupe Stanley en 2024.
« Plusieurs sont sceptiques, mais s’ils veulent parier contre l’entraîneur Mike Sullivan, contre Sidney Crosby, Evgeni Malkin et Kris Letang, ils peuvent le faire, mais je vais parier sur eux », confiait Dubas au site NHL. com mercredi.
Comme les Sharks, Pittsburgh possède déjà l’un des meilleurs défenseurs droitiers de la Ligue nationale de hockey, Letang. Mais contrairement à San Jose il y a cinq ans, les Penguins vivent un déclin. Ils ont raté les séries pour la première fois depuis 2006 et n’ont pas franchi le premier tour depuis cinq ans.
Malgré une très bonne saison de sa part, le trio légendaire des Penguins ne rajeunit pas. Crosby et Letang ont désormais 36 ans, Malkin 37. On ne gagne pas de Coupes Stanley avec des leaders de 35 ans et plus.
Si Pittsburgh y parvient en 2024, il serait le premier à le faire dans l’histoire récente et il faudra envoyer le scénario à Hollywood quand la grève des acteurs prendra fin.
Faut-il pour autant décrier cet échange ? Pas nécessairement. Il est légitime de vouloir offrir au plus grand joueur de l’histoire de cette équipe depuis Mario Lemieux une ultime chance de remporter un championnat.
Dubas n’a pas payé un prix exorbitant non plus : des choix de premier tour en 2024 et deuxième tour en 2025. On a réussi à se conformer à la masse salariale malgré l’énorme salaire de Karlsson en larguant Jeff Petry, Mikael Granlund, Jan Rutta et Casey DeSmith dans la foulée de la transaction. Il faut louer la créativité et l’audace de Dubas.
Mais Karlsson répond-il à un besoin criant ? Les Penguins ont terminé au 14e rang en supériorité numérique l’an dernier avec un taux fort respectable de 21,7 %. Les meneurs à ce chapitre, les Oilers d’Edmonton, ont survolé la compétition avec un taux de succès de 32 %, six points de plus que les détenteurs du deuxième rang, les Maple Leafs de Toronto.
Peut-être Karlsson permettra-t-il à Pittsburgh de remporter quelques matchs supplémentaires avec des buts opportuns en supériorité numérique, mais il remplacera sur la première vague Kris Letang, déjà très performant en pareilles circonstances.
Malgré la présence de stars offensives, Pittsburgh peut marquer avantage. L’équipe a terminé au 16e rang à ce chapitre. Mais le club vient au 19e rang pour les buts accordés et au 16e rang en infériorité numérique. Karlsson ne viendra pas régler cet aspect du jeu.
Les Penguins ont perdu Brian Dumoulin au profit du Kraken de Seattle cet été. Dumoulin constituait le fidèle partenaire de Letang depuis huit ans. Même s’il jouait plus de 20 minutes par rencontre, Dumoulin n’était cependant plus que l’ombre de lui-même depuis une sérieuse blessure à la cheville subie il y a quelques saisons.
On le remplace par Ryan Graves, 28 ans, obtenu sur le marché des joueurs autonomes pour six ans, moyennant 27 millions. Graves formait une solide deuxième paire au New Jersey avec John Marino, un ancien des Penguins, et les deux ont contribué à faire des Devils l’une des équipes les plus efficaces en infériorité numérique. Graves, 6 pieds 5 pouces et 220 livres, répond à une lacune chez les Penguins.
Dubas a aussi obtenu un ailier efficace pour l’un de ses trios offensifs, Reilly Smith, fraîchement auréolé de gloire à Vegas. Smith, 32 ans, vient de connaître une saison de 26 buts et 56 points. Il a été acquis pour un choix de troisième tour en 2024. Il remplacera dans la formation Jason Zucker, désormais avec les Coyotes de l’Arizona. Zucker a marqué 27 buts l’an dernier.
Enfin, Lars Eller viendra combler un vide au centre du troisième trio. Eller, 34 ans, a signé un contrat raisonnable de 2,4 millions par saison pour deux ans.
En bref, les acquisitions de Dubas sont intéressantes. Espérons que les Penguins puissent en profiter parce que l’après-Crosby sera brutal.
Avec un club aussi vieux et seulement trois choix de premier tour au cours des neuf dernières cuvées, quatre choix de deuxième tour déjà échangés ou à la retraite prématurément, pas de choix de premier et troisième tours en 2024 et aucun choix de deuxième tour en 2025, les vedettes seront difficiles à remplacer à Pittsburgh…
PHOTO DARRYL DYCK, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE
Elias Pettersson
Les Canucks de Vancouver retiennent leur souffle. Les négociations de contrat avec leur centre numéro un, Elias Pettersson, 24 ans, 102 points l’an dernier, n’avancent pas.
Pettersson en sera à la dernière année de son contrat cet hiver. Il deviendra ensuite joueur autonome avec compensation, avec droit à l’arbitrage, mais il ne sait toujours pas s’il veut s’engager à long terme avec les Canucks.
« J’ai mis une pause sur les négociations, a-t-il confié cette semaine depuis Stockholm à l’occasion de la tournée médiatique européenne de la LNH. Il me reste un an. Je veux me concentrer sur mon entraînement estival et la prochaine saison. Je n’ai pas de réponse moi-même (sur la durée du prochain contrat). »
Vancouver a participé aux séries éliminatoires une seule fois en huit ans et a changé d’entraîneur trois fois depuis 2017. On comprend Pettersson d’hésiter.
BALTIMORE - Brandon Belt a catapulté une balle sur 417 pieds en 10e manche pour conduire les Blue Jays de Toronto vers un gain de 6 à 3 sur les Orioles de Baltimore, mardi soir.
Premier frappeur à se présenter la plaque en 10e, Belt a expédié le premier tir du releveur Mike Baumann derrière la clôture du champ droit.
« Souvent, ça se décide à qui commet le moins d'erreurs, a observé Belt. C'est comme ça que ça s'est déroulé pour nous. Leur gars a commis une erreur au centre et j'en ai profité. »
« Il n'hésite pas vraiment. Quand il obtient un bon lancer à frapper, il ne le rate pas, a souligné le gérant des Blue Jays, John Schneider. Il a encore réussi. »
« Belt a été un très, très bon frappeur pendant longtemps, a insisté le gérant des Orioles, Brandon Hyde. Il attendait une balle rapide au-dessus du marbre et, évidemment, il ne l'a pas manquée du tout. Nous avons eu nos occasions avant cet élan et nous n'avons pas fait le boulot. »
Posté au deuxième coussin pour entamer cette manche supplémentaire, Bo Bichette a précédé Belt au marbre sur la séquence.
Vladimir Guerrero fils, auteur d'un double après la bombe de Belt, a ensuite ajouté un sixième point pour Toronto sur un lancer imprécis de Baumann (9-1) qui a échappé au receveur James McCann.
Les Jays (70-56) ont ainsi entamé leur série contre les meneurs de la division Est de la Ligue américaine du bon pied. Au coeur d'une course serrée pour les séries, les hommes de John Schneider ont remporté leurs trois derniers matchs.
Toronto reste toutefois un match derrière les Mariners de Seattle pour l'obtention de la dernière place donnant accès aux éliminatoires, ces derniers ayant battu les White Sox de Chicago 6 à 3 mardi pour leur huitième gain d'affilée.
Les Astros de Houston (72-55) ont également gagné pour un deuxième soir de suite, 7 à 3 face aux Red Sox de Boston (66-60), restant ainsi un match et demi devant les Jays.
Cette défaite a mis fin à la séquence de trois victoires des Orioles. Leur priorité a été réduite à deux matchs devant les Rays de Tampa Bay (76-51).
Menés 1 à 0 après une manche gracieuseté du 30e double de la saison d'Austin Hays, les Torontois ont ensuite marqué trois points – deux en deuxième, un en quatrième – pour passer aux commandes, 3 à 1.
Daulton Varsho a donné aux visiteurs leur première avance en étirant les bras alors que George Springer était posté au premier but. C'était sa 16e longue balle de la campagne.
Deux manches plus tard, Kevin Kiermaier cognait un puissant double au champ droit, envoyant Matt Chapman au marbre.
Efficace jusque-là, le gaucher Yusei Kikuchi n'a pas été en mesure de compléter la cinquième manche sur la butte, et Baltimore en a profité pour marquer deux points et provoquer l'égalité.
Kikuchi a permis trois points mérités sur sept coups sûrs et un but sur balles, le tout en quatre manches et deux tiers.
Les artilleurs ont fait le boulot lors des quatre manches suivantes. Le gaucher Tim Mayza (3-1) s'est sorti d'une situation délicate pour les Jays en fin de neuvième, alors que le point victorieux se situait au troisième but pour les Orioles (77-48).
Le spécialiste des fins de matchs Jordan Romano s'est amené pour fermer les livres en fin de 10e, et il s'est bien acquitté de sa tâche, grâce à trois retraits consécutifs dont deux sur des prises.
C'était le 31e sauvetage de la campagne de Romano, qui affiche une moyenne de points mérités de 2,60.
Le lanceur recrue Grayson Rodriguez était d'office pour l'équipe locale. Il a limité les dégâts à trois points mérités en six manches complètes, malgré huit coups sûrs et deux buts sur balle alloués.
Les droitiers Kevin Gausman et Jack Flaherty seront les lanceurs partants mercredi, lors du troisième des quatre affrontements entre les rivaux de division à Camden Yards.
Couturier (dos) et Atkinson (cou) ont chacun raté l'entièreté de la dernière saison. Couturier a subi deux opérations au dos depuis son dernier match dans la LNH, le 18 décembre 2021.
S'ils sont en santé, les deux occuperont un rôle de premier plan dans toutes les situations de jeu sur la glace, ainsi qu'au sein du groupe de leaders à l'extérieur de la patinoire.
Le directeur général Daniel Brière a indiqué que les rapports médicaux sur les deux joueurs sont positifs, mais il a admis qu'il n'y aurait pas de certitude avant le début du camp d'entraînement.
« Nous pouvons seulement nous fier à nos thérapeutes en ce qui concerne ce que (Couturier et Atkinson) sont en mesure de faire au gym et sur la glace dans des situations moins intenses, a noté Brière. Et jusqu'ici, tout va très bien. Tout est positif présentement. Mais nous ne pourrons pas tirer de conclusions avant qu'ils ne soient impliqués dans des situations de haute intensité. »
Ivan Provorov a mené les Flyers au chapitre du temps de glace par match pour une septième saison consécutive en 2022-23 (23:01) et a joué 532 des 535 matchs de l'équipe au cours de cette période. Mais son échange aux Blue Jackets de Columbus et le rachat du contrat de Tony DeAngelo ont créé des trous à la ligne bleue.
Cam York, qui a gagné la confiance du personnel d'entraîneurs après avoir entamé la dernière saison avec Lehigh Valley dans la Ligue américaine de hockey, devrait faire partie d'un top-4 défensif qui inclura Travis Sanheim, Rasmus Ristolainen et Marc Staal. Les Flyers s'attendent toutefois à ce que certains espoirs défensifs obtiennent du temps de glace dans la LNH.
« "Torts" (l'entraîneur John Tortorella) a fait un bon travail la saison dernière avec nos jeunes attaquants, et maintenant nous voulons également évaluer la situation en défensive, évaluer certains de nos jeunes joueurs comme York, (Egor) Zamula, (Ronnie) Attard, (Emil) Andrae, (Adam) Ginning, (Helge) Grans, a dit Brière. Il y a beaucoup de jeunes défenseurs et nous voulons voir où ils vont s'intégrer au cours des prochaines années. »
Tyson Foerster, sélectionné en première ronde (23e au total) au repêchage de 2020, a effectué ses débuts dans la LNH la saison dernière en amassant sept points (trois buts, quatre passes) en huit parties avant d'être renvoyé dans la LAH. L'équipe espère que l'attaquant de 21 ans pourra bâtir sur cette performance et s'établir parmi le top-9 à l'attaque à Philadelphie.
« Le camp d'entraînement sera une belle occasion pour lui de déterminer s'il est au même niveau qu'il en était la saison dernière, a lancé Brière. Mais il n'y a aucun doute qu'il nous a vraiment montré quelque chose de spécial. Je ne veux pas lui garantir un poste immédiatement. Je veux qu'il soit affamé, et je veux qu'il arrive au camp avec l'intention de percer la formation et non pas avec l'idée qu'il a déjà un poste assuré. Avec Torts, rien n'est garanti, il devra mériter sa place. Alors il devra arriver au camp avec cette mentalité. »
MONTRÉAL – Si le calendrier ne donne pas de répit aux Alouettes de Montréal cette semaine, ils pourront, à tout le moins, miser sur leur quart-arrière numéro un, Cody Fajardo, qui reprendra son poste, jeudi soir, à Winnipeg (dès 20h à RDS et sur le RDS.ca).
Blessé à l'épaule gauche, le vétéran de 31 ans a cédé sa place à Caleb Evans pour les deux dernières parties de sa troupe. Il n'est pas impossible non plus que les Alouettes insèrent Walter Fletcher dans la formation, on y reviendra plus tard.
Alors si Evans est parvenu à mener les Oiseaux (6-3) à prolonger à quatre leur séquence victorieuse, le retour de Fajardo arrive à point pour tenter de vaincre les puissants Blue Bombers (8-2). D'ailleurs, ceux-ci devraient aussi pouvoir compter sur leur quart partant, Zach Collaros, qui était blessé au cou.
« Cody se repose depuis deux semaines et on pensait peut-être le faire jouer jusqu'à la dernière minute. Dès qu'on a eu la confiance qu'il ne pouvait plus aggraver sa blessure, on allait évidemment revenir avec lui », a convenu l'entraîneur-chef Jason Maas qui ne voulait pas attendre davantage.
« Les deux semaines de congé, c'était pour m'éviter d'avoir à y penser quand j'allais recommencer à jouer. J'aurais sûrement pu jouer tout de suite après la blessure, mais j'aurais eu cette pensée en tête et j'aurais pu aggraver la blessure à long terme », a noté Fajardo devant les médias.
Le numéro 7 des Alouettes a expliqué que sa blessure – qui semble musculaire - était reliée à sa manière de tomber au sol après un contact.
Fajardo ne croit pas que sa courte période d'inaction provoquera de la rouille dans son jeu.
« J'ai beaucoup d'expérience dans la LCF, ça pourrait m'affecter si ce n'était pas le cas. Caleb a été très bon pour gérer notre attaque. Je l'ai souvent dit, ça prend plus d'un bon quart-arrière pour avoir du succès dans la LCF. À mon avis, on a l'un des meilleurs groupes à cette position dans la LCF », a-t-il commenté.
Fletcher et Stanback en uniforme?
Étant donné que les Alouettes ont joué, samedi soir, à Ottawa et qu'ils visiteront les Bombers, jeudi, le club montréalais a dû se contenter d'une seule séance sur le terrain. Dans le but d'épargner les joueurs, il ne s'agissait que d'une répétition simulée des jeux sans contact ni même de ballons lancés.
Malgré tout, on a pu remarquer que les Alouettes essaient d'intégrer Fletcher dans la formation pour le duel à Winnipeg sans retirer William Stanback. Pour y arriver au niveau du ratio, Tyrell Richards pourrait jouer comme partant auprès de Frédéric Chagnon chez les secondeurs. Lwal Uguak pourrait également entamer le match sur la ligne défensive.
Il n'est pas impossible non plus que Fletcher obtienne des occasions pour retourner des bottés. Chandler Worthy traverse une période ordinaire comme spécialiste des retours et une compétition avec Fletcher et/ou Tyson Philpot pourrait le fouetter.
Parlant de Worthy, il devrait être plus impliqué au poste de receveur puisque Quartney Davis ne s'est pas entraîné mardi.
Un calendier qui ne fait pas plaisir aux Alouettes
Terminons avec le dossier du fameux calendrier qui suscite du mécontentement chez les Alouettes.
« En toute transparence, j'ai accepté cet horaire, mais il faut comprendre mon état d'esprit à ce moment. Je me demandais seulement si on allait avoir un camp d'entraînement et une équipe. Je ne suis pas content du calendrier, mais on me rappelle souvent que je l'ai accepté », a témoigné le directeur général Danny Maciocia qui était plongé dans l'incertitude de l'organisation durant cette période.
« Pour cette semaine courte, c'est comme si on manquait un peu de temps », a admis Fajardo.
« C'est ainsi que ça fonctionne, ce n'est pas une situation idéale. Au football, le plus important demeure de connaître ton adversaire pour instaurer des stratégies. Tu ne joues pas toujours à la hauteur en ayant du temps limité. Physiquement, on a accordé du repos aux joueurs, c'est du côté mental qu'on ne pourra pas effectuer toutes les répétitions nécessaires. C'est difficile de progresser quand tu ne t'entraînes pas. Au moins, on a pris soin des joueurs depuis trois semaines en prévision pour ce duel », a cerné Maas.
La LCF tarde à trouver le contexte idéal pour lancer une dixième équipe en sol canadien ce qui faciliterait énormément la gestion du calendrier.
L'entraîneur des Alouettes Jason Maas a confirmé mardi en point de presse que le quart-arrière Cody Fajardo obtiendra le départ jeudi contre les Blue Bombers. Vous pourrez suivre l'affrontement entre les deux équipes sur les ondes de RDS et sur le RDS.ca dès 20h.
Plus tôt dans la journée, Fajardo s'est entraîné comme partant dans ce qui était la seule séance d'entraînement des Moineaux avant de s'envoler vers le Manitoba. À noter qu'il s'agissait d'une pratique simulée et non d'un entraînement complet.
Fajardo a raté les deux derniers matchs des Alouettes en raison d'une blessure à l'épaule gauche. En sept départs cette saison, le Californien de 31 ans a amassé 1877 verges aériennes pour six passes de touché en plus d'être intercepté à cinq reprises.
Son retour tombe à point, puisque les Alouettes croiseront le fer avec les Lions et les Argonauts, à deux reprises, suite à leur duel face aux Bombers. C'est indiscutablement la séquence la plus difficile de la saison jusqu'à présent pour les hommes de Jason Maas.
Durant son absence, Caleb Evans a mené les siens à deux victoires contre les Roughriders et le Rouge et Noir. Il a récolté 482 verges par la passe, trois passes de touché et autant d'interceptions.
Le défenseur de l'organisation du Canadien de Montréal Logan Mailloux obtiendra éventuellement l'autorisation de jouer dans la Ligue nationale de hockey (LNH).
C’est ce qu’a indiqué le journaliste de la chaîne TVA Sports Renaud Lavoie, mardi, en évoquant plusieurs sources. Évidemment, le tout se confirmera quand le hockeyeur de 20 ans se taillera un poste avec le Tricolore.
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Comme l’a récemment précisé aux médias le directeur général du CH, Kent Hughes, Mailloux a rencontré le commissaire de la LNH, Gary Bettman, en juillet. Le choix de premier tour de l’organisation au repêchage de 2021 devait recevoir le feu vert du grand patron de la ligue; l’arrière a été condamné en Suède pour avoir diffusé sans le consentement de sa victime des photos explicites en 2020.
Celui ayant signé un contrat d’entrée le 5 octobre a amassé 53 points en 59 matchs avec les Knights de London, dans la Ligue junior de l’Ontario, pendant la dernière campagne. Il participera au prochain camp d’entraînement du Canadien dès le mois prochain.
Le directeur général du Lightning de Tampa Bay, Julien BriseBois, tenait à éviter l’arbitrage salarial avec l’attaquant Brandon Hagel à l’été 2024 et il lui a consenti mardi une prolongation de contrat de huit ans, d’une valeur annuelle moyenne de 6,5 millions $.
Ainsi, le hockeyeur de 24 ans complétera la saison prochaine son pacte de trois ans et de 4,5 millions $ signé avec les Blackhawks de Chicago en 2021.
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Acquis le 18 mars 2022, Hagel a établi des sommets personnels lors du dernier calendrier régulier grâce à ses 30 buts et 34 mentions d’aide pour 64 points en 81 rencontres. Il a ajouté cinq points en six matchs pendant la série de premier tour contre les Maple Leafs de Toronto.
L’ailier a inscrit 132 points en 211 parties depuis ses débuts dans la Ligue nationale.
L'entraîneur-chef et directeur général aux opérations hockey des Lions de Trois-Rivières, Pascal Rhéaume, obtient une promotion qui lui permettra d'évoluer au sein d'une équipe de la Ligue américaine de hockey lors de la saison 2023-2024.
Ainsi, une importante restructuration s'imposait au sein de la formation trifluvienne afin de poursuivre l'excellent travail effectué depuis son entrée en poste. Or, le rapatriement d'un important « leader » de l'équipe a été effectué en plus de quelques remaniements au sein des membres actuels de l'organisation, qui ont permis d'excellentes mises sous contrat lors de l'entre-saison.
« Ces changements marquent un tournant décisif pour l'équipe et témoignent de notre engagement envers la croissance et l'excellence tant sur la glace qu'en coulisses. Nous félicitons Pascal pour ce nouveau chapitre et lui souhaitons le meilleur dans cette nouvelle aventure », a mentionné Dean MacDonald, le président de Deacon Sports and Entertainment. Ayant évolué au sein de plusieurs équipes de la LNH en tant que joueur, Rhéaume allie connaissances approfondies, vision stratégique et éthique de travail exceptionnelle qui lui permettront de performer avec sa nouvelle équipe. « Lorsqu'une équipe de la Ligue américaine de hockey (LAH) vient chercher un membre de notre organisation, c'est signe que nous avions bien effectué notre travail en le recrutant. De notre côté, c'est avec confiance et engouement que nous amorcerons notre saison le 20 octobre prochain, au Colisée Vidéotron. », a ajouté M. MacDonald.
Ron Choules obtient le poste d'entraîneur-chef et directeur général aux opérations hockey des Lions de Trois-Rivières. Comptabilisant plus de 15 ans d'expérience en tant qu'entraîneur dans la Ligue de hockey Junior Majeur du Québec (LHJMQ), il apporte une expertise inestimable et connaît déjà tous les rouages de l'équipe. L'ex-joueur des Draveurs de Trois-Rivières et ancien choix de 12e ronde des Maple Leafs de Toronto a connu une carrière impressionnante sur la glace. Il a depuis marqué le monde du hockey en tant que membre du personnel pour diverses équipes. Le recrutement, la direction générale et l'entraînement pour des équipes renommées ont façonné son savoir approfondi qui sera un atout essentiel pour les Lions de Trois-Rivières.
Ayant pris sa retraite en tant que joueur à la fin de la saison dernière, Mathieu Brodeur, un pilier au sein de la brigade défensive des Lions depuis la saison inaugurale, occupera désormais le poste d'entraîneur adjoint. Brodeur, qui a fièrement porté le rôle d'assistant capitaine, a laissé sa marque par son leadership, sa vision exceptionnelle du jeu, sa robustesse et sa discipline. Il détient également l'exploit unique d'avoir participé à l'ensemble des matchs de saison régulière et les 7 matchs éliminatoires de l'équipe. Respecté par ses coéquipiers et admiré par la communauté, Mathieu demeure un membre précieux de la famille des Lions et permettra, par son leadership, son excellente vision du jeu et son travail acharné, d'obtenir une excellente chimie au sein de la formation afin de remporter le plus de rencontres possible.
En outre, Alex Cousineau, qui a joué un rôle crucial en coulisses depuis la saison inaugurale de l'équipe, obtient ainsi le poste de directeur Général adjoint aux opérations hockey. L'homme-orchestre a exercé le rôle d'entraîneur des gardiens de but au sein de l'équipe de l'Université Concordia, des Foreurs de Val-d'Or et des Lions de Trois-Rivières en plus d'avoir agi en tant que directeur aux opérations hockey lors de la dernière saison. Malgré sa nouvelle nomination, Cousineau poursuivra le partage de son expertise sur la glace avec les joueurs en tant qu'entraîneur des gardiens de but ainsi qu'entraîneur vidéo avec le reste de l'équipe.
